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Edgar Hunt


Edgar Hunt (1876 - 1955) était un peintre britannique qui a vécu et travaillé au Royaume-Uni, en Angleterre. Il est né à Birmingham de parents modestes, fils d'un professeur d'art à temps partiel, qui a beaucoup encouragé le talent de son fils. Enfant, Edgar passe une grande partie de son temps à faire des croquis de la vie à la ferme et est considérablement influencé par son frère, Walter Hunt, habile peintre animalier.

Ses compositions, généralement réalisées sur de petites toiles, représentent le plus souvent des scènes de basse-cour où prédominent les volailles domestiques et leurs couvées, bien que des veaux, des cochons et des lapins soient souvent introduits. Il travaillait de manière méticuleuse, sans qu'une plume ou un cheveu ne soit déplacé. Edgar était d'un tempérament réservé et exposait rarement ses œuvres, préférant passer sa vie avec les animaux qu'il possédait et qu'il peignait avec amour. Edgar était un grand admirateur et ami de John Frederick Herring Junior. Lorsque Herring mourut en 1907, Edgar fut inconsolablement endeuillé et devint presque un reclus, quittant rarement sa ferme. Edgar reste cependant très sollicité par ses mécènes. Ces derniers veulent des images simples auxquelles ils peuvent s'identifier immédiatement et sans effort intellectuel gênant.

Hunt incorpore également un élément de sentimentalité pour susciter une réponse émotionnelle maximale.

Son grand-père, Charles Hunt (1803-1877), était connu pour ses sujets de genre humoristiques, qu'il exposa à partir de 1846 à la Royal Academy et dans d'autres lieux prestigieux. Le père d'Edgar est Charles Hunt Jr (1829-1900). Il peignait dans la même veine que son père, mais aussi des sujets animaliers. Avec un tel bagage artistique, il était naturel qu'Edgar et Walter (1861-1941) deviennent peintres.

Edgar n'a pas reçu de formation artistique formelle mais a été formé par son père. Il se destinait à l'origine à devenir fermier et avait travaillé dans une ferme près de Lewes, dans le Sussex, pendant une courte période.

Edgar Hunt exposa à la RBSA, à la Walker Art Gallery de Liverpool et au Salon de Londres. W H Patterson a inclus Hunt dans Fine English & Continental Paintings en 2003 et Richard Green a également exposé ses œuvres.




Always be on the alert against trotskyism, reformism and revisionism / Soyez toujours en alerte contre le trotskysme, le réformisme et le révisionnisme / Seid immer wachsam gegen Trotzkismus, Reformismus und Revisionismus






Viggo Johansen


Viggo Johansen (3 janvier 1851 - 18 décembre 1935) était un peintre danois et un membre actif du groupe des peintres de Skagen qui se réunissaient chaque été dans le nord du Jutland. Il était l'un des peintres danois les plus en vue dans les années 1890.

Enfant, Johansen avait déjà un talent pour le dessin qui fut reconnu par Wilhelm Marstrand. Il étudie à l'Académie royale danoise des beaux-arts de 1868 à 1875, se spécialisant dans la peinture de figures, mais ne réussit pas l'examen de fin d'études.

Ses premières œuvres proviennent de Hornbæk, où il a peint entre 1872 et 1876 des œuvres telles que Et Maaltid et Nabokonens Besøg.

Il s'est associé pour la première fois aux peintres de Skagen en 1875, encouragé par ses condisciples Karl Madsen et Michael Ancher.

À partir de 1885, il expose à Paris, où il s'inspire de Claude Monet, notamment dans l'utilisation des couleurs, comme le montre son tableau Christian Bindslev er syg (Christian Bindslev est malade, 1890), qui témoigne également de l'influence de Christian Krohg, l'un des autres peintres de Skagen. Après son retour de Paris, ses peintures prennent des tons plus clairs; il avait remarqué l'absence de noir dans les œuvres des artistes français et considérait ses propres œuvres antérieures comme trop sombres en comparaison. Néanmoins, Johansen est surtout connu pour les effets de lumière tamisée de ses intérieurs - dont beaucoup ont été peints après sa visite à Paris - comme dans ses tableaux Glade jul (Joyeux Noël, 1891), Aftenpassiar (Discussion du soir, 1886) et Aftenselskab i kunstnerens hjem (Soirée au domicile de l'artiste, 1899) et ses scènes de la vie familiale domestique, mais il a également peint des paysages (à Skagen, à Tisvilde et dans sa maison d'enfance, le port de pêche de Dragør, près de Copenhague), des natures mortes et des portraits[4]. Après une brouille avec P.S. Krøyer en 1891, les relations de Johansen avec les Ancher se sont tendues et lui et sa famille n'ont pas visité Skagen pendant plusieurs années.

De 1888 à 1906, il enseigne à l'École des femmes de l'Académie des artistes. Il y devient ensuite professeur jusqu'en 1920 et, pendant un certain temps, en est l'un des directeurs.

