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Si vous ne pouvez expliquer un concept à un enfant de six ans, c'est que vous ne le comprenez pas complètement.


Citation apocryphe. Il est impensable qu'Einstein ait pu dire une chose pareille en ayant travaillé sur la théorie générale de la relativité.

history.stackexchange.com/ques…

En revanche, il a écrit la chose suivante:

«La plupart des idées fondamentales de la science sont essentiellement simples et peuvent, en règle générale, être exprimées dans un langage compréhensible par tous.» Albert Einstein, "L'évolution des idées en physique" (1938)


|Si vous ne pouvez expliquer un concept à un enfant de six ans, c'est que vous ne le comprenez pas complètement.|



Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants; c'est l'indifférence des bons.


Cette citation n'est ni de Martin Luther King, ni d'Edmund Burke et ni de John Fitzgerald Kennedy. La première version semble provenir de John Stuart Mill dans "Inaugural address, delivered to the University of St. Andrew" (1867).

independent.co.uk/voices/the-t…

Extrait de "Inaugural address, delivered to the University of St. Andrew" de John Stuart Mill (1867):

À ces études, j'ajouterais le droit international qui, à mon avis, devrait être enseigné dans toutes les universités et faire partie de toute éducation libérale. Loin d'être réservé aux diplomates et aux avocats, ce droit est nécessaire à tous les citoyens. Ce que l'on appelle le droit des gens n'est pas à proprement parler du droit, mais une partie de l'éthique: un ensemble de règles morales, acceptées comme faisant autorité par les États civilisés. Il est vrai que ces règles ne sont ni ne devraient être d'une obligation éternelle, mais qu'elles varient et doivent varier plus ou moins d'une époque à l'autre, à mesure que les consciences des nations s'éclairent et que les exigences de la société politique se modifient. Mais les règles ont surtout été à l'origine, et sont encore, une application des maximes de l'honnêteté et de l'humanité aux relations entre les États. Elles ont été introduites par les sentiments moraux de l'humanité, ou par le sens de l'intérêt général, pour atténuer les crimes et les souffrances de l'état de guerre, et pour empêcher les gouvernements et les nations de se conduire de façon injuste ou malhonnête les uns envers les autres en temps de paix. Étant donné que chaque pays entretient des relations nombreuses et variées avec les autres pays du monde, et que beaucoup d'entre eux, dont le nôtre, exercent une autorité réelle sur certains d'entre eux, la connaissance des règles établies de la moralité internationale est essentielle au devoir de chaque nation, et par conséquent de chaque personne qui contribue à la constituer, et dont la voix et les sentiments font partie de ce que l'on appelle l'opinion publique. Que personne n'apaise sa conscience en s'imaginant qu'il ne peut pas faire de mal s'il ne prend pas part à l'action et ne forme pas d'opinion. Les méchants n'ont besoin de rien de plus pour arriver à leurs fins que de voir les bons regarder et ne rien faire. Ce n'est pas un homme de bien qui, sans protester, laisse commettre le mal en son nom et avec les moyens qu'il contribue à fournir, parce qu'il ne se donne pas la peine d'utiliser son esprit à ce sujet. Il dépend de l'habitude de suivre et d'examiner les transactions publiques, et du degré d'information et de jugement solide qui existe dans la communauté, que la conduite de la nation en tant que nation, à la fois en son sein et envers les autres, soit égoïste, corrompue et tyrannique, ou rationnelle et éclairée, juste et noble.


|Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants; c'est l'indifférence des bons.|



Il faut rajouter de la vie aux années et non des années à la vie.


Il ne s'agit pas d'un proverbe chinois, mais d'une citation que l'on doit à une publicité de 1947 pour un livre sur le vieillissement écrit par Edward J . Stieglitz reprise dans les années 1970 en France.

quoteinvestigator.com/2012/07/…

Ceci-dit, l'idée est plus ancienne. On la trouve dans le livre «Warman's Physical Training, Or The Care of the Body» publié en 1889 par Edward Barrett Warman.

google.fr/books/edition/Warman…

Extrait de «Warman's Physical Training, Or The Care of the Body» d'Edward Barrett Warman (1889):

Si vous voulez ajouter des années à votre vie, et de la vie à vos années, faites-vous une règle invariable de faire votre sieste quotidienne - votre sieste de l'après-midi. Ne commencez jamais un exercice physique ou mental directement après un repas. Les organes digestifs ont besoin d'un apport supplémentaire de sang. Vous pouvez vous permettre de faire une sieste ; vous ne pouvez pas vous permettre de l'omettre, car elle ne vous coûtera qu'un quart d'heure.


|Il faut rajouter de la vie aux années et non des années à la vie.|



Nous ne pouvons pas résoudre nos problèmes avec la même pensée que nous avons utilisée lorsque nous les avons créés.


Citation apocryphe. Elle est inconnue avant 1955, date du décès d'Albert Einstein.
Elle semble provenir de Ram Dass vers 1970. Dass (né Richard Alpert) était un professeur de psychologie à l'université Harvard ayant étudié les effets des drogues psychédéliques sur l'homme. Il était aussi une personnalité influente de la spiritualité New age et de la culture populaire de la deuxième partie du XX e siècle, en particulier du mouvement hippie.

hsm.stackexchange.com/question…


|Nous ne pouvons pas résoudre nos problèmes avec la même pensée que nous avons utilisée lorsque nous les avons créés.|







Jean-Baptiste Greuze - Jeune fille assise (non daté) - Restauré


Ce tableau comme plusieurs œuvres de Greuze nous délivre un message. En effet cette jeune femme tient dans sa main un cadre ovale représentant un cœur transpercé d'une flèche, symbole de déception sentimentale. Cet élément, allié au paysage dépouillé et à l'attitude mélancolique du modèle, vêtu à l'antique, rappelle les œuvres peintes à la fin du XVIIIème siècle par Greuze. En effet, les figures féminines en larme accompagnées d'objets altérés ou brisés font référence à la nostalgie de l'enfance et à la perte de la virginité et de l'innocence comme Diderot le suggéra pour des œuvres telles que le miroir brisé ou La cruche cassée conservées à la Wallace Collection de Londres. Ces tableaux peuvent être teintés d'érotisme ou, au contraire, faire appel à la morale. Dans notre œuvre, la flèche n'a pas atteint sa cible et la couronne de victoire que tient la jeune femme semble se faner, tout le pathos de la composition semble simplement suggérer la nostalgie d'un amour perdu. Ce type de sujet remplaça les scènes de genre dramatique dans la veine de L'Accordée de village passées de mode à la fin de la carrière de Greuze. Des personnalités telles que Bachaumont ou le Marquis de Marigny admirèrent les tableaux de cette dernière production et contribuèrent certainement à les mettre à la mode.

Source:
sothebys.com/en/auctions/ecata…