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Nous ne pouvons peut-être pas préparer l'avenir de nos enfants, mais nous pouvons au moins préparer nos enfants à l'avenir.


Citation jamais sourcée qui semble être apparue en 2009 sur les réseaux sociaux. En consultant les "Public Papers of the Presidents of the United States: F.D. Roosevelt" (1941), on ne trouve rien qui s'en approche. En outre, cette citation est bizarre.

https://x.com/SpectrumPestInc/status/2636522112

En l'état, je considère que cette citation est apocryphe.
Voici deux citation authentiques de Franklin D. Roosevelt sur les enfants et l'avenir:

«Nous sommes inquiets pour l'avenir de notre démocratie lorsque les enfants ne peuvent pas faire les hypothèses qui sont synonymes de sécurité et de bonheur.» Franklin D. Roosevelt, Conference on Children in a Democracy, 23 avril 1939

«Nous avons certaines idées et certains idéaux en matière de sécurité nationale, et nous devons agir pour préserver cette sécurité aujourd'hui, et pour préserver la sécurité de nos enfants dans les années à venir.» Franklin D. Roosevelt, Conversation autour du feu sur la guerre en Europe. Washington, D.C., 3 septembre 1939


|Nous ne pouvons peut-être pas préparer l'avenir de nos enfants, mais nous pouvons au moins préparer nos enfants à l'avenir.|



Que d'hommes se pressent vers la lumière non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller.


Citation légèrement déformée et tronquée extraite de "Humain, trop humain." de Friedrich Nietzsche (1878), partie "Le Voyageur et son ombre", aphorisme 254.

Aphorisme 254:

«Les hommes se pressent vers la lumière, non pour mieux voir, mais pour mieux briller. On considère volontiers comme une lumière celui devant qui l'on brille.»

gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6…


|Que d'hommes se pressent vers la lumière non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller.|



On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte, et l’on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère.


Citation extraite du dialogue écrit par Denis Diderot, sans doute entre 1762 et 1773, intitulé "Le Neveu de Rameau".

Extrait du dialogue écrit par Denis Diderot intitulé "Le Neveu de Rameau" (entre 1762 et 1773):

MOI
Mais comment s'en laisse-t-on si grossièrement imposer? car enfin la supériorité des talents de la Dangeville et de la Clairon est décidée.
LUI
On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte; et l'on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère. Et puis nous avons l'air si pénétré, si vrai !
MOI
Il faut cependant que vous ayez péché une fois contre les principes de l'art et qu'il vous soit échappé par mégarde quelques-unes de ces vérités amères qui blessent; car en dépit du rôle misérable, abject, vil, abominable que vous faites, je crois qu'au fond, vous avez l'âme délicate.

beq.ebooksgratuits.com/vents/d…


|On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte, et l’on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère.|



Comet 62P/Tsuchinshan


Magnifique photographie!

Les trois étoiles bleues bien visibles sur ce cliché sont (de haut en bas):
- 27 Vir, une étoile bleue 2 fois plus grande et massive que le Soleil. Elle est située à 234 années-lumière.
- rho Vir, une étoile plus bleue que 27 Vir 1,5 fois plus grande et 2 fois plus massive que le Soleil. Elle est située à 126 années-lumière.
- HD 110412, un étoile aussi bleue que 27 Vir 4 fois plus grosse et 3 fois plus massive que le Soleil située à 477 années-lumière.

De gauche à droite, on peut voir 2 galaxie: NGC 4608 et NGC 4596. Elles sont respectivement situées à 67 et 38 millions d'années-lumière.

astrobin.com/5iu4bb/?utm_sourc…

in reply to Léonard le Contemplatif

@Léonard le Contemplatif
Cette photo me fait penser à ce que mon amie m'a raconté. Elle a vu son dermato ,qui en examinant son dos lui a dis "vous avez un dos comme une nuit étoilée " parce qu'elle a pleine de tâches comme des tâches de rousseur. J'ai trouvé ça beau cette comparaison.
in reply to Loli