On dit qu'à Skagen, il s'intéressait autant à Mozart sur le piano de l'hôtel ou à Gluck sur l'orgue de l'église qu'à la peinture. Il se marie en 1880 avec Martha Møller, la cousine d'Anna Ancher. Martha sert souvent de modèle, par exemple dans Køkkeninteriør (Intérieur de cuisine, 1884) - qui pourrait avoir été inspiré par la composition similaire d'Anna Ancher, La fille dans la cuisine - Sovekammerscene (Scène de chambre, 1885) et Børnene vaskes (Laver les enfants, 1888), qui sont peints en partie d'après des photographies.

La sœur de Viggo Johansen, Helga, était romancière et sa fille, Ellen, était également peintre. Elle a épousé le peintre Johannes Ottesen.

En 1886, Johansen reçoit la médaille de l'Exposition pour son tableau Evening Talk. En 1889, de nombreux artistes de Skagen sont récompensés à l'Exposition universelle de Paris; Johansen reçoit une médaille d'or pour Børnene vaskes.



Et nous crevons par la blague, par l'ignorance, par l'outrecuidance, par le mépris de la grandeur, par l'amour de la banalité, et le bavardage imbécile.


Citation extraite de la lettre de Gustave Flaubert envoyée à George Sand le 26 septembre 1874.

google.fr/books/edition/Corres…

Un monde sans blague, sans humour, est un monde à mourir de tristesse.

Extrait de la lettre de Gustave Flaubert envoyée à George Sand le 26 septembre 1874:

Je suis sûr que vous me trouvez grincheux et que vous allez me répondre: Qu'est-ce que tout cela fait? Mais tout fait et nous crevons par la blague, par l'ignorance, par l'outrecuidance, par le mépris de la grandeur, par l'amour de la banalité et le bavardage imbécile.
«L'Europe qui nous hait nous regarde en riant»,
dit Ruy Blas. Ma foi, elle a raison de rire.


|Et nous crevons par la blague, par l'ignorance, par l'outrecuidance, par le mépris de la grandeur, par l'amour de la banalité, et le bavardage imbécile.|



Tous les hommes prennent les limites de leur champ visuel pour les limites du mondes.


Bien que cette citation soit dans un ouvrage en anglais, elle n'est pas attestée en allemand.

gutenberg.org/files/10732/1073…

Le document suivant écrit en allemand renvoie vers cette source en anglais (!):

fredvonallmen.ch/dmxDaten/Bele…

En outre, elle affirme qu'absolument tous les hommes sont limités dans leur perception, ce qui est évidemment faux.

La citation suivante en allemand attribuée à Schopenhauer semble bien être un apocryphe:
«Jeder Mensch hält die Grenzen seines eigenen Gesichtsfeldes für die Grenzen der Welt.»


|Tous les hommes prennent les limites de leur champ visuel pour les limites du mondes.|



Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'expliquer.


Citation apocryphe apparue comme une papillote (texte sans valeur) à la fin du XIXe siècle. On la trouve, par exemple, dans "La vie parisienne" du 5 avril 1886.

Du Shakespeare en papillote, ça ne le fait pas vraiment... 🤭


|Mieux vaut mourir incompris que passer sa vie à s'expliquer.|





René Descartes: In order to seek truth, it is necessary once in the course of our life, to doubt, as far as possible, of all things. wordsmith.social/protestation/…





René Descartes: To divide each of the difficulties under examination into as many parts as possible, and as might be necessary for its adequate solution. wordsmith.social/protestation/…


René Descartes: Common sense is the best distributed commodity in the world, for every man is convinced that he is well supplied with it. wordsmith.social/protestation/…





Enver Hoxha: In this transitional period for the consolidation of their power we see how the Khrushchevites, with great boasting about how they were acting in a “lofty party spirit”, “freed from the fear of Stalin”, and “in truly democratic and Leninist forms”, worked actively to spread the most monstrous slanders which only the bourgeoisie has dared to use against the Soviet Union and Stalin. This whole campaign of slanders supported and tried to prove with allegedly legal documents the slanders which all the capitalists had been making for years against Marxism-Leninism. Everything was used by the Khrushchevites. They searched through the archives, documents and minutes which covered decades of work and from which they extracted isolated ideas and phrases which they quoted to interpret the tactics used in the way that suited them, they even used anectodes about people's private lives, in one word, they used typical Trotskyite methods of work. All this was done in order to attack the correct revolutionary strategy of Stalin, to attack and undermine the Leninist norms, to attack the Marxist-Leninist ideology with pseudo-legal forms and to discredit Stalin and socialism in the Soviet Union and the world. wordsmith.social/protestation/…


Enver Hoxha: The great hullabaloo the Khrushchevites made about the so-called cult of Stalin was really only a bluff. It was not Stalin, who was a modest person, who had built up this cult, but all the revisionist scum accumulated at the head of the party and the state which apart from anything else, exploited the great love of the Soviet peoples for Stalin, especially after the victory over fascism. If one reads the speeches of Khrushchev, Mikoyan and all the other members of the Presidium, one will see what unrestrained and hypocritical praises these enemies poured on Stalin as long as he was alive. It is sickening to read these things when you think that behind all this praise they were hiding their hostile work from the communists and the masses who were deceived, thinking that they had to do with leaders loyal to Marxism-Leninism and comrades loyal to Stalin. wordsmith.social/protestation/…



