Carl Schlesinger
Carl Schlesinger (1825-1893) est un peintre de genre et de paysage suisse-allemand. Il est le frère du peintre Felix Schlesinger.
Schlesinger commence son apprentissage de la peinture à Hambourg, avec Gerdt Hardorff et Hermann Kauffmann, et le poursuit en 1844 à l'Académie de Prague avec Christian Ruben.
En 1850, il se rend à Anvers, où il termine son apprentissage. Depuis 1852, il vit à Düsseldorf, où son frère Felix, qui est comme lui affecté à l'école de Düsseldorf, a suivi une formation à l'académie et auprès de Rudolf Jordan.
Depuis 1852, il vit à Düsseldorf, où son frère Felix, qui est comme lui affecté à l'école de Düsseldorf, a suivi une formation à l'académie et auprès de Rudolf Jordan.
De là, il effectue de nombreux voyages d'études. De 1852 à 1893, Schlesinger fait partie de l'association d'artistes Malkasten. Il est également membre de l'association des artistes de Hambourg depuis 1832.
Les œuvres de Schlesinger sont notamment exposées à la Kunsthalle de Hambourg, au Mueseo Revoltella de Trieste et à la galerie de l'Académie des beaux-arts de Vienne.
Felix Schlesinger
Felix Schlesinger (né le 9 octobre 1833 à Hambourg, mort en 1910) était un peintre de genre allemand de l'école de Düsseldorf. Il est le frère du peintre Carl Schlesinger.
Felix Schlesinger est né dans une famille de peintres. En 1848, il reçoit sa première formation artistique auprès de Friedrich Heimerdinger dans sa ville natale de Hambourg, puis à Anvers, à l'Académie des beaux-arts de Düsseldorf et à Paris. Entre 1861 et 1863, il travaille principalement à Francfort-sur-le-Main, avant de s'installer définitivement à Munich. Il s'y établit progressivement comme peintre de genre et expose régulièrement ses tableaux à Munich, Dresde, Vienne et Berlin. Schlesinger se consacre principalement à la vie de famille et aux enfants à la campagne. Bien que l'on sache peu de choses sur sa vie privée, les représentations des enfants dans ses tableaux suggèrent que Schlesinger était lui-même un mari et un père, et que ses propres enfants peuvent être vus dans les tableaux. Au fil des ans, les mêmes enfants apparaissent à différents âges de leur vie, ce qui pourrait donner une indication de la date à laquelle les tableaux ont été peints. À ses débuts, ses œuvres s'orientent vers le langage narratif de ses premiers professeurs, puis il adopte un style plus réaliste. Après s'être installé à Munich, son œuvre devient de plus en plus naturaliste et expressive. Schlesinger est mort en 1910 à l'âge de 77 ans. Ses représentations humoristiques et sensibles de la vie quotidienne des enfants ont séduit de nombreux collectionneurs, en particulier au Royaume-Uni et aux États-Unis, et ses peintures sont encore très populaires de nos jours. En outre, ses œuvres figurent dans de nombreuses collections publiques, notamment au Stedelijk Museum d'Amsterdam, à la Kunsthalle de Hambourg et au Milwaukee Art Museum dans l'État américain du Wisconsin.
Fritz Sonderland
Fritz Sonderland, né le 20 septembre 1836 à Düsseldorf et mort le 13 juin 1896 dans la même ville, était un peintre et graphiste allemand de l'école de Düsseldorf.
Fils du célèbre peintre, graveur, illustrateur et lithographe de Düsseldorf Johann Baptist Sonderland, il commença par suivre une formation d'ingénieur. De 1853 à 1861, il suivit son père et étudia à l'académie des arts de Düsseldorf, où il se lia d'amitié avec les peintres de genre Hubert Salentin, Friedrich Hiddemann et Ernst Bosch. Ses professeurs étaient Josef Wintergerst dans la classe élémentaire, Theodor Hildebrandt dans la classe préparatoire et, à partir de 1858, Karl Ferdinand Sohn et Eduard Bendemann dans la classe de composition ou de maître. S'y ajoutaient Karl Mosler (histoire de l'art), Heinrich Mücke (anatomie et enseignement des proportions) ainsi que Rudolf Wiegmann (école de construction).
