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Eugene V. Debs: We will wrest what we can, step by step, from the capitalists, but with our eye fixed upon the goal. wordsmith.social/protestation/…


Issac Asimov: He (Orwell) wasn’t much affected, apparently, by the Nazi brand of totalitarianism, for there was no room within him except for his private war with Stalinist communism. wordsmith.social/protestation/…




Karl Marx: In the meantime, may I wish you in advance every happiness for the New Year. If it’s anything like the old one, I, for my part, would sooner consign it to the devil. wordsmith.social/protestation/…


John Pilger: Spartacus was the rebellious leader of Rome’s slaves in 71-73 BC. There is a thrilling moment in the Kirk Douglas movie Spartacus when the Romans call on Spartacus’s men to identify their leader and so be pardoned. Instead hundreds of his comrades stand and raise their fists in solidarity and shout, ‘I am Spartacus!’ The rebellion is under way. Julian and David are Spartacus. The Palestinians are Spartacus. People who fill the streets with flags and principle and solidarity are Spartacus. We are all Spartacus if we want to be. wordsmith.social/protestation/…







John Pilger: The United States dominates the Western world’s media. All but one of the top ten media companies are based in North America. The internet and social media - Google, Twitter, Facebook - are mostly American owned and controlled. wordsmith.social/protestation/…



John Pilger: In my lifetime, the United States has overthrown or attempted to overthrow more than 50 governments, mostly democracies ... It has interfered in democratic elections in 30 countries. It has dropped bombs on the people of 30 countries, most of them poor and defenceless. It has attempted to murder the leaders of 50 countries. It has fought to suppress liberation movements in 20 countries. wordsmith.social/protestation/…




Albert Einstein: There will come a time when the rich own all the media and it will be impossible for the public to make an informed opinion. wordsmith.social/protestation/…


Malcolm X: So you have two types of Negro. The old type and the new type. Most of you know the old type. When you read about him in history during slavery he was called "Uncle Tom." He was the house Negro. And during slavery you had two Negroes. You had the house Negro and the field Negro. The house Negro usually lived close to his master. He dressed like his master. He wore his master's second-hand clothes. He ate food that his master left on the table. And he lived in his master's house--probably in the basement or the attic--but he still lived in the master's house. So whenever that house Negro identified himself, he always identified himself in the same sense that his master identified himself. When his master said, "We have good food, " the house Negro would say, "Yes, we have plenty of good food." "We" have plenty of good food. When the master said that "we have a fine home here, " the house Negro said, "Yes, we have a fine home here." When the master would be sick, the house Negro identified himself so much with his master he'd say, "What's the matter boss, we sick?" His master's pain was his pain. And it hurt him more for his master to be sick than for him to be sick himself. When the house started burning down, that type of Negro would fight harder to put the master's house out than the master himself would. But then you had another Negro out in the field. The house Negro was in the minority. The masses--the field Negroes were the masses. They were in the majority. When the master got sick, they prayed that he'd die. (Laughter) If his house caught on fire, they'd pray for a wind to come along and fan the breeze. If someone came to the house Negro and said, "Let's go, let's separate, " naturally that Uncle Tom would say, "Go where? What could I do without boss? Where would I live? How would I dress? Who would look out for me?" That's the house Negro. But if you went to the field Negro and said, "Let's go, let's separate, " he wouldn't even ask you where or how. He'd say, "Yes, let's go." And that one ended right there. wordsmith.social/protestation/…



Eugene V. Debs: You must use your heads as well as your hands, and get yourself out of your present condition; as it is now the capitalists use your heads and your hands. wordsmith.social/protestation/…


Malcolm X: Be peaceful, be courteous, obey the law, respect everyone; but if someone puts his hand on you, send him to the cemetery. wordsmith.social/protestation/…




Nous devons être respectueux de la démocratie, mais quand quelque chose nous apparaît non légitime, même si c'est légal, il nous appartient de protester, de nous indigner et de désobéir.


