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J'entends et j'oublie. Je vois et je me souviens. Je fais et je comprends.


Citation apocryphe dont la genèse remonte aux années 1960 aux États-Unis, puis repris en France au début des années 1970 comme un proverbe chinois.

english.stackexchange.com/ques…

gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6…

Cet apocryphe pourrait s'inspirer d'une parole de Xun Zi ou Siun Tseu (荀子), penseur chinois confucéen du IIIe siècle av. J.-C., dans "L'effet du confucianisme" (儒效):
«不闻不若闻之,闻之不若见之,见之不若知之,知之不若行之;学至于行之而止矣。»
«Ne pas entendre n'est pas aussi bon que d'entendre, entendre n'est pas aussi bon que de voir, voir n'est pas aussi bon que le savoir, et savoir n'est pas aussi bon que de faire.»

gushiwen.cn/mingju/juv_e85bd84…


|J'entends et j'oublie.
Je vois et je me souviens.
Je fais et je comprends.|



Extrait du "Jardin d'éloquence" (Shuo Yuan) de Liu Xiang


Propos attribués à Confucius dans le "Jardin d'éloquence" (Shuo Yuan) de Liu Xiang:

Quand un homme de qualité cultive son comportement mais ne parvient pas à obtenir une position, il est heureux de sa propre compréhension des choses ; ayant obtenu une position, il est heureux de sa propre sagesse. Ainsi, il est heureux toute sa vie et n’éprouve pas le moindre désespoir. Une personne mesquine n’est pas comme cela. Lorsqu’elle n’a pas encore obtenu une position, elle est affligée de ne pas l’obtenir ; et, après avoir obtenu une position, elle est affligée à l’idée de la perdre. Ainsi, elle est accablée de soucis toute sa vie et n’éprouve pas le moindre bonheur.


L'homme de bien ne demande rien qu'à lui-même ; l'homme de peu demande tout aux autres.


Extrait mal traduit du chapitre 15 de "Les Entretiens" attribués à Confucius par Lao-Tseu (partie 20):
«Ce que l'homme supérieur cherche, c'est en lui-même. Ce que l'homme moyen cherche, c'est dans les autres.»

en.wikisource.org/wiki/The_Chi…


|L'homme de bien ne demande rien qu'à lui-même ; l'homme de peu demande tout aux autres.|