@Loli C'est joliment dit.
Les naines rousses existent. Ce ne sont pas exactement des étoiles, mais elles sont plus grosses que Jupiter. Elles émettent de la lumière, mais celle-ci n'est pas visible à l'œil nu.
@Loli

in reply to Portraits d'autrefois

@Portraits d'autrefois
Je ne trouve pas ça dingue de croire qu'un animal nous aime . Ça nous fait plaisir de le croire et de penser qu'il va devenir notre ami. Au moins en pensant qu'il est notre ami on le traite bien .
Tu ne dois plus t'en vouloir ,chacun a repris son chemin. Un chemin où tu toi as toujours la joie de les observer ,et eux le chemin des pigeons chercheurs de graines puisque c'est leur vie.
in reply to Loli

@Loli La vie n'est pas toujours comme on voudrait qu'elle soit. Elle peut créer des joies et des tristesses même quand on n'a que de bonnes intentions.
@Loli



Henry John Yeend King


Henry John Yeend King était un important artiste de genre et de paysage de l'époque victorienne. Il naît à Londres le 21 août 1855 et commence son éducation en tant qu'enfant de chœur à la Temple Church. L'un des premiers souvenirs de l'artiste est d'avoir été enfermé dans le bâtiment un après-midi après la répétition: «J'ai dû passer la nuit dans une cabane construite avec des coussins de bancs, pendant que mon père se renseignait dans tous les hôpitaux de Londres. Après trois semaines de repos à cause d'un gros rhume, j'ai été convoqué à une entrevue avec un Bencher qui, après m'avoir régalé de gâteaux et de vin, m'a remis cinq shillings pour avoir été un "bon garçon" et "pour ne pas avoir jeté mes bottes à travers l'un des vitraux". L'idée de faire une telle chose ne m'avait jamais traversé l'esprit».

Il poursuit sa scolarité à la Philological School avant d'entrer en apprentissage chez O'Connor's, les peintres sur verre de Bernes St. à Londres, pendant trois ans. Après avoir travaillé chez O'Connor, il est allé étudier la peinture avec l'artiste victorien William Bromley, RBA, puis il s'est rendu à Paris pour étudier avec Léon Bonnat (1833 - 1922) et Fernand Cormon (1854 - 1924). Sa formation académique à Paris, ainsi que l'influence certaine des réalistes et des impressionnistes français, ont contribué à façonner son style pleinement mûr de figures soigneusement modelées, de technique en plein air et de coloration audacieuse.

Yeend King a vécu à Londres pendant la majeure partie de sa vie, mais, comme beaucoup de ses contemporains, il avait le cœur à la campagne. Il a beaucoup voyagé à travers l'Angleterre et la France à la recherche de sujets appropriés. En 1885, il écrit et illustre un article intitulé «A Round in France» pour The Magazine of Art. Cet article présente une visite visuelle et écrite de la campagne française menant à la Bretagne.

Il se spécialise dans les scènes de genre rustiques et la campagne, ne montrant presque jamais les villes fortement industrialisées. Ses peintures représentent de jolies fermières (souvent en utilisant sa propre fille comme modèle) au travail dans les champs ou à la ferme - un peu comme l'artiste réaliste français Julien Dupré - ou des femmes au repos dans des paysages tranquilles ou des jardins de cottage.

En 1881, il épouse Edith Lilian Atkinson, fille de T.L. Atkinson (graveur de mezzotintes), avec qui il a une fille, Lilian (qui est devenue artiste). Yeend King était un artiste important et influent, comme l'a souligné le London Times dans un article du 6 juin 1924:

En apparence, Yeend King contrastait avec l'idée conventionnelle que l'on se fait d'un artiste: il était rasé de près, portait les cheveux courts, avait un sourire génial et un grand sens de l'humour. Comme la plupart des peintres, cependant, c'était un vrai bohémien, avec une merveilleuse collection d'histoires drôles, qu'il racontait bien. Il était rarement sans une tabatière, bien qu'il ne soit pas lui-même un tabatier assidu.

En 1879, il est élu à la Royal Society of British Artist (RBA) et en 1886 à l'Institut royal des peintres en aquarelle (dont il deviendra plus tard vice-président). Il était également membre du Royal Institute of Painters in Oil-Colors et exposait fréquemment dans toutes les grandes salles d'exposition : 115 œuvres à la RBA, 38 à la RI et 94 à la Royal Academy. Yeend King a également exposé ses peintures dans toute l'Europe et aux États-Unis, remportant des médailles à Paris, Berlin et Chicago.

