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Henriette Browne


Sophie de Bouteiller, dite Henriette Browne, était une peintre de genre française, née en 1829 à Paris et morte en 1901. Elle est également connue sous le nom de Mme de Saux de par son mariage le 14 juin 1855 avec le diplomate Jules Henry de Saux (†1879), ministre plénipotentiaire et secrétaire du comte Walewski.

Fille de Guillaume Bouteiller et nièce de Louise Bouteiller, Sophie de Bouteiller se forma à partir de l'année 1851 auprès de Charles Chaplin (peintre) et fut l'élève d'Émile Perrin. Elle est considérée par l'historiographie comme l'une des pionnières dans la peinture orientaliste. L'historiographie a par la suite relevé cette spécificité à l'intérieur de la masse importante de la peinture de genre au XIXe siècle. Au demeurant, peu de femmes faisaient partie de cet ensemble de peintres dits de harem. Elle exposa au Salon de 1853 à 1878. Elle y reçut une médaille de 3e classe dans la section Peinture en 1855. La même année, elle participe à l'Exposition universelle. Également peintre graveur, elle reçut une médaille de 3e classe dans la section Gravure en 1863 pour ses gravures d'après Alexandre Bida, lui-même connu pour ses sujets orientalistes.

Ses peintures de harem, telles Une visite (intérieur de harem ; Constantinople, 1860) et Une joueuse de flûte (intérieur de harem ; Constantinople, 1860) du Salon de 1861 qui ont connu un grand succès et ont été abondamment commentées notamment par Théophile Gautier, sont alimentées de ce que l'artiste a pu voir lors de ses voyages. Malgré leur succès, ces deux œuvres ont aussi fait l’objet d’une critique importante. Pour cause, toutes deux représentent une scène d’un harem oriental.

L'intérêt des critiques provenait du fait que l'on savait que les œuvres avaient été produites par une femme qui prétendait avoir vu à l'intérieur du harem. En effet, les femmes peintres partageaient un accès sexué aux harems que les hommes n’avaient pas. Les informations peintes sont alors considérées « authentiques », et dès lors, constituaient un défi potentiel aux conventions orientalistes.

Ainsi, son exploration unique du harem résonne comme une affirmation de la légitimité des femmes dans la narration artistique, tout en dévoilant un Orient bien plus diversifié et humain que les fantasmes érotiques souvent présentés par les artistes masculins. Henriette Browne contribue à une compréhension plus riche et équilibrée de l'Orient au sein de l'histoire de l'art du 19e siècle.

En 1860, elle se rend à Constantinople où elle accompagne son mari, diplomate. En 1865, elle entreprend en outre un voyage au Maroc. Puis elle se rend en Syrie en passant par l'Égypte durant les années 1868 et 1869.

Ayant atteint une reconnaissance critique et professionnelle conséquente, elle est désignée en 1862 comme l’un des membres fondateurs de la Société Nationale des Beaux-Arts de Paris. A titre posthume, en 1894, elle sera également membre honoraire de l’Institut royal des Aquarellistes (Royal Institute of Painters in Watercolours) de Londres.

Alors âgée de cinquante ans, elle n'expose plus à partir de 1879. Elle s'éteindra dans sa demeure du 39, rue Jean-Goujon à Paris, le 14 mars 1901.




José Pérez Siguimboscum


José Pérez Siguimboscum (1841-1909) était un peintre espagnol.

Il est né à Cadix en 1841. Il a enseigné le dessin de figures à l'Académie des beaux-arts de Cadix. Lors de l'exposition qui se tient dans cette capitale en 1879, il présente les tableaux Una maja («A Maja») et Ya se durmió («Elle dort déjà»), ce dernier appartenant à Salvador Viniegra, et reçoit une médaille d'argent. Lors de l'exposition de 1880 qui se tient dans la même capitale, il présente des œuvres intitulées ¿Me lo negarás ahora ? ¿Qué hay de política? Maja de principios del siglo et Voy bien. Plus tard, il réalise un portrait, envoyé à Barcelone en 1883, de l'armateur Antonio López, marquis de Comillas. Il meurt en 1909.




Knud Erik Larsen


Knud Erik Larsen, né le 27 août 1865 à Vinderød et mort le 7 décembre 1922 à Frederiksberg, était un peintre danois.

