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François-Alfred Delobbe


François-Alfred Delobbe, né le 13 octobre 1835 à Paris et mort à Paris 14e le 10 février 1915, était un peintre naturaliste français.

Élève d'Abel-François Lucas, de Thomas Couture et de William Bouguereau à l'École des beaux-arts de Paris, puis des cours de l'École impériale de dessin, il débute au Salon des artistes français de 1861 avec un portrait de sa mère qui attire l'attention. C'est un peintre de genre, de portraits et de paysages. Il reçoit de nombreuses distinctions et prix (une médaille en 1874 pour son tableau "Musique Champêtre" et en 1875 pour "Pyrame et Thisbée", ainsi que des commandes officielles, comme la décoration de la mairie du XVe siècle arrondissement de Paris.

De 1875 jusqu'à sa mort, il séjourne régulièrement à Concarneau où il se lie d'amitié avec le peintre Alfred Guillou, dans la maison duquel il habite parfois (il peint d'ailleurs un Portrait de Mélanie Guillou, la sœur de son hôte), mais il descend aussi à l'Hôtel de France près de la gare de Concarneau. Il peint simplement sous une lumière douce et blonde des scènes de genre, des paysages inspirés par cette région bretonne, des portraits d'enfants ou de jeunes femmes, des scènes souvent paysannes. François-Alfred Delobbe peint des esquisses en plein air pendant le printemps et l'été et achève ses tableaux l'hiver dans son atelier parisien. Plusieurs de ses modèles préférés habitaient Concarneau et sa région (Beuzec-Conq, Lanriec).



Marvel’s New Nonbinary Two-Spirit Hawkeye Was Inspired By Standing Rock’s Water Protectors | Them

I'd be interested in hearing from any Indigenous American folks what they think of this character.
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#Marvel
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Les enfants commencent par aimer leurs parents; devenus grands, ils les jugent; quelquefois, ils leur pardonnent.


Citation méchamment déformée extraite du roman "Le Portrait de Dorian Gray" d'Oscar Wilde (1890).

vousnousils.fr/casden/pdf/id00…

Extrait du roman "Le Portrait de Dorian Gray" d'Oscar Wilde (1890):

Le jeune dandy qui lui fait la cour ne lui disait rien de bon. C'était un gentleman et il le détestait pour cela, par un curieux instinct de race dont il ne pouvait lui-même se rendre compte, et qui pour cette raison le dominait d'autant plus. Il connaissait aussi la futilité et la vanité de sa mère et il y voyait un péril pour Sibyl et pour le bonheur de celle-ci. Les enfants commencent par aimer leurs parents; en vieillissant ils les jugent; quelquefois ils les oublient. Sa mère! Il avait en lui-même une question à résoudre à propos d’elle, une question qu'il couvait depuis des mois de silence. Une phrase hasardée qu'il avait entendue au théâtre, un ricanement étouffé qu’il avait saisi un soir en attendant à la porte des coulisses, lui avaient suggéré d'horribles pensées. Tout cela lui revenait à l'esprit comme un coup de fouet en pleine figure. Ses sourcils se rejoignirent dans une contraction involontaire, et dans un spasme douloureux, il se mordit la lèvre
inférieure.

Autre version possible:
«Les amants commencent par s'aimer; en vieillissant ils se jugent; quelquefois ils s'oublient.»


|Les enfants commencent par aimer leurs parents; devenus grands, ils les jugent; quelquefois, ils leur pardonnent.|



L'orgueil est une bête féroce qui vit dans les cavernes et dans les déserts, la vanité au contraire, comme un perroquet, saute de branche en branche et bavarde en pleine lumière.


Citation extraite d'une lettre de Gustave Flaubert écrite à Louise Colet (sa muse) un jeudi de 1852 à 1 heure de l'après-midi. Il attaque dans celle-ci Maxime Du Camp suite à une vexation qu'il a reçu de sa part.

google.fr/books/edition/Corres…

Maxime Du Camp est injustement oublié aujourd'hui suite à un acharnement contre lui. Ses défauts ne constituent pas une justification à cette mise au ban.