C'est dans l'atelier de Hiddemann qu'il poursuit sa formation de peintre de tableaux de genre anecdotiques. Il entreprit des voyages sur le Rhin et la Moselle, en Westphalie, dans la Forêt-Noire et dans la Schwalm. Ses compositions, pour la plupart ironiques et humoristiques, devinrent extrêmement populaires et présentent dans leur conception des références évidentes aux œuvres de Hiddemann et de Benjamin Vautier. Dès le début des années 1860, ses œuvres furent présentées dans des expositions à Düsseldorf, Berlin, Munich (diplôme en 1876) et dans de nombreuses autres villes allemandes, mais aussi à Vienne, Glasgow, Londres (médaille en 1874), et Chicago (exposition d'art de l'Exposition universelle de 1893). Grâce à des reproductions dans les journaux de divertissement très répandus de l'époque - entre autres «Daheim», «Die Gartenlaube», «Der Salon», «Illustrirte Zeitung» ou «Über Land und Meer» - il a atteint une grande notoriété. S'il n'était pas aussi connu que son père de son vivant, ses tableaux jouissent encore aujourd'hui d'une popularité durable auprès des maisons de vente aux enchères.
Sonderland a résidé et travaillé toute sa vie à Düsseldorf et a fait partie de l'association d'artistes Malkasten (KVM) ainsi que de l'association académique d'artistes «Orient».
Le mariage c'est pas la mer à boire, mais la belle-mère à avaler.
Il ne s'agit pas d'un proverbe, mais de l'extrait d'une blague qui a circulé dans les années 1980.
google.fr/books/edition/200_hi…
Insistez sur le fait étonnant que la plupart des êtres humains ont, auront, ou ont déjà eu des beaux-parents. Pour certains, c'est une révélation, bien qu'il s'agisse d'une situation universelle.
Ne leur dites pas que:
- Le mariage, ce n'est pas la mer à boire mais la belle-mère à avaler.
Mais que:
- Pour vivre heureux avec sa femme, il est essentiel d'apprécier sa belle-mère.
|Le mariage c'est pas la mer à boire, mais la belle-mère à avaler.|
Gustaf Cederström
Gustaf Olof Cederström est un peintre, né le 12 avril 1845 à Stockholm en Suède et mort le 20 août 1933 dans la même ville.
Il est connu pour Les Funérailles de Charles XII de Suède (1878) et la Bataille de Narva (1910).
Cederström s'enrôla dans l'armée et devint sous-lieutenant d'un régiment de chasseurs à pied en Värmland. Il prit des cours de dessin auprès de Ferdinand Fagerlin à Düsseldorf et de Léon Bonnat à Paris, où il se lia avec son compatriote Nils Forsberg, et décida de se consacrer entièrement à l'art pictural.
Sa création intitulée le Retour des cendres de Charles XII suscita une grande émotion en 1878, et eut plus tard les honneurs de l’Exposition universelle de Paris. Le Grand-duc Constantin en fit l'acquisition, mais à la suite d'une collecte nationale, elle fut rachetée par le Nationalmuseum de Stockholm, qui ne disposait jusqu'alors que d'une copie. Cederström se consacra intensément au concours lancé pour l’exposition de la halle aux marches de ce musée et obtint le premier prix avec Anschaire de Brême prêchant la doctrine chrétienne, bien que Carl Larsson obtînt le contrat final pour les fresques.
Outre ses scènes historiques, Cederström peignit surtout des portraits et les scènes militaires.
Membre de l’Académie royale des arts de Suède en 1878, il fut successivement professeur (1887) puis directeur (1899) des classes de l’Académie. Cederström menait la délégation suédoise lors des expositions de 1888 à Copenhague, de 1896 à Berlin et de 1901 à Munich. Il fait partie de la délégation suédoise aux fêtes du millénaire normand à Rouen en 1911.
Émile Béranger
Jean-Baptiste Antoine Emile Béranger, né à Sèvres le 31 août 1814, où il est mort le 21 mai 1883, est un peintre de genre français.
Charles Béranger est le fils d'Antoine Béranger, peintre à la manufacture de Sèvres et le frère des peintres Suzanne Estelle Apoil, née Béranger et de Charles Béranger.
Il obtient une 3e médaille en 1846.
Berthold Woltze
Berthold Woltze, né le 24 août 1829 à Havelberg et décédé le 29 novembre 1896 à Weimar au sein de l'Empire allemand, était un illustrateur et un peintre portraitiste allemand.
Berthold Woltze naît à Havelberg en 1829. Après des études d'art à Berlin, Rome et Paris, il devient peintre et se spécialise dans la réalisation de portraits et la peinture de scènes de genre. Il enseigne notamment à l'école des beaux-arts de Weimar et travaille comme illustrateur pour l'hebdomadaire Die Gartenlaube entre 1871 et 1878.
Il est le père du peintre et architecte Peter Woltze (de) (1860-1925). Il décède à Weimar en 1896.
Ces œuvres sont notamment visibles ou conservées au musée historique allemand de Berlin.
Seymour Joseph Guy
Seymour Joseph Guy (1824-1910) était un peintre américain de romances et de portraits.