C'est lors de l'exposition de la Royal Academy de 1897 que le Conseil de la Royal Academy, en tant qu'administrateur de la collection permanente de la Nouvelle-Galles du Sud, a acheté The Garden by the River et, en 1898, la Tate Gallery, dans le cadre du legs Chantrey, a acheté Milking Time (Le temps de la traite).

Il meurt le 10 juin 1924 à l'âge de 68 ans.




Constant Troyon


Constant Troyon, né le 28 août 1810 à Sèvres (Seine-et-Oise) et mort le 20 mars 1865 à Paris 9e, est un peintre français de l'École de Barbizon.

Constant Troyon est le fils de Jean-Marie-Dominique Troyon (1780-1817), peintre d'ornement et doreur à la Manufacture de Sèvres (auquel la rue Troyon de Sèvres rend hommage), et de son épouse Jeanne Pracht, ouvrière plumassière.

Après avoir étudié les bases de son art avec Denis Désiré Riocreux (1791-1872), peintre, conservateur du musée de Sèvres, et Camille Roqueplan, il rencontre en 1830 le peintre Paul Huet avec qui il travaille.

Dès ses débuts, il s'intéresse à la peinture de paysage et multiplie les études dans les bois de Meudon, de Compiègne ou de Saint-Cloud.

Il présente ses premières œuvres, encore imprégnées de l'enseignement néo-classique, au Salon de 1833.

Sa rencontre avec le peintre Jules Dupré est décisive. Ce dernier l'encourage à travailler en plein air et lui apprend à voir et à apprécier les sites chaotiques de la forêt de Fontainebleau ainsi que l'esthétique des Théodore Rousseau, Camille Corot ou Narcisse Diaz de la Peña.

Tout en restant fidèle à ses amis, il s'oriente cependant de plus en plus vers la peinture animalière grâce à laquelle il rencontre un vif succès. Il aime peindre les chiens et met en œuvre dans ses tableaux de chasse un talent de coloriste exceptionnel2.

En 1845, il habite au no 30 rue Fontaine-Saint-Georges à Paris, il a son atelier au n°1 chemin de ronde de la barrière de Rochechouart, près du cirque Fernando.

En 1846-1847, il découvre les peintres paysagistes du siècle d'or néerlandais comme Paulus Potter ou Albert Cuyp. Troyon fait alors des animaux domestiques le sujet principal de ses tableaux. Il est d'un talent réaliste convaincu. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur après le Salon de 1849 et commence enfin à recevoir des commandes. Comme ses amis de l'école de Barbizon, il ne connaît la consécration qu'au Salon de 1855. Théophile Gautier vanta son style large et ample.

En 1863, il entreprend un voyage à travers le Berry, le Limousin (École de Crozant) et la Bretagne avec les peintres Jules Dupré et Louis Cabat.

Eugène Boudin, Fabius Brest, Martin Léonce Chabry et Julien de La Rochenoire ont travaillé dans son atelier.

En juin 1867, l'Institut de France met en place le prix Constant Troyon récompensant chaque année un peintre de moins de trente ans par une dotation d'un montant de 600 francs.

Depuis 1875, la rue Troyon à Paris 17e lui rend hommage.




Julien Dupré


Julien Dupré était un peintre français né le 18 mars 1851 à Paris et mort dans la même ville le 15 avril 1910.

Julien Dupré étudie à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Isidore Pils (1813-1875) et celui d'Henri Lehmann. Il étudie aussi avec Désiré François Laugée, dont il épousera la fille, Marie Laugée.

Peintre naturaliste, dans l'héritage de Jean-François Millet et de Jules Breton qu'il admire, il observe et peint la vie des paysans, jouant sur la lumière. Il donne du relief à sa peinture, accentuant les effets pour donner de la force à ses œuvres et commence à exposer au Salon des artistes français dès 1876 avec la toile La Moisson en Picardie.

Il quitte souvent l'atelier (qu'il partage avec son beau-frère le peintre Georges Laugée) situé au no 20 boulevard Flandrin à Paris pour peindre la nature sur le motif à la campagne. Il peint tout d'abord des scènes de moisson, en Picardie particulièrement, puis, à partir de 1880, des animaux observés dans la campagne.

