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César Pattein


César Pattein, né le 30 septembre 1850 à Steenvoorde et mort 26 janvier 1931 à Hazebrouck, était un artiste peintre français.

César Auguste Pattein est le fils de Martin Jean Pattein, cultivateur et de Reine Robitaillie.

Dans la fratrie Pattein, l'ainé David devient ferronnier d'art, Constant, Gustave et Édouard deviennent sculpteurs, c'est donc naturellement que le cadet César étudie la gravure auprès de Guillaume Cabasson. César a aussi trois sœurs plus âgées.

Progressivement arrivé à la peinture, il suit les cours d'Alphonse Colas à l'académie de Lille et se lie d'amitié avec le peintre Jules Breton. Il expose au Salon à partir de 1882.

Dans des décors de paysages de Flandre, il aime représenter des scènes où se retrouvent des enfants, comme avec Nid d'oiseaux ou Joyeux ébats, mais peint également plusieurs portraits.

Il obtient une troisième médaille au Salon de 18966.

En 1904, il épouse à Paris Marie Zoë Vermoote.

Lorsque la première Guerre mondiale éclate, il installe son atelier à Saint-Omer, et ne retrouve ses terres qu'à l'armistice, il se pose à Hondeghem.

Par le mariage de leur fille unique Georgette (1888-1969), César Pattein devient en 1919 le beau-père du peintre Maurice Deschodt.

Pour l'église de son village natal, il réalise un tableau représentant une scène de destruction, ex-voto de souffrance après les bombardements et les combats de la première Guerre mondiale.

À la création du Musée d'Hazebrouck, il est un des premiers donateurs.

Il meurt le 26 janvier 1931, à l'âge de 80 ans.



Noam Chomsky: The point of public relations slogans like "Support Our Troops" is that they don't mean anything ... that's the whole point of good propaganda. You want to create a slogan that nobody is going to be against and I suppose everybody will be for, because nobody knows what it means, because it doesn't mean anything. But its crucial value is that it diverts your attention from a question that does mean something, do you support our policy? And that's the one you're not allowed to talk about. wordsmith.social/protestation/…



Henry James Johnstone


Henry James Johnstone (1835-1907) était l'un des principaux photographes portraitistes de Melbourne, dans l'État de Victoria, en Australie, dans les années 1870 et 1880, ainsi qu'un artiste de premier plan.

Henry Johnstone est né à Birmingham, en Angleterre, en 1835. Il a étudié l'art auprès de plusieurs professeurs privés et à la Birmingham School of Design avant de rejoindre l'entreprise photographique de son père.

Il est arrivé à Melbourne, en Australie, en 1853, à l'âge de 18 ans. En 1862, il rachète le studio Duryea et MacDonald et commence à travailler sous le nom de Johnstone and Co. En 1865, l'entreprise devient Johnstone, O'Shannessy and Co. avec sa partenaire Emily O'Shannessy et le copropriétaire George Hasler.

Johnstone, O'Shannessy & Co. étaient les principaux photographes portraitistes de Melbourne, dont les services étaient sollicités par des gouverneurs, des membres de la famille royale en visite, des hommes politiques et d'autres membres éminents de la société. Johnstone impressionne le duc d'Édimbourg lors de sa visite dans le Victoria et est nommé photographe royal.

Des exemples de portraits photographiques de Johnstone, O'Shannessy & Co. ont été présentés à l'exposition du centenaire de Philadelphie en 1875 et à l'exposition internationale de Melbourne en 1888, où l'excellence de leur travail a été soulignée par les juges.

Johnstone était également un artiste de premier plan. Après avoir étudié avec le sculpteur Charles Summers, puis rejoint l'école de peinture de Louis Buvelot en 1867, il s'inscrit à l'école de peinture de la National Gallery de Melbourne sous la direction de Thomas Clark. Il devient membre de l'Académie victorienne des arts en 1871 et de la Société des artistes britanniques.

En 1876, Johnstone quitte Melbourne pour l'Australie-Méridionale, où ses études réalistes et très détaillées de scènes locales sont bien accueillies ; il est représenté à l'Art Gallery of South Australia par trois tableaux : Evening shadows, backwater of the Murray, The Waterfall, Morialta et un nu sans titre assis au bord d'un ruisseau. Il voyage ensuite beaucoup en Amérique, puis en 1880 à Londres, où il expose régulièrement à la Royal Academy jusqu'en 1900. Il peint sur commande plusieurs paysages pour l'entrepreneur de théâtre Edgar Chapman. Il meurt à Londres en 1907 à l'âge de 72 ans.





In terms of bourgeois law, Stalin and other Bolsheviks will always be criminals. Just like Spartacus, who broke the laws of the Roman Empire, was a criminal for slave owners. The ruling class writes the laws. But the truth is that the capitalist system itself is criminal and anti-human. (@upholdreality) wordsmith.social/protestation/…




Issac Newton: A man may imagine things that are false, but he can only understand things that are true, for if the things be false, the apprehension of them is not understanding. wordsmith.social/protestation/…







C'est le fait d'un ignorant d'accuser les autres de ses propres échecs, celui qui a commencé de s'instruire s'en accuse soi-même, celui qui est instruit n'en accuse ni autrui ni soi-même.


