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Vladimir Makovski


Vladimir Egorovitch Makovski (en russe Владимир Егорович Маковский), né le 7 février 1846 à Moscou et mort le 21 février 1920 à Petrograd (aujourd'hui Saint-Pétersbourg), était un peintre de genre réaliste, portraitiste et collectionneur russe.

Vladimir Makovski est le fils d'Egor Ivanovitch Makovski, collectionneur d'art et l'un des fondateurs de l'École de peinture, de sculpture et d'architecture de Moscou. Sa mère est d'origine germano-balte. Il a deux frères Nicolas et Constantin et une sœur Alexandra qui furent tous des peintres renommés de leur époque. Il prit des leçons avec Vassili Tropinine. Il réalisa sa première toile à quinze ans, Garçon vendeur de kvas. Vladimir devient membre des ambulants, après avoir terminé l'école de peinture, de sculpture et d'architecture de Moscou en 1869, où il fut entre autres l'élève de Vassili Zarianko, d'Eugraphe Sorokine et de Tropinine.

Il prend l'enfance pour thème, après la naissance de son fils Alexandre en 1869 et Tretiakov lui achète ses premiers tableaux pour sa galerie. Il est nommé académicien en 1873 avec son tableau Les Amateurs de rossignol qui est exposé à l'exposition internationale de Vienne. Il s'attire l'admiration de Dostoïevski. Makovski enseigne à l'école de peinture, sculpture et architecture de 1882 à 1894 et de 1894 à 1918 à l'Académie impériale des beaux-arts de Saint-Pétersbourg, dont il devient recteur en 1895. Il fait un portrait officiel de l'impératrice Maria Fiodorovna en 1885.

Il est enterré au cimetière Volkovo.

Il a eu notamment pour élève Sergueï Vinogradov.

Son fils Alexandre Makovski, ses frères Constantin et Nikolaï et sa sœur Alexandra Makovskaïa sont également des peintres réputés.



Marwan Makhoul: In order for me to write poetry that isn’t political I must listen to the birds and in order to hear the birds the warplanes must be silent. wordsmith.social/protestation/…


Bible: For nothing is hidden that will not be made manifest, nor is anything secret that will not be known and come to light. wordsmith.social/protestation/…



François-Alfred Delobbe


François-Alfred Delobbe, né le 13 octobre 1835 à Paris et mort à Paris 14e le 10 février 1915, était un peintre naturaliste français.

Élève d'Abel-François Lucas, de Thomas Couture et de William Bouguereau à l'École des beaux-arts de Paris, puis des cours de l'École impériale de dessin, il débute au Salon des artistes français de 1861 avec un portrait de sa mère qui attire l'attention. C'est un peintre de genre, de portraits et de paysages. Il reçoit de nombreuses distinctions et prix (une médaille en 1874 pour son tableau "Musique Champêtre" et en 1875 pour "Pyrame et Thisbée", ainsi que des commandes officielles, comme la décoration de la mairie du XVe siècle arrondissement de Paris.

De 1875 jusqu'à sa mort, il séjourne régulièrement à Concarneau où il se lie d'amitié avec le peintre Alfred Guillou, dans la maison duquel il habite parfois (il peint d'ailleurs un Portrait de Mélanie Guillou, la sœur de son hôte), mais il descend aussi à l'Hôtel de France près de la gare de Concarneau. Il peint simplement sous une lumière douce et blonde des scènes de genre, des paysages inspirés par cette région bretonne, des portraits d'enfants ou de jeunes femmes, des scènes souvent paysannes. François-Alfred Delobbe peint des esquisses en plein air pendant le printemps et l'été et achève ses tableaux l'hiver dans son atelier parisien. Plusieurs de ses modèles préférés habitaient Concarneau et sa région (Beuzec-Conq, Lanriec).






Thérèse Schwartze


Thérèse Schwartze, née le 20 décembre 1851 et morte le 23 décembre 1918, était une peintre hollandaise de portraits.

