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Miguel de Cervantes: Love and war are the same thing, and stratagems and policy are as allowable in the one as in the other. wordsmith.social/protestation/…


Les enfants doivent enfin jouer dans la nature, ne plus être torturés par les affres de la faim, ne plus être ravagés par la maladie, ne plus être menacés par le fléau de l'ignorance, de la maltraitance et des abus, et ne plus être obligés de s'e


Extrait du discours prononcé par Nelson Mandela le 10 décembre 1993, à l'hôtel de ville d'Oslo, en Norvège, à l'occasion de sa remise du prix Nobel de la Paix:

Cette récompense ne se mesurera pas en argent. Elle ne se mesure pas non plus au prix collectif des métaux rares et des pierres précieuses qui reposent dans les entrailles du sol africain que nous foulons sur les traces de nos ancêtres.
Elle se mesurera et devra se mesurer au bonheur et au bien-être des enfants, qui sont à la fois les citoyens les plus vulnérables de toute société et le plus grand de nos trésors.
Les enfants doivent enfin jouer dans la nature, ne plus être torturés par les affres de la faim, ne plus être ravagés par la maladie, ne plus être menacés par le fléau de l'ignorance, de la maltraitance et des abus, et ne plus être obligés de s'engager dans des actions dont la gravité dépasse les exigences de leur jeune âge.
Devant cet éminent auditoire, nous engageons la nouvelle Afrique du Sud à poursuivre sans relâche les objectifs définis dans la Déclaration mondiale sur la survie, la protection et le développement de l'enfant.
La récompense dont nous avons parlé se mesurera et doit se mesurer également au bonheur et au bien-être des mères et des pères de ces enfants, qui doivent marcher sur la terre sans craindre d'être volés, tués pour des raisons politiques ou matérielles, ou de se faire cracher dessus parce qu'ils sont mendiants.
Eux aussi doivent être soulagés du lourd fardeau du désespoir qu'ils portent dans leur cœur, né de la faim, de l'absence de logement et du chômage.

nobelprize.org/prizes/peace/19…




Nous devons à nos enfants - les citoyens les plus vulnérables de toute société - une vie à l'abri de la violence et de la peur.


Citation extraite de l'avant-propos du premier rapport mondial sur la violence et la santé publié par l'OMS écrit par Nelson Mandela (2002).

iris.who.int/bitstream/handle/…

Avant-propos du premier rapport mondial sur la violence et la santé publié par l'OMS écrit par Nelson Mandela (2002):

Le vingtième siècle restera dans les mémoires comme un siècle marqué par la violence. Il nous laisse un héritage de destruction massive, de violence infligée à une échelle jamais vue et jamais possible auparavant dans l'histoire de l'humanité. Mais cet héritage, fruit des nouvelles technologies au service d'idéologies de haine, n'est pas le seul que nous portons, ni que nous devons affronter.
Moins visible, mais encore plus répandu, est l'héritage de la souffrance quotidienne et individuelle. Il s'agit de la douleur des enfants maltraités par des personnes qui devraient les protéger, des femmes blessées ou humiliées par des partenaires violents, des personnes âgées maltraitées par leurs soignants, des jeunes malmenés par d'autres jeunes et des personnes de tous âges qui s'infligent des violences à elles-mêmes. Cette souffrance - et je pourrais citer bien d'autres exemples - est un héritage qui se reproduit, car les nouvelles générations apprennent de la violence des générations passées, les victimes apprennent de ceux qui les victimisent, et les conditions sociales qui nourrissent la violence sont autorisées à perdurer. Aucun pays, aucune ville, aucune communauté n'est à l'abri. Mais nous ne sommes pas non plus impuissants face à la violence.
La violence se développe en l'absence de démocratie, de respect des droits de l'homme et de bonne gouvernance. Nous parlons souvent de la façon dont une «culture de la violence» peut s'enraciner. C'est vrai - en tant que Sud-Africain qui a vécu l'apartheid et qui vit ses conséquences, je l'ai vu et je l'ai vécu. Il est également vrai que les modèles de violence sont plus répandus dans les sociétés où les autorités approuvent l'usage de la violence par leurs propres actions. Dans de nombreuses sociétés, la violence est tellement dominante qu'elle contrecarre les espoirs de développement économique et social. Nous ne pouvons pas laisser cette situation perdurer.
Beaucoup de ceux qui vivent avec la violence jour après jour pensent qu'elle fait intrinsèquement partie de la condition humaine. Mais ce n'est pas le cas. Il est possible de prévenir la violence. Les cultures violentes peuvent être transformées. Dans mon pays et dans le monde entier, nous avons des exemples éclatants de la manière dont la violence a été combattue. Les gouvernements, les communautés et les individus peuvent faire la différence.
Je salue ce premier rapport mondial sur la violence et la santé. Ce rapport apporte une contribution majeure à notre compréhension de la violence et de son impact sur les sociétés. Il met en lumière les différents visages de la violence, de la souffrance «invisible» des individus les plus vulnérables de la société à la tragédie trop visible des sociétés en conflit. Il fait progresser notre analyse des facteurs qui conduisent à la violence et des réponses possibles des différents secteurs de la société. Ce faisant, il nous rappelle que la sûreté et la sécurité ne sont pas le fruit du hasard: elles sont le résultat d'un consensus collectif et d'investissements publics.
Le rapport décrit et formule des recommandations d'action aux niveaux local, national et international. Il constituera donc un outil précieux pour les décideurs politiques, les chercheurs, les praticiens, les défenseurs et les bénévoles impliqués dans la prévention de la violence. Alors que la violence relève traditionnellement du système de justice pénale, le rapport plaide vigoureusement en faveur de l'implication de tous les secteurs de la société dans les efforts de prévention.
Nous devons à nos enfants - les citoyens les plus vulnérables de toute société - une vie exempte de violence et de peur. Pour y parvenir, nous devons nous efforcer sans relâche de parvenir à la paix, à la justice et à la prospérité non seulement pour les pays, mais aussi pour les communautés et les membres d'une même famille. Nous devons nous attaquer aux racines de la violence. Ce n'est qu'à cette condition que nous transformerons l'héritage du siècle dernier d'un fardeau écrasant en une leçon de prudence.