En 1881, sa toile Les Foins lui vaut une médaille de 2e classe au Salon des artistes français. Très reconnu aux États-Unis, de nombreuses œuvres de Julien Dupré sont conservées dans les musées américains. Il expose au Salon des artistes français régulièrement jusqu'à sa mort, devient membre du Comité du Jury en 18903 et reçoit une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889 à Paris, puis est décoré de la Légion d'honneur en 1892.

Julien Dupré meurt le 15 avril 1910 en son domicile et atelier au no 20 Boulevard Flandrin dans le 16e arrondissement de Paris, et, est inhumé au Cimetière du Père-Lachaise (60e division).




Giovanni Boldini


Giovanni Boldini (31 décembre 1842 - 11 janvier 1931) était un peintre de genre et de portrait italien qui a vécu et travaillé à Paris pendant la majeure partie de sa carrière. Selon un article paru en 1933 dans le magazine Time, il était connu sous le nom de «Maître du Swish» en raison de son style de peinture fluide.

Boldini est né à Ferrare, en Italie, le 31 décembre 1842. Il est le fils d'un peintre de sujets religieux et le frère cadet de l'architecte Luigi (Louis) Boldini. En 1862, il se rend à Florence pour six ans afin d'étudier et de poursuivre la peinture. Il n'assiste que rarement aux cours de l'Académie des beaux-arts, mais à Florence, il rencontre d'autres peintres réalistes connus sous le nom de Macchiaioli, précurseurs italiens de l'impressionnisme. L'influence de ces peintres se retrouve dans les paysages de Boldini, qui témoignent de sa réaction spontanée à la nature, même si c'est pour ses portraits qu'il s'est le plus fait connaître.

Installé à Londres, Boldini connaît le succès en tant que portraitiste. Il réalise les portraits de membres distingués de la société, dont Lady Holland et la duchesse de Westminster À partir de 1872, il vit à Paris, où il devient l'ami d'Edgar Degas. Il entretient également une relation amoureuse avec une Française nommée Berthe, qui sera son modèle régulier au cours de la même décennie. La comtesse Gabrielle de Rasty est son autre amante. Il devient le portraitiste le plus en vogue à Paris à la fin du XIXe siècle, avec un style pimpant qui montre une certaine influence de Macchiaioli et un brio qui rappelle le travail d'artistes plus jeunes, tels que John Singer Sargent et Paul Helleu.

Il est nommé commissaire de la section italienne de l'Exposition de Paris en 1889 et reçoit la Légion d'honneur pour cette nomination. En 1897, il présente une exposition personnelle à New York. Il participe à la Biennale de Venise en 1895, 1903, 1905 et 1912.

Boldini meurt à Paris le 11 janvier 1931. Dans un article du New York Times de janvier 1931, sa carrière est résumée comme suit:

Boldini était un portraitiste à la mode. Il « faisait » toutes les grandes dames de Paris et, à une certaine époque, se faire portraiturer par Boldini était un événement marquant de la saison sociale. Son style était racé et avancé pour son époque, et il pensait que ses peintures de décolletés touchaient à l'extrême limite des conventions. Son travail a fait l'objet de nombreuses discussions dans les salons. Puis il fut supplanté par Vandongens, Etcheverrys, Domergues et d'autres dont l'audace choqua et découragea Boldini. Il n'avait pas peint pendant de nombreuses années avant sa mort. Son corps est transporté à Ferrare, sa ville natale, pour y être enterré.

Après sa mort, ses œuvres ont continué d'être exposées dans le monde entier. Une exposition de ses œuvres a eu lieu en 1938, sept ans après sa mort, aux Newhouse Galleries à New York.






Edward Killingworth Johnson


Edward Killingworth Johnson (1825 - 1896) était un graveur sur bois, illustrateur et aquarelliste britannique. Il est connu pour avoir créé les premières illustrations du roman She, publié par Rider Haggard en 1887.

Johnson est né à Bow, Londres, le 30 mai 1825 d'un marchand irlandais, Richard Johnson, et de sa femme Mary Meadows. Il a suivi une formation d'apprenti auprès du graveur sur bois John Orrin Smith à partir de 1839, puis auprès de l'associé de Smith, William James Linton. Il travaille ensuite comme graveur sur bois pendant plusieurs années. Il étudie le dessin à la Langham Life School et commence à peindre professionnellement vers 1863. Dans les années 1860, il collabore régulièrement aux périodiques illustrés The Illustrated London News et, à partir de 1869, The Graphic. Il devient membre de la Society of Painters in Water Colours en 1876; il y expose ses œuvres, ainsi qu'à la Royal Academy, à l'American Society of Painters in Water Color, à l'Exposition de Philadelphie et à l'Exposition universelle de Paris.