Citation extraite de l'entretien de Stéphane Hessel dans l'hebdomadaire "Politis" du 18 novembre 2010 intitulé «Le motif de la résistance, c'est l’indignation».

politis.fr/articles/2010/11/le…

Extrait de l'entretien de Stéphane Hessel dans l'hebdomadaire "Politis" du 18 novembre 2010:

Vous écrivez que «le motif de la résistance, c'est l'indignation?» C'est-à-dire?

C'est un peu un appel. Le sentiment le plus grave, aujourd'hui, c'est de penser qu'«il n'y a rien à faire» parce que les choses ne changent pas comme l'on voudrait et que les acteurs politiques et financiers ont toutes les cartes en main. Baisser les bras me paraît tout à fait mauvais. Je dirais donc, un peu comme Sartre, qu'«un homme qui se désintéresse n'est pas vraiment un homme». C'est quand il commence à s'indigner qu'il devient plus beau, c'est-à-dire un militant courageux, un citoyen responsable. Se dire «on n'y peut rien», se retirer, c'est perdre une bonne partie de ce qui fait la joie d'être un homme.

Cela a-t-il partie liée avec la désobéissance ?

Je souligne toujours l'écart entre légalité et légitimité. Je considère la légitimité des valeurs plus importante que la légalité d'un État. Nous avons le devoir de mettre en cause, en tant que citoyens, la légalité d'un gouvernement. Nous devons être respectueux de la démocratie, mais quand quelque chose nous apparaît non légitime, même si c'est légal, il nous appartient de protester, de nous indigner et de désobéir. Dans le cas récent des enseignants qui ont désobéi, ce n'était pas pour une question de salaire mais parce qu'on a voulu leur imposer des choses au détriment des enfants dont ils ont la charge. Ils peuvent donc exciper de cela, comme les faucheurs d'OGM peuvent dire qu'il est peut-être devenu légal d'en semer mais qu'en réalité ce n'est pas légitime. La notion de désobéissance est donc intimement liée à la notion de légitimité.


|Nous devons être respectueux de la démocratie, mais quand quelque chose nous apparaît non légitime, même si c'est légal, il nous appartient de protester, de nous indigner et de désobéir.|



Il vient une heure où protester ne suffit plus; après la philosophie il faut l'action.


Pensée de Marius Pontmercy, personnage du roman "Les Misérables" de Victor Hugo (1862).


|Il vient une heure où protester ne suffit plus; après la philosophie il faut l'action.|



Stalin: Proletarian culture does not abolish national culture, it gives it content. On the other hand, national culture does not abolish proletarian culture, it gives it form. The slogan of national culture was a bourgeois slogan as long as the bourgeoisie was in power and the consolidation of nations proceeded under the aegis of the bourgeois order. The slogan of national culture became a proletarian slogan when the proletariat came to power, and when the consolidation of nations began to proceed under the aegis of Soviet power. Whoever fails to understand the fundamental difference between these two situations will never understand either Leninism or the essence of the national question. wordsmith.social/protestation/…



Si la vertu ne suffit pas à assurer le bonheur, la méchanceté suffit à rendre malheureux.


Citation apocryphe et contraire à la pensée d'Aristote.

Cet apocryphe est inexistant ailleurs qu'en France et avant le XXIe siècle. Il semble remonter à 2010.

https://x.com/LouLiMi/status/27476042263

Cette citation n'est pas dans "La Rhétorique" d'Aristote.

gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6…

Extrait de "Morale à Nicomaque" d'Aristote (entre 335 et 322 avant J.-C.), livre I, Chapitre VIII:

Il n'est pas besoin d'attendre la mort d'un homme pour dire qu'il est heureux; c'est la vertu qui fait le vrai bonheur ; et il n'y a rien de plus assuré dans la vie humaine que la vertu. - Distinction entre les évènements de notre vie , selon qu'ils sont plus ou moins importants. - Les épreuves fortifient et rehaussent la vertu; l'homme de bien n'est jamais misérable; sérénité du sage et constance de son caractère. - Nécessité des biens extérieurs en une certaine mesure.