Knud Larsen naît le 27 août 1865 à Vinderød près de Frederiksværk au Danemark. Il est le fils de Jens Peter Larsen (1826-1897) et de Julie Sophie Olsen (1826-1897). Larsen étudie la peinture à l'Académie royale des beaux-arts du Danemark et obtient son diplôme en 1889. Il expose pour la première fois à l'exposition de printemps de Charlottenborg en 1887. Larsen expose à l'Exposition universelle colombienne de Chicago en 1893, à l'Exposition générale d'art et industriel de Stockholm en 1897 et à l'Exposition baltique de Malmö en 1914. Larsen voyage en Angleterre en 1889; à Berlin et Dresde 1891; en Italie 1898; à Paris, aux Pays-Bas et en Belgique en 1899.

Larsen peint à l'origine des paysages et des images de genre. Il adopte un style plutôt conservateur mais agréable, particulièrement réaliste dans ses paysages de la campagne du Jutland. Son utilisation de la couleur est de manière évidente influencée par Hans Smidth et Vilhelm Kyhn, en particulier dans ses œuvres de genre telles que Sommer. Børnene binder Kranse (1900) aux tons impressionnistes vifs.

Il s'oriente ensuite de plus en plus vers le portrait, devenant l'un des portraitistes les plus populaires de son époque et travaillant souvent pour des institutions publiques et privées. Son travail englobe certaines des figures contemporaines les plus populaires, dont Vilhelm Thomsen, Harald Høffding, Axel Helsted, Hans Smidth, LA Ring et Theobald Stein.

Larsen est nommé membre de l'Assemblée générale de l'Académie royale des Beaux-Arts en 1898 et est membre du Comité d'exposition du Palais de Charlottenborg pendant les années 1905-1906, 1914-1922. Il est membre du Conseil général de l'école d'art de 1911 à 1914 et membre du Conseil de l'Académie royale des arts de 1908 jusqu'à sa mort en 1922.

En 1893, il épouse Frederikke Elisabeth Dall (1870-1963). Larsen meurt en 1922 à Copenhague et est inhumé au cimetière Assistens.

Larsen reçoit le prix Neuhausens en 1893, la médaille Eckersberg en 1898, la médaille Thorvaldsen en 1901 et le prix Serdin Hansens en 1901 et en 1905.



Les détails font la perfection, et la perfection n'est pas un détail.


On doit aphorisme à Charles Caleb Colton, clerc, écrivain et collectionneur anglais, dans son ouvrage "Lacon: Or Many Things in Few Words" (1820) dans lequel il l'attribua à Michel-Ange dans une histoire de son cru (reprise ensuite dans des revues postérieures sans mentionner Michel-Ange). Cet aphorisme a ensuite été réattribué à Léonard de Vinci vers la fin du XXe siècle.

google.fr/books/edition/Lacon_…
gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6…
aforismario.eu/2019/09/frasi-d…

Extrait de "Lacon: Or Many Things in Few Words" de Charles Caleb Colton (1820):

L'écrivain qui aspire à l'immortalité doit imiter le sculpteur, s'il veut que le travail de la plume soit aussi durable que celui du ciseau. Comme le sculpteur, il doit parvenir à la perfection ultime, non par ce qu'il ajoute, mais par ce qu'il enlève; autrement, toute son énergie pourrait être cachée dans la masse surabondante de sa matière, comme la forme achevée d'un Apollon, dans la solidité non travaillée du bloc. Un ami rendit visite à Michel-Ange, qui achevait une statue; quelque temps après, il revint; le sculpteur était encore à l'œuvre; son ami, regardant la figure, s'écria: Vous avez été bien oisif depuis la dernière fois que je vous ai vu; certes, répondit le sculpteur, j'ai retouché telle partie, j'ai poli telle autre; j'ai adouci tel trait, j'ai fait ressortir tel muscle; j'ai donné plus d'expression à telle lèvre, et plus d'énergie à tel membre: Bien, bien, dit son ami, mais tout cela n'est que bagatelle; c'est possible, répondit Angelo, mais souvenez-vous que la bagatelle fait la perfection, et que la perfection n'est pas une bagatelle.


|Les détails font la perfection, et la perfection n'est pas un détail.|



La répétition ne transforme pas un mensonge en vérité.