Johnson épouse Hannah Reynolds en novembre 1871; ils quittent Londres pour s'installer dans la maison familiale de Baker's Farm, dans l'Essex, et ont trois enfants. Ses oncles étaient l'illustrateur et aquarelliste John Masey Wright et le peintre de marine James Meadows. Il meurt à Halstead, dans l'Essex, le 7 avril 1896, et est enterré à Sible Hedingham.

Johnson a préparé les premières illustrations du roman She de Rider Haggard (1887), qui restent parmi ses œuvres les plus connues.

De nombreuses œuvres de Johnson sont répertoriées dans le catalogue de vente aux enchères préparé après sa mort.




Frederick Morgan


Frederick Morgan (1847 - 3 avril 1927) était un peintre anglais de portraits, d'animaux et de scènes domestiques et champêtres. Il s'est fait connaître par ses scènes de genre idylliques de l'enfance.

Morgan est né à Londres de John Morgan et de sa femme, Henrietta Hester Clare. Son père était un artiste de genre à succès, parfois connu sous le nom de « Jury Morgan » (d'après l'une de ses peintures, The Gentlemen of the Jury). À l'âge de 14 ans, il est retiré de l'école par son père, qui lui donne des cours d'art. À l'âge de 16 ans, alors qu'il étudie toujours avec son père, son premier tableau, The Rehearsal, est exposé à la Royal Academy et, après une interruption de plusieurs années, ses peintures y sont exposées régulièrement. Pendant un certain temps, il travaille comme portraitiste pour un photographe d'Aylesbury; cette formation s'est avérée cruciale car elle lui a «appris à observer attentivement et à accorder la plus grande attention aux détails».

Il finit par se tourner vers d'autres sujets, en particulier les scènes de genre idylliques de la vie à la campagne et de l'enfance. Pendant de nombreuses années, à partir de 1874, Thomas Agnew & Sons' achète toutes ses œuvres. Au cours de cette période, il a peint certaines de ses œuvres les plus populaires, telles que The Doll's Tea Party (1874), Emigrants' Departure (1875) et School Belles (1877). La plupart de ses peintures ont été réalisées dans le village de Shere, près de Guildford, un lieu de retraite bien connu des artistes. Il a également peint en Normandie, notamment Midday Rest (1879) et An Apple Gathering (1880).

Bien qu'excellent portraitiste, Morgan avait des difficultés à représenter les animaux domestiques et les animaux de basse-cour - il faisait appel à Arthur John Elsley ou à Allen Sealey (1850-1927) lorsque de tels problèmes devaient être résolus.

Il est surtout connu pour ses peintures romantiques et sentimentales d'enfants, dans le même style que son contemporain Arthur John Elsley. Ses peintures ont connu une grande popularité de son vivant et ont été largement publiées. Il a exposé à la Royal Academy et était membre du Royal Institute of Oil Painters (ROI).

En 1872, il épouse une autre peintre, Alice Mary Havers (1850-1890); ils ont trois enfants. Leur fils aîné, Valentine, connue sous le nom de Val Havers, devint également peintre. Frederick Morgan se marie encore deux fois et a deux enfants du second mariage.

Les peintures de Morgan sont exposées dans de nombreuses galeries d'art et musées, dont la Walker Art Gallery de Liverpool et le Russell-Cotes Museum de Bournemouth. Son tableau Turn Next a été utilisé pour la publicité du savon Pears' Soap et se trouve à la Lady Lever Art Gallery, à Port Sunlight.




Fanny Brate


Fanny Ingeborg Matilda Brate (née Ekbom ; 26 février 1861 - 22 avril 1940) était une peintre suédoise. Elle s'est spécialisée dans les scènes de genre, mettant en scène des familles, qui sont souvent citées comme source d'inspiration pour des œuvres similaires de Carl Larsson.