Traduction qui déforme la pensée d'Épictète dans son "Manuel" rédigé par son disciple Arrien (vers 125 après J.-C.), Épictète n'ayant lui-même rien écrit, comme Socrate).

google.fr/books/edition/Manuel…

Extrait du "Manuel" d'Épictète rédigé par son disciple Arrien (vers 125 après J.-C.):

Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, mais leurs opinions sur les choses. Par exemple, la mort n'est rien de terrible, car Socrate aussi l'aurait trouvée terrible; mais notre opinion sur la mort, qui nous la fait regarder comme terrible, voilà ce qui est terrible. Lors donc que nous sommes entravés, ou troublés, ou affligés, n'accusons jamais autrui, mais nous-mêmes, c'est-à-dire nos opinions. Œuvre d'ignorant, que d'accuser les autres de ses propres maux; l'homme qui commence à s'instruire s'accuse lui-même; l'homme instruit, ni les autres ni soi.


|C'est le fait d'un ignorant d'accuser les autres de ses propres échecs, celui qui a commencé de s'instruire s'en accuse soi-même, celui qui est instruit n'en accuse ni autrui ni soi-même.|



Assure-toi que la bougie est allumée avant d'éteindre l'allumette.


"Proverbe" qui semble être apparu en 2010 sur Internet. Je ne l'ai trouvé dans aucun ouvrage. En plus, il est idiot.

https://x.com/PetiteNini/status/11884851210

Repris dans un film de 2016.

getyarn.io/yarn-clip/c5b6121e-…


|Assure-toi que la bougie est allumée avant d'éteindre l'allumette|






Comrades, if you stop receiving posts from one of our accounts, please visit our website to check the available accounts. wordsmith.social/protestation/…



Issac Newton: If I have ever made any valuable discoveries, it has been due more to patient attention, than to any other talent. wordsmith.social/protestation/…




Issac Newton: To myself I am only a child playing on the beach, while vast oceans of truth lie undiscovered before me. wordsmith.social/protestation/…


Friedrich Engels: All revolutions up to the present day have resulted in the displacement of the rule of one class by the rule of another; but all ruling classes up to now have been only small minorities in relation to the ruled mass of the people. One ruling minority was thus overthrown; another minority seized the helm of state in its stead and refashioned the state institutions to suit its own interests. Thus on every occasion a minority group was enabled and called upon to rule by the given degree of economic development; and just for that reason, and only for that reason, it happened that the ruled majority either participated in the revolution for the benefit of the former or else simply acquiesced in it. But if we disregard the concrete content in each case, the common form of all these revolutions was that they were minority revolutions. Even when the majority took part, it did so — whether wittingly or not — only in the service of a minority; but because of this, or even simply because of the passive, unresisting attitude of the majority, this minority acquired the appearance of being the representative of the whole people. wordsmith.social/protestation/…


Tony Benn: The way a government treats refugees is very instructive because it shows you how they would treat the rest of us if they thought they could get away with it. wordsmith.social/protestation/…


Thomas Sowell: When you want to help people, you tell them the truth. When you want to help yourself, you tell them what they want to hear. wordsmith.social/protestation/…


Ursula K. Le Guin: To learn which questions are unanswerable, and not to answer them: this skill is most needful in times of stress and darkness. wordsmith.social/protestation/…



Alessandro Manzoni: Bullies, oppressors and all men who do violence to the rights of others are guilty not only of their own crimes, but also of the corruption they bring into the hearts of their victims. wordsmith.social/protestation/…


Harriet Jacobs: Every where the years bring to all enough of sin and sorrow; but in slavery the very dawn of life is darkened by these shadows. wordsmith.social/protestation/…



Victor Gilbert


Victor Gabriel Gilbert, né le 13 février 1847 à Paris et mort le 21 juillet 1935 dans la même ville, était un artiste peintre français.

D'origine modeste, Victor Gilbert est placé en 1860 comme apprenti chez un peintre décorateur. Il suit, le soir, des cours d’art sous la direction du père Levasseur, à l’École de la Ville de Paris. Il débute au Salon des artistes français de 1873, avec deux toiles, Avant le bal et Les apprêts du diner. Vers la fin des années 1870, son goût pour le naturalisme s'affirme et il se tourne vers la peinture de genre avec des scènes de rues, de cafés, de marchés, en particulier celui des Halles. Il obtient une médaille de seconde classe au Salon de 1880 et une médaille d’argent à l’exposition universelle de 1889. Il devient sociétaire de la Société des artistes français en 1914.

Son travail devient populaire dans les années 1880, du fait que la maison Goupil & Cie, gros producteur d'estampes, traduit ses toiles en «chromos» photogravés, et les diffuse partout.

Victor Gilbert est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 18975, et reçoit le prix Léon Bonnat en 1926.

Durant la Belle Époque, les trottoirs de Paris étaient peuplés de marchands de toutes sortes. Témoin de son temps, Victor Gilbert s'intéresse à la stature et fierté des travailleurs des Halles, aux marchés de Paris, mais aussi de province. Ses bols de soupe fumante et autre bœuf dépecé, sa vision, sensible, témoigne aussi de la dureté de la vie quotidienne.

Les critiques de l’époque disent de lui «La peinture de Victor Gilbert chante le travail au grand jour (…) elle n’exalte que les labeurs honnêtes. Elle est vivante et bien moderne, pleine d’exubérance et de force, avec des raffinements et des délicatesses de tons d’une habilité et d’une souplesse qui sentent la maîtrise.»

Victor Gilbert aime tout autant peindre la fraîcheur et gaîté de l'enfance à Paris ou en province. Ses couleurs sont paisibles, reposante aux harmonies heureuses. Durant cette période, enfin le statut de l’enfant évolue. Le mariage arrangé fait place petit à petit au mariage par amour, qui va sacraliser le nouveau-né. Victor Gilbert peint remarquablement cette période de l'enfant-roi… qui croise celui qui mendie.

Primé au Salon des artistes français, reconnu comme un personnage illustre de son temps, Victor Gilbert est reçu dans les milieux mondains. Son élégance naturelle en fait un invité de choix. Il témoignera également de ces moments de fêtes qui marquèrent la Belle époque.

Il est inhumé au cimetière de Montmartre à Paris (19e division).