Citation extraite du discours de Franklin Delano Roosevelt radiodiffusé au Forum du New York Herald Tribune, le 26 octobre 1939.

presidency.ucsb.edu/documents/…

Extrait du discours de Franklin Delano Roosevelt radiodiffusé au Forum du New York Herald Tribune, le 26 octobre 1939 (l'histoire a été ironique avec lui):

Au Congrès et en de hors de celui-ci, nous avons entendu des orateurs, des commentateurs et d'autres personnes se frapper la poitrine et proclamer qu'il ne fallait pas envoyer les enfants de mères américaines combattre sur les champs de bataille d'Europe. Je n'hésite pas à qualifier cette attitude de l'une des pires impostures de l'histoire actuelle. Il s'agit d'une mise en scène délibérée d'un croquemitaine imaginaire. La simple vérité est qu'aucun responsable de l'administration nationale à Washington, d'un gouvernement d'État, d'une municipalité ou d'un comté n'a jamais suggéré, sous quelque forme que ce soit, la moindre possibilité d'envoyer les enfants de mères américaines se battre sur les champs de bataille européens. C'est pourquoi je qualifie cet argument d'imposture éhontée et malhonnête.
Je n'ai pas la moindre objection à formuler à l'encontre des amateurs qui, à l'intention du public lecteur et auditeur, discutent de la signification profonde des événements militaires et navals de la guerre en Europe. Ils ne font pas de mal parce que le citoyen moyen acquiert rapidement le don de discrimination - et plus tous ces sujets sont abordés par des stratèges amateurs en fauteuil, plus le public se fera sa propre opinion à long terme. Il acquerra la capacité de réfléchir par lui-même.
Le fait de la situation internationale - le simple fait, sans aucun bobard, sans aucun appel aux préjugés - est que les États-Unis d'Amérique, comme je l'ai déjà dit, sont neutres et n'ont pas l'intention de s'impliquer dans la guerre. Que nous puissions être neutres en pensée comme en acte est impossible à réaliser parce que, encore une fois, les habitants de ce pays, réfléchissant calmement et sans préjugés, se sont fait et se font encore une opinion sur les mérites relatifs des événements en cours sur d'autres continents.
Il est de plus en plus évident que la présentation de vraies informations a aiguisé l'esprit et le jugement des hommes et des femmes partout dans le monde en ces jours de vrai débat public. Nous, Américains, commençons à faire la différence entre la vérité d'un côté et le mensonge de l'autre, quelle que soit la fréquence à laquelle le mensonge est répété. La répétition ne transforme pas un mensonge en vérité.


|La répétition ne transforme pas un mensonge en vérité.|



L'homme ordinaire est exigeant avec les autres. L'homme exceptionnel est exigeant avec lui-même.


Citation plus que méchamment déformée. On peut la qualifier d'apocryphe. La bonne version est issue de "Pensées pour moi-même", Livre VI - 51, de l'empereur Marc Aurèle, série de réflexions divisées en douze livres, rédigées en grec entre 170 et 180.

«L'homme ambitieux fait consister son bien dans l'action d'un autre; le voluptueux, dans ses propres sensations; l'homme sensé, dans les actions qui lui sont propres.» Marc Aurèle, "Pensées pour moi-même", Livre VI - 51 (entre 170 et 18)

google.fr/books/edition/Pens%C…
mediterranees.net/histoire_rom…


|L'homme ordinaire est exigeant avec les autres. L'homme exceptionnel est exigeant avec lui-même.|



Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans la vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances.


Citation introuvable dans l'œuvre de René Descartes, mais que l'on trouve dans des ouvrages du XIXe siècle parfois pour le dénigrer. Ces paroles n'étaient pas dans l'esprit de Descartes.

Extrait du "Discours de la méthode" de René Descartes (1637):