Fanny Brate est la fille de Johan Frans Gustaf Oskar Ekbom (1832-1894), employé de maison du prince Oscar, duc d'Östergötland (futur roi Oscar II), et elle est née dans les palats d'Arvfurstens. De 1868 à 1877, elle étudie dans une école de filles, puis suit des cours de dessin à l'école des arts et métiers. Elle y devient étudiante à temps plein de 1878 à 1879. Cette année-là, elle commence à suivre les cours d'August Malmström à l'Académie royale suédoise des beaux-arts En 1885, elle reçoit une médaille royale [sv] pour une peinture d'elle-même entourée d'écoliers.

En 1887, grâce à une bourse de voyage de l'Académie royale, elle suit des cours à l'Académie Colarossi à Paris. La même année, elle épouse le runologue Erik Brate. Ils ont eu quatre filles. Torun [sv], leur deuxième fille, devint également peintre Elle continua à faire des voyages d'étude en Europe occidentale, y compris une visite à l'Exposition Universelle (1889). Au tournant du siècle, elle adopte le style impressionniste et rejoint les peintres de Skagen. Nombre de ses œuvres représentent ses propres enfants. Le processus d'éducation des enfants l'a également incitée à illustrer des livres pour enfants, tels que Mormors eventyr (Grandma's Tales), et à prendre part au débat en cours sur l'éducation.

En 1891, elle devient membre de la Svenska konstnärernas förening [sv] (Association des artistes suédois).

Le Nationalmuseum a organisé une exposition commémorative de ses œuvres en 1943. Ses œuvres sont également visibles au Nordiska museet[4] et au Göteborgs konstmuseum.




Sally Swatland


Sally Swatland est née à Washington, DC, et a déménagé à Greenwich, Connecticut, à l'âge de sept ans. Son père était un avocat prospère, ce qui a permis à sa famille de passer de longues périodes à la campagne et de nombreuses vacances dans divers endroits au bord de la mer à travers les États-Unis. Elle partageait avec sa famille une passion pour les plages, le soleil et l'air frais. Elle passait la plupart de ses journées d'été à la plage, à jouer dans les mares, à chasser les vairons, à ramasser des coquillages et à explorer.

Sally a deux sœurs qui ont également été encouragées à étudier le dessin, la peinture et tout ce qui développe l'expression créative. Tout au long de son enfance et de son adolescence, elle a peint et dessiné en permanence, développant son talent d'observation et d'enregistrement du monde qui l'entourait. Elle a commencé à peindre à l'âge de cinq ans. Tout au long de sa scolarité, elle a suivi des cours d'art. Elle a toujours été passionnée par l'art et adore expérimenter les couleurs et la lumière.

Après avoir obtenu un diplôme en beaux-arts au Mount Saint Vincent College, elle a étudié le dessin de figures pendant six ans (1969-1974) à l'Art Students League de New York. Elle y a étudié avec Robert Shultz, l'illustrateur qui a poursuivi la tradition de Norman Rockwell et qui est devenu célèbre pour ses illustrations qui ont orné les couvertures de nombreux livres de Zane Gray.

Pendant les mois d'été, Schultz organise de nombreux cours de peinture de paysage en plein air dans la campagne du New Jersey, pour lesquels Sally parcourt religieusement de longues distances.

Sally s'est mariée au milieu de la vingtaine et a peint sa première « scène de plage » alors qu'elle était enceinte de son premier enfant.

Sally se souvient très bien de cette époque: «C'est un peu par hasard que j'ai eu l'idée de peindre des enfants à la plage. J'avais étudié la peinture de figures et de paysages à l'Art Students League et je cherchais un sujet qui m'intéressait. Alors que j'étais enceinte de mon premier enfant, je suis allée un jour à la plage avec ma mère et j'ai pris des photos d'enfants jouant dans des flaques d'eau. Je suis rentrée chez moi et j'ai peint un petit tableau que j'ai montré à quelques personnes. La réaction a été très encourageante. Ils ont aimé l'atmosphère de la peinture. J'en ai peint quelques autres cet été-là».

Après la naissance de sa première fille, Noelle, en 1975, elle a passé de nombreuses journées d'été sur les plages de Greenwich, dans le Connecticut. Elle emmenait Noelle et ses amis à la plage pendant les mois d'été. C'est là qu'elle filmait les enfants dans toutes sortes d'activités de plage. Ses images préférées sont celles d'enfants jouant dans des bassins de marée, qui produisent des reflets lumineux et colorés.

