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Always be on the alert against trotskyism, reformism and revisionism / Soyez toujours en alerte contre le trotskysme, le réformisme et le révisionnisme / Seid immer wachsam gegen Trotzkismus, Reformismus und Revisionismus


Karl Marx: It is not enough that the conditions of labour are concentrated in a mass, in the shape of capital, at the one pole of society, while at the other are grouped masses of men, who have nothing to sell but their labour-power. Neither is it enough that they are compelled to sell it voluntarily. The advance of capitalist production develops a working class, which by education, tradition, habit, looks upon the conditions of that mode of production as self-evident laws of Nature. The organisation of the capitalist process of production, once fully developed, breaks down all resistance. The constant generation of a relative surplus-population keeps the law of supply and demand of labour, and therefore keeps wages, in a rut that corresponds with the wants of capital. The dull compulsion of economic relations completes the subjection of the labourer to the capitalist. Direct force, outside economic conditions, is of course still used, but only exceptionally. In the ordinary run of things, the labourer can be left to the “natural laws of production,” i.e., to his dependence on capital, a dependence springing from, and guaranteed in perpetuity by, the conditions of production themselves. It is otherwise during the historic genesis of capitalist production. The bourgeoisie, at its rise, wants and uses the power of the state to “regulate” wages, i.e., to force them within the limits suitable for surplus-value making, to lengthen the working-day and to keep the labourer himself in the normal degree of dependence. This is an essential element of the so-called primitive accumulation. wordsmith.social/protestation/…


Shakespeare: We are oft to blame in this, - 'tis too much proved, - that with devotion's visage, and pious action we do sugar o'er the devil himself. wordsmith.social/protestation/…



Enver Hoxha: I pledge before the flag and my pioneer comrades that I will always learn, work and live as a worthy son of the Party and the Homeland. wordsmith.social/protestation/…


Theodore Roosevelt: When they call the roll in the Senate, the Senators do not know whether to answer 'Present' or 'Not Guilty'. wordsmith.social/protestation/…



Robert A. Heinlein: You can sway a thousand men by appealing to their prejudices quicker than you can convince one man by logic. wordsmith.social/protestation/…


James Douglas Morrison: The most important kind of freedom is to be what you really are. You trade in your reality for a role. You trade in your sense for an act. You give up your ability to feel, and in exchange, put on a mask. There can't be any large-scale revolution until there's a personal revolution, on an individual level. It's got to happen inside first. wordsmith.social/protestation/…





Al Capone: This American system of ours,call it Americanism,call it capitalism,call it what you will,gives each and every one of us a great opportunity if we seize it with both hands and make the most of it. wordsmith.social/protestation/…



Emma Tenayuca: I was arrested a number of times. I don't think that I felt exactly fearful. I never thought in terms of fear. wordsmith.social/protestation/…





Henry Mosler


Henry Mosler (né le 6 juin 1841 à Tropplowitz et mort le 21 avril 1920 à New York), était un peintre américain, graveur sur bois, dessinateur et illustrateur qui a documenté la vie américaine, y compris les thèmes coloniaux, illustrations de la guerre de Sécession, et fait des portraits d'hommes et de femmes de la société.

Henry Mosler déménage avec sa famille à New York en 1849 alors qu'il a huit ans. Son père, Gustave Mosler, avait travaillé comme lithographe en Europe, mais à New York, il trouve du travail chez un fabricant de cigares et de tabac. En 1851, la famille déménage à Cincinnati (Ohio), site d'une communauté juive allemande importante. Henry, encore adolescent, entre en apprentissage chez un graveur sur bois, Horace C. Grosvenor, et apprend aussi les rudiments de la peinture grâce à un peintre paysagiste amateur, George Kerr.

Après des études de dessin, Henry Mosler devient un dessinateur de bande dessinée sur papier à l'Omnibus (Cincinnati) en 1855. De 1859 à 1861, il étudie avec James Henry Beard, et de 1862 à 1863, pendant la guerre de Sécession, il sert en tant que correspondant de guerre de l'hebdomadaire Harper's weekly.

Comme la plupart des Juifs nordistes, Mosler était un fervent partisan de l'Union. Il est aide de camp de l'armée de l'Ohio, de 1861 à 1863, et publie 34 dessins dans Harper's weekly, 18 d'entre eux représentant la campagne du Kentucky et de l'Ohio en 1862 Il a également fait plusieurs portraits de généraux.

En 1863, Henry Mosler se rend à Düsseldorf, où pendant près de trois ans, il étudie à l'Académie royale, recevant l'enseignement de Heinrich Mücke et d'Albert Kindler (1833-1876), puis il se rend à Paris, où il étudie pendant six mois chez Ernest Hébert. Il revient à Cincinnati en 1866, où il reçoit de nombreuses commandes de portraits. Son premier tableau célèbre The Lost Cause (La Cause perdue) est exposé à l'Académie américaine de design en 1868, suivi bientôt par le groupe Betsy Ross Making the First American Flag (Betsy Ross faisant le premier drapeau américain).

Après avoir épousé Sara Cahn en 1869 à Cincinnati, Henry Mosler est de retour en France en 1874, puis étudie à Munich pendant trois ans sous la direction de Carl Theodor von Piloty, remportant une médaille à la Royal Academy. En 1877, il revient en France, et pendant son séjour en Bretagne, notamment à Pont-Aven, il peint The Quadroon Girl et Early Care, qui tous deux ont été acceptés par le Salon de 1879. Son Retour [du fils prodigue], exposé au Salon de Paris de 1879, est la première peinture américaine jamais achetée pour le palais du Luxembourg. Il reçoit une médaille d'argent au Salon de Paris de 1889, et une médaille d'or à Paris en 1888 et à Vienne en 1893. Il reste en France jusqu'en 1894.