Ma seconde maxime était d'être le plus ferme et le plus résolu en mes actions que je pourrais, et de ne suivre pas moins constamment les opinions les plus douteuses lorsque je m'y serais une fois déterminé, que si elles eussent été très assurées imitant en ceci les voyageurs, qui, se trouvant égarés en quelque forêt, ne doivent pas errer en tournoyant tantôt d'un côté tantôt d'un autre, ni encore moins s'arrêter en une place, mais marcher toujours le plus droit qu'ils peuvent vers un même côté, et ne le changer point pour de faibles raisons, encore que ce n'ait peut-être été au commencement que le hasard seul qui les ait déterminés à le choisir; car, par ce moyen, s'ils ne vont justement où ils désirent, ils arriveront au moins à la fin quelque part où vraisemblablement ils seront mieux que dans le milieu d'une forêt. Et ainsi les actions de la vie ne souffrant souvent aucun délai, c'est une vérité très certaine que, lorsqu'il n'est pas en notre pouvoir de discerner les plus vraies opinions, nous devons suivre les plus probables; et même qu'encore que nous ne remarquions point davantage de probabilité aux unes qu'aux autres, nous devons néanmoins nous déterminer à quelques-unes, et les considérer après, non plus comme douteuses en tant qu'elles se rapportent à la pratique, mais comme très vraies et très certaines, à cause que la raison qui nous y a fait déterminer se trouve telle. Et ceci fut capable dès lors de me délivrer de tous les repentirs et les remords qui ont coutume d'agiter les consciences de ces esprits faibles et chancelants qui se laissent aller inconstamment à pratiquer comme bonnes les choses qu'ils jugent après être mauvaises.


|Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans la vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances.|



Il y a quelque chose de pire dans la vie que de n'avoir pas réussi, c'est de n'avoir pas essayé.


Citation attribuée à tort à Franklin Delano Roosevelt. En fait, elle est extraite de "The Strenuous Life", discours prononcé par Theodore Roosevelt, futur 26e président des États-Unis, à Chicago, dans l'Illinois, le 10 avril 1899.

Extrait de "The Strenuous Life", discours prononcé par Theodore Roosevelt, futur 26e président des États-Unis, à Chicago, dans l'Illinois, le 10 avril 1899:

Nous n'admirons pas l'homme à la paix timide. Nous admirons l'homme qui incarne l'effort victorieux; l'homme qui ne fait jamais de tort à son voisin, qui est prompt à aider un ami, mais qui possède les qualités viriles nécessaires pour gagner dans les dures luttes de la vie réelle. Il est difficile d'échouer, mais il est pire de n'avoir jamais essayé de réussir. Dans cette vie, nous n'obtenons rien sans effort. L'absence d'efforts dans le présent signifie simplement que des efforts ont été accumulés dans le passé. Un homme ne peut être libéré de la nécessité de travailler que par le fait que lui-même ou ses pères avant lui ont travaillé à bon escient. Si la liberté ainsi achetée est utilisée à bon escient, et que l'homme continue à travailler effectivement, mais d'une manière différente, que ce soit comme écrivain ou comme général, que ce soit dans le domaine de la politique ou dans celui de l'exploration et de l'aventure, il montre qu'il mérite sa bonne fortune. Mais s'il considère cette période d'affranchissement du travail effectif comme une période non pas de préparation, mais de simple jouissance, il montre qu'il n'est qu'un simple cumulard de la surface de la terre, et il se met assurément dans l'impossibilité de tenir tête à ses semblables si le besoin s'en fait sentir à nouveau. Une simple vie d'aisance n'est pas, en fin de compte, une vie très satisfaisante et, par-dessus tout, c'est une vie qui, en fin de compte, rend ceux qui la mènent inaptes à un travail sérieux dans le monde.


|Il y a quelque chose de pire dans la vie que de n'avoir pas réussi, c'est de n'avoir pas essayé.|



Something I felt like i should share, because I really don't think many realize...

I don't say this to surrender, I say this to say how big the fight is and how important each and every one of you is to it.

Do you know when the vast majority of people realized how real the threat was of the holocaust?

... when they saw a pile of shoes when the camps were being cleared out.

The holocaust meant nothing to those fighting the war, it would have been trivial for the allies to save so very very many lives... they simply didn't really care, they didn't see our suffering as real... until they saw that pile of shoes.

Don't count on Trump or the Republicans to finally be recognized for the Nazis they are and the majority to suddenly be in revolt.

Prepare for a fight and know that every fighter counts.

And know that every life saved matters, especially when the threat is extinction.

#lgbtqia #lgbt #lgbtq #trans #transwoman #uspol

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that didn't do what i think it would've, should probably learn how to actually use this thing


cw: BlueSky moderation, USPol, queerphobia, psa


this post being blocked by BlueSky moderation says a whole hell of a lot about their stance on things

zaki reshared this.