google.fr/books/edition/OEuvre…

Extrait de "Lettre LXXXI à Lucilius" de Sénèque (en 63 et 64 après J.C.):
Car si l'on est malheureux par la méchanceté, heureux par la vertu, et si c'est une vertu que la gratitude, pour une restitution ordinaire tu as conquis un bien inestimable, la conscience d'une vertu remplie, et cette conscience n'est donnée qu'à une âme divine et bienheureuse. Quant à l'âme affectée du sentiment contraire, le plus affreux malheur l'accable. Quiconque est ingrat sera misérable; ne le renvoyons pas au futur, il l'est à l'instant même. Gardons-nous donc d'un pareil vice, sinon à cause d'autrui, du moins pour nous. C'est la moindre et la plus légère partie de son fiel que l'iniquité distille sur autrui; ce qu'elle a de plus nuisible et pour ainsi dire toute la lie séjourne et pèse au fond de l'âme perverse. Comme le disait Attalus, l'un des nôtres: «La méchanceté boit la plus grande partie de son propre venin.» Celui des serpents, toujours prêt pour tuer l'ennemi, ne tue point l’animal qui le porte; tel n'est pas le venin du méchant: l'âme qui le renferme en souffre le plus. L'ingrat se torture et se ronge lui-même: il hait ce qu'il a reçu, parce qu'il doit rendre; il le déprise: mais les torts, il les amplifie et les exagère. Or est-il une âme plus à plaindre que celle où le bienfait passe et où l'injure demeure? Le sage, au contraire, relève la moindre des grâces qu'il reçoit et l'embellit à ses propres yeux et en perpétue la jouissance par le souvenir. La satisfaction du méchant n'a lieu qu'une fois, pour un moment, quand il reçoit; celle du sage se prolonge et ne cesse plus. Car ce n'est pas de recevoir, mais d'avoir reçu qu'il est heureux, félicité permanente et de tous les instants. Il ne tient pas compte de ce qui le blesse; et non point par insouciance, mais volontairement, il oublie. Il n'interprète pas tout au pire, ne cherche pas à qui imputer un accident, et préfère attribuer à la Fortune les fautes des humains. Il n'incrimine ni les paroles, ni les airs de visage; il explique tout mécompte dans un esprit de bienveillance qui le lui rend léger: il ne se souvient pas de l'offense plutôt que du service. Autant qu'il le peut, il s'en tient au souvenir plus doux du bienfait précédent, et ne change pas de sentiments pour qui a bien mérité de lui, à moins que les torts ne l'emportent de beaucoup, et que la différence ne frappe l'œil même le plus indulgent; encore ne change-t-il, quand l'injure est la plus forte, que pour redevenir ce qu'il était avant le bienfait. Car si le mal est égal au bien, il laisse encore dans l'âme un reste d'affection. De même que le partage des voix absout un accusé, et que toujours, dans le doute, l'humanité incline pour la douceur; ainsi le cœur du sage, lorsque le mal et le bien se balancent, peut n'être plus redevable, mais ne peut plus ne pas vouloir l'être; il fait comme le débiteur qui, après l'abolition des dettes, persiste à payer.

remacle.org/bloodwolf/philosop…


|Si la vertu ne suffit pas à assurer le bonheur, la méchanceté suffit à rendre malheureux.|



Kwame Ture: Anytime you make an analysis of an oppressed people, in any aspect of their life, and you leave out the enemy, you will never come to a correct analysis. On the contrary, you will blame the oppressed for all of their problems. wordsmith.social/protestation/…



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Plato: There is no one who ever acts honestly in the administration of states, nor any helper who will save any one who maintains the cause of the just. wordsmith.social/protestation/…


Horatius Cocles: And how can man die better, than facing fearful odds, for the ashes of his fathers, and the temples of his gods? wordsmith.social/protestation/…