Henry Mosler «sillonna la région de Pont-Aven entre 1879 et 1884 où il peignit des scènes rurales au réalisme parfois exacerbé. Mosler s'inscrit dans la mouvance artistique de la fin du XIXe siècle faisant l'éloge la vie rurale et de ses valeurs profondes face à la montée de l'urbanisme et de l'industrialisation».

En 1894, il déménage avec sa famille à New York, ouvrant un studio à Carnegie Hall. Il sert en tant qu'associé à l'Académie américaine de design, et continue à peindre pendant les premières années du XXe siècle. Il meurt d'une crise cardiaque à l'âge de 78 ans.

Des tableaux de lui sont actuellement dans les collections du musée d'art d'Allentown, le musée d'art de Wichita, le Smithsonian American Art Museum, la Bibliothèque Huntington, le musée des beaux-arts de Boston, le musée d'art Morris à Augusta, le Sydney Art Museum, le Cincinnati Art Museum, le musée d'art de Richmond, les musées d'art de Springfield, dans le Massachusetts, et divers musées à New York.




Yasser Arafat: Revolutionary greetings, with sadness and deep sorrow, we learned of the death of Comrade Enver Hoxha, the First Secretary of the Central Committee of the Party of Labour of Albania. On behalf of the Palestinian Arab people, on behalf of my brothers, members of the Executive Committee of the Palestine Liberation Organization, and personally, I extend to you, to the government and the Albanian people my sincere condolences. Our Palestinian people, under the leadership of the PLO, will not forget the principled positions of the great leader Enver Hoxha in favour of the just struggle of the Palestinian people to regain their inalienable national rights, including the right to return, self-determination and the establishment of an independent national state on their homeland. Please, dear Comrade Ramiz Alia, convey to the leader's family as well as to your respected government, your great Party, and your friendly people wishes for progress and prosperity under your wise leadership. Revolution until victory. wordsmith.social/protestation/…



Lajos Bruck


Lajos Bruck, né à Pápa le 3 novembre 1846 et mort à Budapest le 3 décembre 1910, était un peintre hongrois.

À l'âge de quinze ans, il est emmené à Pest, où il acquiert les premiers éléments de la peinture dans des ateliers de peintres. En 1865, il est admis à l'Académie de Vienne. Il y étudie avec Geiger et Wurzinger. En 1869, il se rendit en Italie avec une bourse publique, où il peignit pendant un certain temps à l'Académie des beaux-arts sous la direction de Molmenti.

Lors de l'exposition universelle de 1873 à Vienne, il apparaît pour la première fois avec ses deux tableaux, la foire à Ponte Rialto, peinte en plan fixe, et une cuisine Falusi de style hongrois, qu'il a exposée à Pest cette année. Il se rend alors à Pár (1874) pour le prix de ces tableaux et une bourse publique, où il travaille quelque temps chez Munkácsy. Après deux ans de séjour, il s'installe en 1876 au Salon de la paroisse.

Il vit ensuite à Londres, où il est le portraitiste le plus recherché de la cour et de l'aristocratie anglaise, et travaille activement en tant que président de l'Association hongroise de Londres. Parmi ses expositions les plus importantes à la Royal Academy figurent le portrait de Lady Folkestone, du comte de Radnor et le célèbre quatuor Joachim.

En 1885, il retourne à Budapest avec sa famille et y vit jusqu'à sa mort. En 1899, il dirige l'exposition d'artistes hongrois à Saint-Pétersbourg, que le tsar Miklós ouvre pour lui et pour laquelle le tsar lui remet la croix de chevalier de l'ordre du Soleil. Il est l'un des membres fondateurs du Salon national. En 1896, il peint les portraits du roi Ferenc József Ier et de la reine Élisabeth pour la salle d'audience du palais de justice de Budapest.

Ses esquisses présentées dans l'exposition montrent ces peintures contemporaines avec des maîtres français contemporains, et pas seulement avec des maîtres liés à Corot.

Ses œuvres sont conservées à la Galerie nationale hongroise.




Daniel Ridgway Knight


Daniel Ridgway Knight, né le 15 mars 1839 à Philadelphie en Pennsylvanie et mort le 9 mars 1924 à Neuilly-sur-Seine, était un peintre américain.

En 1861, Daniel Knight vient à Paris pour étudier la peinture et rentre à l'École des beaux-arts, avec Cabanel comme professeur puis dans l'atelier de Charles Gleyre et plus tard dans celui de Jean-Louis-Ernest Meissonier.

En 1863, il repart aux États-Unis à l'armée et étudie les portraits et les expressions.

En 1872, il revient vivre en France, dans sa maison et son atelier de Poissy. Il rencontre Renoir, Sisley.

Impressionné par le travail de Jean-François Millet en 1874 à Barbizon, il rencontre le peintre mais trouve que ses œuvres sont par trop fatalistes, il préfère peindre le peuple dans ses bons moments de tous les jours: des paysannes dans la nature ou aux tâches ménagères. C'est un peintre naturaliste.

À partir de 1883, il peint des vues de son jardin à Rolleboise, à l'ouest de Paris.

La médaille d'argent et la croix de la Légion d'honneur lui ont été décernées à l'Exposition universelle de Paris en 1889 2 et il a été fait chevalier de l'Ordre royal de Saint-Michel en Bavière à Munich en 1893. La même année, il reçut également la médaille d'or de l'Académie des Beaux arts de Pennsylvanie à Philadelphie.

Il meurt à Neuilly-sur-Seine le 9 mars 1924.

L'un de ses fils, Louis Aston Knight est un peintre de paysage. Son fils Charly Knight est architecte.