Association of Amygdala Development With Different Forms of Anxiety in Autism Spectrum Disorder - PMC
pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/…

#Anxiety
#MentalHealth
#Brain
#Autism







Make no mistake: Israel’s far right is planning for a Gaza without Palestinians | Ben Reiff | The Guardian
theguardian.com/commentisfree/…

#Israel
#Gaza




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Everything comes back to territory: How Brexit is still causing tensions in Gibraltar | The Independent
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#Gibraltar
#Brexit





Arthur Drummond


Arthur Drummond (1871-1951) était un peintre britannique, fils de John Drummond, un artiste maritime britannique. Né à Bristol en 1871, Drummond s'initie très tôt à la peinture et reçoit les encouragements et le soutien de sa famille. Il semble qu'il ait reçu une formation complémentaire à Paris et à Londres.

En France, il a étudié avec Constant et Laurens, apprenant ainsi les méthodes des artistes académiques. À Londres, il étudie avec Sir Lawrence Alma-Tadema, l'important artiste néoclassique britannique, dont Drummond tirera sa plus grande influence.

Drummond se spécialise dans les scènes d'histoire et de genre et, comme Alma-Tadema, nombre de ses œuvres se déroulent dans l'Égypte, la Grèce ou la Rome antiques.

Au cours de sa carrière, Drummond expose ses œuvres à la Royal Academy, à la Royal Society of Artists de Birmingham et au Royal Institute of Oil Painters.

En 1890, Drummond vit au 41, Walterton Road, St. Peter's Park et expose sa première œuvre à la Royal Academy, intitulée The Minstrel. Il continue à exposer à la Royal Academy jusqu'en 1901.

Bien que Drummond se soit spécialisé dans les scènes d'histoire et de genre et que, comme son professeur Alma-Tadema, il ait situé nombre de ses œuvres dans la Grèce, l'Égypte et la Rome antiques, She Loves Butter ! appartient à une catégorie tout à fait différente. Comme beaucoup de ses contemporains, Drummond partageait manifestement la fascination de la société victorienne pour tous les sujets liés à l'enfance. Dans une prairie ensoleillée parsemée de boutons d'or jaunes, trois enfants d'âges différents jouent avec les fleurs. L'exubérance des enfants est reflétée par le jeu de lumière sur la scène et le coup de pinceau de bravoure avec lequel l'artiste rend ses jeunes sujets. La clarté de la palette, des blancs brillants aux roses éclatants se détachant sur le paysage vert et bleu, renforce encore l'atmosphère limpide d'une journée lumineuse en plein été. Un tour de force particulier du travail au pinceau est le rendu du bonnet blanc qui est presque tombé hors du plan de l'image. Exécuté en blanc vif et habilement peint, il attire le spectateur dans le tableau, un effet encore renforcé par le traitement habile de la perspective de la main tendue de l'enfant le plus jeune.




Margaret Tarrant


Margaret Winifred Tarrant, née le 19 août 1888 à Battersea et morte le 28 juillet 1959, était une illustratrice anglaise et auteure pour enfants, spécialisée dans la représentation d'enfants et de sujets religieux féeriques. Elle commence sa carrière à l'âge de 20 ans et peint et publie jusqu'au début des années 1950. Elle est connue pour ses livres pour enfants, ses cartes postales, ses calendriers et ses reproductions imprimées.

Tarrant naît en 1888 à Battersea, au sud de Londres, fille des paysagistes Percy Tarrant et Sarah Wyatt Tarrant. Elle étudie au département d'art de la Clapham High School et de la Clapham School of Art. Elle suit brièvement une formation d'enseignante, mais se tourne à la place vers l'art. Elle étudie à la Heatherley's School of Art et à la Guildford School of Art en 1935. Elle commence sa carrière à l'âge de 20 ans avec une édition de The Water Babies de Charles Kingsley.

Dans les années 1920, Tarrant contribue à populariser le thème des fées dans une longue série de titres sur des poèmes de son amie Marion St John Webb, tels que The Forest Fairies, The Pond Fairies, et The Twilight Fairies. Elle est longtemps associée à la Société Médicis et plusieurs de ses cartes postales, calendriers et livres pour enfants sont publiés par l'organisation6. Après la mort de ses deux parents en 1934, la Société l'envoie en voyage en Palestine pour faire des recherches4. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle fait don d'affiches à l'effort de guerre et utilise un vieux vélo pour économiser l'essence.

Margaret Tarrant meurt le 28 juillet 1959.



in reply to Shiri Bailem

I found that apparently they don’t think they can get a jury that won’t acquit him.