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Le régime colonial est un régime instauré par la violence. C'est toujours par la force que le régime colonial s'est implanté. Violence dans le comportement quotidien, violence à l'égard du passé qui est vidé de toute substance, violence vis-vis d


Citation tronquée extraite du discours prononcé par Frantz Fanon à la conférence d’Accra en avril 1960 intitulé "Pourquoi nous employons la violence?".

pdfcoffee.com/fanon-por-que-em…

Extrait du discours prononcé par Frantz Fanon à la conférence d’Accra en avril 1960 intitulé "Pourquoi nous employons la violence?":

Le régime colonial est un régime instauré par la violence. C’est toujours par la force que le régime colonial s’est implanté. C’est contre la volonté des peuples que d’autres peuples plus avancés dans les techniques de destruction ou numériquement plus puissants se sont imposés. Je dis qu’un tel système établi par la violence ne peut logiquement qu’être fidèle à lui-même, et sa durée dans le temps est fonction du maintien de la violence. Mais la violence dont il est ici question n’est pas une violence abstraite, ce n’est pas seulement une violence déchiffrée par l’esprit, c’est aussi une violence du comportement quotidien du colonisateur à l’égard du colonisé : apartheid en Afrique du sud, travaux forcés en Angola, racisme en Algérie. Mépris politique de haine, telles sont les manifestations d’une violence très concrète et très pénible. Le colonialisme, cependant, ne se contente pas de cette violence à l’égard du présent. Le peuple colonisé est idéologiquement présenté comme un peuple arrêté dans son évolution, imperméable à la raison, incapable de diriger ses propres affaires, exigeant la présence permanente d’une direction. L’histoire des peuples colonisés est transformée en agitation sans aucune signification, et de ce fait, on a bien l’impression que pour ces peuples l’humanité a commencé avec l’arrivée de ces valeureux colons. Violence dans le comportement quotidien, violence à l’égard du passé qui est vidé de toute substance, violence vis-à-vis de l’avenir, car le régime colonial se donne comme devant être éternel. On voit donc que le peuple colonisé, pris dans un réseau d’une violence tridimensionnelle, point de rencontre de violences multiples, diverses, réitérées, cumulatives, assez rapidement en arrive à se poser logiquement le problème d’une fin du régime colonial par n’importe quel moyen. Cette violence du régime colonial n’est pas seulement vécue sur le plan de l’âme, mais aussi sur celui des muscles, du sang. Cette violence qui se veut violente, qui devient de plus en plus démesurée, provoque irrémédiablement la naissance d’une violence intérieure chez le peuple colonisé et une colère juste prend naissance et cherche à s’exprimer.


|Le régime colonial est un régime instauré par la violence. C'est toujours par la force que le régime colonial s'est implanté. Violence dans le comportement quotidien, violence à l'égard du passé qui est vidé de toute substance, violence vis-vis de l'avenir.|



My instance is currently running on a rented dedicated server, but in the next few weeks gets transferred back down to my own local hardware. But it still doesn't cost nothing to run even after that (power, internet, upgrades, backups, time).

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That said, running your own instance is rewarding and I definitely encourage shared hosting solutions.


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Kaleb 📝 reshared this.

in reply to Shiri Bailem

I would love to host on my own hardware someday, but networking is my kryptonite. I have no idea how to make a RaspberryPi accessible externally (on a dynamic IP) without introducing all manner of security risks that I don’t understand.
This entry was edited (2 months ago)


This hits hard tbh

#lbgt #lgbtqia #lgbt #trans #meme

in reply to Shiri Bailem

Sensitive content

in reply to Shiri Bailem

wait a minute. Trans people are the real Americans!

/j /j idek what I’d be starting with this omfg /j



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