Enver Hoxha: Before the death of Stalin, Khrushchev and his close collaborators in the putsch were among the main leaders who acted undercover, who made preparations and awaited the appropriate moment for open action on a broad scale. It is a fact that these traitors were hardened conspirators, with the experience of various Russian counter-revolutionaries, the experience of anarchists, Trotskyites and Bukharinites. They were also acquainted with the experience of the revolution and the Bolshevik Party, although they learned nothing of benefit from the revolution, but learned everything they needed to undermine the revolution and socialism, while escaping the blows of the revolution and the dictatorship of the proletariat. In short, they were counter-revolutionaries and double-dealers. On the one hand, they sang the praises of socialism, the revolution, the Bolshevik Communist Party, Lenin and Stalin, and on the other hand, they prepared the counter-revolution. Hence, all this accumulated scum carried out sabotage with the subtlest methods, which they disguised by praising Stalin and the socialist regime. These elements disorganised the revolution while organising the counter-revolution, displayed “severity” against internal enemies in order to spread fear and terror in the party, the state and the people. It was they who created a situation full of euphoria which they reported to Stalin, but in reality they destroyed the base of the party, the base of the state, caused spiritual degeneration and built up the cult of Stalin to the skies in order to overthrow him more easily in the future. wordsmith.social/protestation/…


Enver Hoxha: One of the main directions of Khrushchev’s strategy and tactics was to seize complete political and ideological power within the Soviet Union and to put the Soviet army and the state security organs in his service. The Khrushchev group would work to achieve this objective step by step. At first, it would not attack Marxism-Leninism, the construction of socialism in the Soviet Union and Stalin frontally. On the contrary, this group would base itself on the successes achieved and, moreover, would exalt them to the maximum, in order to gain credit for itself and create a situation of euphoria, with the aim of destroying the socialist base and superstructure later. First of all, this renegade group had to get control of the party, in order to eliminate the possible resistance of those cadres who had not lost their revolutionary class vigilance, to neutralise the waverers and win them over by means of persuasion or threats, as well as to promote to the key leading positions bad, anti-Marxist, careerist, opportunist elements of whom, of course, there were some in the Communist Party of the Soviet Union and the apparatus of the Soviet state. wordsmith.social/protestation/…



Enver Hoxha: The way in which the death of Stalin was announced and his funeral ceremony was organised created the impression amongst us, the Albanian communists and people, and others like us, that many members of the Presidium of the Central Committee of the Communist Party of the Soviet Union had been awaiting his death impatiently. One day after Stalin’s death on March 6, 1953, the Central Committee of the party, the Council of Ministers and the Presidium of the Supreme Soviet of the USSR were summoned to an urgent joint meeting. On occasions of great losses, such as the death of Stalin, urgent meetings are necessary and indispensable. However, the many important changes which were announced in the press one day later, showed that this urgent meeting had been held for no other reason but…the sharing out of posts! Stalin had only just died, his body had not yet been placed in the hall where the final homage was to be paid, the program for the organisation of paying homage and the funeral ceremony was still not worked out, the Soviet communists and the Soviet people were weeping over their great loss, while the top Soviet leadership found the time to share out the portfolios! Malenkov became premier, Beria became first deputy premier and minister of internal affairs, and Bulganin, Kaganovich, Mikoyan, Molotov shared the other posts. Major changes were made in all the top organs in the party and the state within that day. The Presidium and the Bureau of the Presidium of the Central Committee of the party were merged into a single organ, new secretaries of the Central Committee of the party were elected, a number of ministries were amalgamated or united, changes were made in the Presidium of the Supreme Soviet, etc. These actions could not fail to make profound and by no means favourable impressions on us. Disturbing questions arose automatically: how were all these major changes made so suddenly within one day, and not just any ordinary day, but on the first day of mourning?! Logic compels us to believe that everything had been prepared in advance. The lists of these changes had been worked out long before in suspicious secrecy and they were simply waiting for the occasion to proclaim them in order to satisfy this one and that one… wordsmith.social/protestation/…


Émile Zola: If you ask me what I came to do in this world, I, an artist, will answer you: I am here to live out loud. wordsmith.social/protestation/…


Comrades, if you stop receiving posts from one of our accounts, please visit our website to check the available accounts. wordsmith.social/protestation/…


Robin Williams: God gave men both a penis and a brain, but unfortunately not enough blood supply to run both at the same time. wordsmith.social/protestation/…



Henry Palmer: The engineer is a mediator between the philosopher and the working mechanic and, like an interpreter between two foreigners must understand the language of both, hence the absolute necessity of possessing both practical and theoretical knowledge. wordsmith.social/protestation/…