Il est né et a été formé à Londres, mais s'est installé à New York, où il est connu pour ses œuvres de genre. Il se forme pendant quatre ans auprès du portraitiste Ambrosini Jerôme et épouse la fille d'un graveur, Anna Maria Barber, avant de s'installer à New York en 1854. Il est membre du Sketch club et se lie d'amitié avec John George Brown, et tous deux commencent à peindre des œuvres de genre représentant des enfants, probablement inspirés par les leurs, puisque Guy en a finalement neuf.
Il est l'un des fondateurs de l'American Watercolor Society et membre de la National Academy of Design, de l'Artists' Fund Society, de l'Artists' Mutual Aid Society et de la Century Association. Il meurt à son domicile de New York le 10 décembre 1910.
Le devoir est la nécessité d'accomplir une action par respect pour la loi morale.
Citation légèrement déformée ("loi" au lieu de "loi morale") extraite de "Fondements de la Métaphysique des mœurs" d'Emmanuel Kant (1785).
Le portrait utilisé dans le tweet de Cohérence n'est toujours pas celui d'Emmanuel Kant, mais de Friedrich Heinrich Jacobi.
Une loi humaine n'a pas à être systématiquement un objet de respect. On retrouve dans ce texte toute la dureté et la froideur de la morale de Kant. Nous sommes dans le légalisme. L'amour altruiste, gratuit, sera toujours supérieur à une loi humaine, aussi juste soit elle.
Extrait de "Fondements de la Métaphysique des mœurs" d'Emmanuel Kant (1785):
Des deux propositions précédentes je déduis cette troisième comme conséquence: le devoir est la nécessité de faire une action par respect pour la loi. Je puis bien avoir de l'inclination, mais jamais du respect pour l'objet qui doit être l'effet de mon action, précisément parce que cet objet n'est qu'un effet et non l'activité d'une volonté. De même je ne puis avoir du respect pour une inclination, qu'elle soit la mienne ou celle d'un autre; je ne puis que l'agréer dans le premier cas et quelquefois l'aimer dans le second, c'est-à-dire la regarder comme favorable à mon propre intérêt. Il n'y a que ce qui est lié à ma volonté comme principe, et non comme effet, ce qui ne sert pas mon inclination mais en triomphe, ou du moins l'exclut entièrement de la délibération, et, par conséquent, la loi, considérée en elle-même, qui puisse être un objet de respect et en même temps un ordre. Or, si une action faite par devoir exclut nécessairement toute influence des penchants, et par là tout objet de la volonté, il ne reste plus rien pour déterminer la volonté, sinon , objectivement, la loi, et, subjectivement, le pur respect pour cette loi pratique, par conséquent cette maxime qu'il faut obéir à cette loi, même au préjudice de tous les penchants.
|Le devoir est la nécessité d'accomplir une action par respect pour la loi morale.|
La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice.
Citation méchamment déformée extraite de l'ouvrage "Traité politique" de Baruch Spinoza (1677).
Ce texte est un monument d'hérésies!
La volonté générale n'a jamais été la Volonté de Dieu. Par conséquent, le péché est indépendant de la volonté générale.
Extrait de l'ouvrage "Traité politique" de Baruch Spinoza (1677):
Un État où les sujets ne prennent pas les armes par ce seul motif que la crainte les paralyse, tout ce qu'on en peut dire, c'est qu'il n'a pas la guerre, mais non pas qu'il ait la paix. Car la paix, ce n'est pas l'absence de guerre; c'est la vertu qui naît de la vigueur de l'âme, et la véritable obéissance (par l'article 19 du chapitre II) est une volonté constante d'exécuter tout ce qui doit être fait d'après la loi commune de l'État. Aussi bien une société où la paix n'a d'autre base que l'inertie des sujets, lesquels se laissent conduire comme un troupeau et ne sont exercés qu'à l'esclavage, ce n'est plus une société, c'est une solitude.