Lorsque sa deuxième fille, Katie, est née en 1981, elle a continué à se rendre quotidiennement à la plage pendant l'été, ajoutant un nouveau modèle à son travail. Les groupes d'enfants qui se réunissent pour aller à la plage sont de plus en plus nombreux et, à mesure que Noelle et Katie grandissent, la famille se rend sur les plages des Hamptons, ainsi que sur diverses plages du nord et du sud de la Californie. Sally emportait à la plage divers vêtements colorés et un assortiment de chapeaux, et elle passait beaucoup de temps à chercher le vêtement de plage qui lui convenait.

Sally et ses enfants se livraient à de nombreuses subornations pour qu'ils collaborent à ce qu'elle appelle aujourd'hui ses « archives de photos de plage ». Les enfants savaient qu'il s'agissait d'un moyen d'acquérir d'autres friandises estivales et d'obtenir des avantages supplémentaires ; les enfants savaient comment obtenir des faveurs - tout cela amusait Sally. Ses séances de photos sur la plage attiraient toujours la foule, en particulier les jeunes enfants, ce qui lui permettait d'avoir accès à encore plus de modèles.

Pendant les mois d'hiver, Sally passait son temps à peindre des portraits et la plupart de ses commandes provenaient de références, mais elle adorait les images d'été sur la plage. Aujourd'hui, bien qu'elle reçoive encore de nombreuses commandes de portraits, elle s'est tournée vers ses images insouciantes d'enfants jouant sur la plage. Sally s'inspire de ses vastes archives de photos de plage pour créer des images chaleureuses et colorées de l'enfance.

Sally a exposé à l'Hudson Valley Juried Show ; elle a été choisie pour peindre la carte de Noël du gouverneur du Connecticut deux années de suite ; elle a participé à un certain nombre d'expositions individuelles dans le Connecticut et s'implique dans de nombreuses œuvres de bienfaisance. Chaque année, Sally fait don de ses œuvres à Brunswick Academy, Greenwich Academy, Lime Association of Fairfield County, Putnam Indian Field School et Sloan Kettering Hospital (American Cancer Society) afin qu'elles puissent être vendues aux enchères pour récolter des fonds.

Actuellement, Sally est membre des sociétés suivantes :
- Société impressionniste américaine ;
- Société américaine des artistes marins ;
- Société américaine des artistes portraitistes ;
- Cape Cod Art Association. | © Rehs Galleries, Inc.




Gustav Igler


Gustav Igler était un artiste peintre austro-allemand né le 15 mai 1842 et mort le 22 janvier 1938. Il a été élève de Ferdinand Georg Waldmüller à Vienne depuis 1858, puis a étudié la peinture du 24 octobre 1868 à 1871 à l'Académie royale des beaux-arts de Munich avec Arthur von Ramberg.

En 1888, Igler est nommé directeur de la classe de peinture technique à l'école royale des beaux-arts de Stuttgart. En 1896, il dirige la IIe exposition internationale de peinture. Exposition internationale de peinture à Stuttgart. Il passait la plupart de ses mois d'été à Rothenburg ob der Tauber. Après avoir pris sa retraite en 1914, il retourna à Munich. Il montra ses œuvres au Glaspalast de Munich, ainsi que dans le «Gartenlaube» et d'autres magazines. Dans ses tableaux de genre, il représentait le plus souvent des enfants en train de jouer.




Alfred Fowler Patten


Alfred Fowler Patten est un artiste britannique né à Londres en 1829 et mort à Londres en 1896. Fils de George Patten, élève de son père, il étudie également pendant un certain temps à la Royal Academy. Il a souvent exposé à la Royal Academy et dans la galerie de la Society of British Artists, dont il est membre quelques années avant son décès.

Parmi ses dernières œuvres à la Royal Academy, on peut noter «May-Day Revelers fetching forth their Queen», en 1870; «Happy Springtime», en 1873; «Reading Robinson Crusoe», en 1878. À la Society of British Artists, il envoie, en 1877, «Lovers, beware!» et «Fresh Flowers»; en 1878, «Feeding the Ducks» et «La belle fleuriste».