Thérèse Schwartze est née le 20 décembre 1851 à Amsterdam aux Pays-Bas. Elle est la fille du peintre Johan Georg Schwartze, qui avait grandi à Philadelphie et s'était formé à Düsseldorf.

Elle reçoit sa première formation auprès de son père, avant d'étudier pendant un an à la Rijksacademie van Beeldende Kunsten. Ensuite, elle se rend à Munich et étudie sous la direction de Gabriel Max et de Franz von Lenbach. En 1879, elle se rend à Paris pour poursuivre ses études auprès de Jean-Jacques Henner. Quand elle retourne à Amsterdam, elle devient membre de la société d'artistes plasticiens Arti et Amicitiae.

Le 22 juillet 1918, son mari, Anton van Duyl, meurt. Comme Thérèse Schwartze était en mauvaise santé à l'époque (et essayait de le cacher), la mort de son mari a été un choc qu'elle ne pouvait pas surmonter facilement. Elle meurt à Amsterdam le 23 décembre 1918 d'une maladie soudaine.

Elle est inhumée au cimetière de Zorgvlied à Amsterdam. Plus tard, elle est inhumée au cimetière Nieuwe Ooster à Amsterdam, où sa sœur a créé un monument en sa mémoire, modelé d'après son masque de mort, qui est maintenant considéré comme un monument national.

Ses portraits, principalement de l'élite d'Amsterdam, sont remarquables pour l'excellence du dessin de personnages, une largeur et une vigueur de manipulation et une richesse de pigment. Elle signe ses œuvres «Th. Schwartze» et se marie à la fin de sa vie en 1906 à Anton van Duyl, après quoi elle signe ses œuvres «Th. V Duyl.Schwartze». Elle est l'une des rares femmes peintres à être honorée par une invitation à apporter ses portraits à la salle des peintres à la Galerie Uffizi de Florence. Certaines de ses meilleures œuvres, notamment un portrait de Petrus Jacobus Joubert, et Trois pensionnaires de l'orphelinat d'Amsterdam, se trouvent au Rijksmuseum, et une autre intitulée Cinq orhelines d'Amsterdam au musée Boijmans Van Beuningen à Rotterdam. Sa nièce Lizzy Ansingh, qu'elle a peinte quelques fois, est également devenue peintre. Sa sœur Georgine Schwartze est devenue sculptrice. Elle a vécu avec sa famille élargie au 1091 Prinsengracht à Amsterdam et a peint ses camarades en 1915.



Friedrich Hayek: “Emergencies” have always been the pretext on which the safeguards of individual liberty have eroded. wordsmith.social/protestation/…




Robert Mugabe: The support and inspiration Comrade Enver Hoxha provided to the people of Zimbabwe during their struggle for liberation will be remembered forever. wordsmith.social/protestation/…


György Lukács: (T)he proletariat is the first oppressed class in history that has been capable of countering the oppressors’ philosophy with an independent and higher world-view of its own. wordsmith.social/protestation/…



Friedrich Engels: Our view, which we have found confirmed by long practice, is that the correct tactic in propaganda is not to draw away a few individuals and members here and there from one's opponent, but to work on the great mass which still remains apathetic. The primitive force of a single individual whom we have ourselves attracted from the crude mass is worth more than ten Lassallean renegades, who always bring the seeds of their false tendencies into the Party with them. wordsmith.social/protestation/…



James Connolly: War is a relic of barbarism only possible because we are governed by a ruling class with barbaric ideas; the working class of all countries cannot hope to escape the horrors of war until, in all countries, that barbaric ruling class is thrown from power. wordsmith.social/protestation/…