Article 19 du chapitre II:
Ainsi donc le péché ne se peut concevoir que dans un ordre social où le bien et le mal sont déterminés par le droit commun, et où nul ne fait à bon droit (par l'article 16 du présent chapitre) que ce qu'il fait conformément à la volonté générale. Le péché, en effet, c'est (comme nous l'avons dit à l'article précédent) ce qui ne peut être fait à bon droit, ou ce qui est défendu par la loi; l'obéissance, au contraire, c'est la volonté constante d'exécuter ce que la loi déclare bon, ou ce qui est conforme à la volonté générale.Article 16 du chapitre II:
Partout où les hommes ont des droits communs et sont pour ainsi dire conduits par une seule âme, il est certain (par l'article 13 du présent chapitre) que chacun d'eux a d'autant moins de droits que les autres ensemble sont plus puissants que lui, en d'autres termes, il n'a d'autre droit que celui qui lui est accordé par le droit commun. Du reste, tout ce qui lui est commandé par la volonté générale, il est tenu d'y obéir, et (par l'article 4 du présent chapitre) on a le droit de l'y forcer.Article 13 du chapitre II:
Si deux individus s'unissent ensemble et associent leurs forces, ils augmentent ainsi leur puissance et par conséquent leur droit; et plus il y aura d'individus ayant aussi formé alliance, plus tous ensemble auront de droit.Article 4 du chapitre II:
Par droit naturel j'entends donc les lois mêmes de la nature ou les règles selon lesquelles se font toutes choses, en d'autres termes, la puissance de la nature elle-même; d'où il résulte que le droit de toute la nature et partant le droit de chaque individu s'étend jusqu'où s'étend sa puissance; et par conséquent tout ce que chaque homme fait d'après les lois de la nature, il le fait du droit suprême de la nature, et autant il a de puissance, autant il a de droit.
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|La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de confiance, de justice.|
Harry Brooker
Harry Brooker est né en août 1848 près de Regents Park à Londres et a vécu jusqu'en septembre 1940, date à laquelle il a été victime d'un accident vasculaire cérébral lors d'un raid aérien. Il a épousé Edmée Isabel Short (figurant sur l'un de ses tableaux connu sous le nom de Treasured Volume) et ils ont eu 6 enfants. Son épouse Edmée décède en 1920, ce qui explique peut-être la fin de sa période de peinture (alors qu'il avait 72 ans). Il a un certain nombre de descendants qui sont encore vivants aujourd'hui en Angleterre, en Australie et en Amérique.
Harry Brooker était un peintre de genre national dans la tradition d'artistes tels que Thomas Webster, tous deux membres de la colonie de Cranbrook. Ses peintures de scènes d'intérieur révèlent la chaleur et l'humour de la vie domestique victorienne, et il est particulièrement connu pour ses représentations sensibles et charmantes d'enfants. Il était issu d'une famille d'artistes et son oncle Charles Hunt est représenté dans cette vente. Lorsqu'il s'est marié pour la première fois, il a vécu à Southport, visitant le Pays de Galles en tant que professeur d'art privé et exposant trois œuvres à la Royal Manchester Institution. Il retourne ensuite à Londres et expose à la Royal Academy et à la Royal Society of British Artists, Suffolk Street.
Harry Booker était avant tout un artiste victorien, bien qu'il ait vécu bien au-delà de l'ère victorienne jusqu'à la Seconde Guerre mondiale. Brooker était un «peintre de genre» et nous a laissé un merveilleux enregistrement de scènes domestiques, dont beaucoup montrent des enfants jouant. Il commence à peindre au milieu des années 1870. Il a exposé à la Royal Academy et dans d'autres expositions londoniennes et provinciales. Pour une raison quelconque, sa production impressionnante a diminué après le tournant du 20e siècle. Il a réalisé plus de 120 tableaux.
Harry est né près de Regents Park à Londres (1848). Il était issu d'une famille d'artistes. Son oncle Charles Hunt peignait également. Nous ne savons rien de son enfance ni de sa formation. Brooker était un « peintre de genre » et nous a laissé un merveilleux récit de scènes domestiques, dont beaucoup montrent des enfants jouant. Il commence à peindre au milieu des années 1870. La plupart de ses peintures ont été réalisées dans les années 1889 et 90. Nous ne sommes pas sûrs des enfants qu'il a peints. Ils ne semblent pas appartenir à la classe ouvrière. Ils ne semblent pas non plus issus de familles très aisées. On voit beaucoup de costumes de marin et aucun costume Fauntleroy. Très peu de garçons portent des colliers Eton – un style très populaire à l'époque. Il a exposé à la Royal Academy et dans d'autres expositions londoniennes et provinciales. Pour une raison quelconque, sa production impressionnante a diminué après le tournant du 20e siècle. Il a réalisé plus de 120 tableaux. Ils comprenaient des portraits et des natures mortes. On peut les trouver dans des collections privées et des galeries publiques dans toute l'Europe. Ses œuvres constituent un merveilleux dossier, aux côtés de celles de Thomas Webster et de FD Hardy, membres de la colonie de Cranbrook. Ses peintures comprennent de nombreuses scènes d'intérieur capturant la chaleur et l'humour de la vie domestique de la fin de l'époque victorienne. Par-dessus tout, le travail de Brooker est connu pour ses charmantes représentations d'enfants impliqués dans des jeux et d'autres activités domestiques.