Stalin: In 1917 the chain of the imperialist world front proved to be weaker in Russia than in the other countries. It was there that the chain broke and provided an outlet for the proletarian revolution. Why? Because in Russia a great popular revolution was unfolding, and at its head marched the revolutionary proletariat, which had such an important ally as the vast mass of the peasantry, which was oppressed and exploited by the landlords. Because the revolution there was opposed by such a hideous representative of imperialism as tsarism, which lacked all moral prestige and was deservedly hated by the whole population. The chain proved to be weaker in Russia, although Russia was less developed in a capitalist sense than, say, France or Germany, Britain or America. Where will the chain break in the near future? Again, where it is weakest. It is not precluded that the chain may break, say, in India. Why? Because that country has a young, militant, revolutionary proletariat, which has such an ally as the national liberation movement -- an undoubtedly powerful and undoubtedly important ally. Because there the revolution is confronted by such a well-known foe as foreign imperialism, which has no moral credit and is deservedly hated by all the oppressed and exploited masses of India. It is also quite possible that the chain will break in Germany. Why? Because the factors which are operating, say, in India are beginning to operate in Germany as well, but, of course, the enormous difference in the level of development between India and Germany cannot but stamp its imprint on the progress and outcome of a revolution in Germany. wordsmith.social/protestation/…


Karl Marx: It requires a fully developed production of commodities before, from accumulated experience alone, the scientific conviction springs up, that all the different kinds of private labour, which are carried on independently of each other, and yet as spontaneously developed branches of the social division of labour, are continually being reduced to the quantitative proportions in which society requires them. And why? Because, in the midst of all the accidental and ever fluctuating exchange relations between the products, the labour time socially necessary for their production forcibly asserts itself like an over-riding law of Nature. The law of gravity thus asserts itself when a house falls about our ears.(29) The determination of the magnitude of value by labour time is therefore a secret, hidden under the apparent fluctuations in the relative values of commodities. wordsmith.social/protestation/…





Always be on the alert against trotskyism, reformism and revisionism / Soyez toujours en alerte contre le trotskysme, le réformisme et le révisionnisme / Seid immer wachsam gegen Trotzkismus, Reformismus und Revisionismus


Karl Marx: It is not enough that the conditions of labour are concentrated in a mass, in the shape of capital, at the one pole of society, while at the other are grouped masses of men, who have nothing to sell but their labour-power. Neither is it enough that they are compelled to sell it voluntarily. The advance of capitalist production develops a working class, which by education, tradition, habit, looks upon the conditions of that mode of production as self-evident laws of Nature. The organisation of the capitalist process of production, once fully developed, breaks down all resistance. The constant generation of a relative surplus-population keeps the law of supply and demand of labour, and therefore keeps wages, in a rut that corresponds with the wants of capital. The dull compulsion of economic relations completes the subjection of the labourer to the capitalist. Direct force, outside economic conditions, is of course still used, but only exceptionally. In the ordinary run of things, the labourer can be left to the “natural laws of production,” i.e., to his dependence on capital, a dependence springing from, and guaranteed in perpetuity by, the conditions of production themselves. It is otherwise during the historic genesis of capitalist production. The bourgeoisie, at its rise, wants and uses the power of the state to “regulate” wages, i.e., to force them within the limits suitable for surplus-value making, to lengthen the working-day and to keep the labourer himself in the normal degree of dependence. This is an essential element of the so-called primitive accumulation. wordsmith.social/protestation/…


Shakespeare: We are oft to blame in this, - 'tis too much proved, - that with devotion's visage, and pious action we do sugar o'er the devil himself. wordsmith.social/protestation/…



Enver Hoxha: I pledge before the flag and my pioneer comrades that I will always learn, work and live as a worthy son of the Party and the Homeland. wordsmith.social/protestation/…


Theodore Roosevelt: When they call the roll in the Senate, the Senators do not know whether to answer 'Present' or 'Not Guilty'. wordsmith.social/protestation/…



Robert A. Heinlein: You can sway a thousand men by appealing to their prejudices quicker than you can convince one man by logic. wordsmith.social/protestation/…


James Douglas Morrison: The most important kind of freedom is to be what you really are. You trade in your reality for a role. You trade in your sense for an act. You give up your ability to feel, and in exchange, put on a mask. There can't be any large-scale revolution until there's a personal revolution, on an individual level. It's got to happen inside first. wordsmith.social/protestation/…