Extrait d'une lettre de Gustave Flaubert écrite à Louise Colet (sa muse) un jeudi de 1852 à 1 heure de l'après-midi:

Comme il [Maxime Du Camp] ne m'a pas épargné les avis quand je ne le priais nullement de m'en donner ce ne sera que rendu. Il y a dedans une petite phrase à mon intention et faite exprès pour moi: «la solitude qui porte à ses deux sinistres mamelles l'égoïsme et la vanité». Je t'assure que ça m'a fait rire; égoïsme soit, mais vanité non. L'orgueil est une bête féroce qui vit dans les cavernes et dans les déserts, la vanité au contraire, comme un perroquet, saute de branche en branche et bavarde en pleine lumière; je ne sais si je m'abuse (et ici ce serait de la vanité), mais il me semble que dans tout le Livre posthume il y a une vague réminiscence de Novembre et un brouillard de moi, qui pèse sur le tout; ne serait-ce que le désir de la Chine à la fin: «dans un canot allongé, un canot de bois de cèdre dont les avirons minces ont l'air de plumes, sous une voile de bambous tressés, au bruit du tam-tam et des tambourins , j'irai dans le pays jaune que l'on appelle la Chine», etc. Du Camp ne sera pas le seul sur qui j'aurai laissé mon empreinte, le tort qu'il a eu c'est de la recevoir; je crois qu'il a agi très naturellement en tâchant de se dégager de moi, il suit maintenant sa voie; mais en littérature il se souviendra de moi longtemps.

Vaniteux et rancunier Gustave Flaubert...


|L'orgueil est une bête féroce qui vit dans les cavernes et dans les déserts, la vanité au contraire, comme un perroquet, saute de branche en branche et bavarde en pleine lumière.|



Une foi n'est tolérable que si elle est tolérante.


Citation jamais sourcée et inconnue dans la littérature. Elle semble être apparue en 2011 à l'occasion d'un débat sur la laïcité et reprise en 2012 par le compte Facebook du Figaro (en étant non sourcée).

x.com/Mertranquille/status/396…

En l'état, je la considère comme apocryphe.

On ne peut être tolérant à tout.


|Une foi n'est tolérable que si elle est tolérante.|




Wenzel Tornøe


Wenzel Ulrik Tornøe (9 septembre 1844 à la ferme Lehnshøj à Svendborg - 5 décembre 1907 à Frederiksberg) était un peintre danois.

Tornøe était le fils du juge Jens Wenzel Tornøe (1792-1866) et d'Eleonore Jakobine née Lacoppidan (1797-1872).

De 1861 à 1965, il passe en revue l'Académie des beaux-arts et fait ses débuts en 1865 à Charlottenborg avec le carton d'Uffe den spages Holmgang, qui avait été exécuté à la faillite de Neuhausen, mais qui n'a pas été primé. 1865. En 1871, sa joyeuse image de la vie populaire attire l'attention de la rue; la même année, il voyage à ses frais à Rome, où il peint une quantité de tableaux de genre pour lesquels il trouve des acheteurs, ce qui lui permet de prolonger son séjour dans le Sud pendant plus de deux ans. À son retour, il expose jusqu'en 1877 presque exclusivement des peintures italiennes, dont le Premier modèle de gang (1877) est acheté par la Société des beaux-arts, mais s'occupe ensuite surtout de motifs danois.

En 1876, il épouse l'artiste Karen Elisabeth Blumer (Elisabeth Tornøe).

En 1878, il voyage à travers les Pays-Bas et la Belgique jusqu'à Paris pour voir la Grande Exposition et, un peu plus tard, en Italie du Nord, où il reste dix mois ; parmi ses voyages ultérieurs, on peut mentionner celui qu'il effectue en 1886 à Rome, où il passe l'hiver.

Parmi ses nombreuses présentations, on peut citer From a Children's Playground at the old Kirkegaard in Horsens (1878) ainsi que les deux expositions de 1881 From a københavnsk Pub et En Sypike, Pentecostal morning, dont la dernière attire particulièrement l'attention par son humeur mélancolique, puis En Veninde (1883), Fra West Coast (1884, Musée d'Aarhus) et Hos Klinkemanden, achetée en 1892 pour le Statens Sample. Tornøe l'a donné le 18 juillet 1876 à Karen Elisabeth Blumer (née à Horsens le 18 septembre 1847), fille du marchand Samuel Blumer (1795 - l885) et de Bolette Marie Abigael née Vendelboe (1814 - 1889). Elle a fait ses débuts en 1874 à Charlottenborg avec un tableau exposé anonymement, An aaben Jewelry box, qui excelle à un avantage coloristique non négligeable ; plus tard, elle a exposé des portraits et des pièces de genre, dont In the time of engagement (1885) a été acheté pour le musée d'Odense.Le fondateur de Volunteer Boys Confederation Holger Tornøe était le fils du couple marié Tornøe.













Certaines personnes te rejetteront, car ta lumière est trop intense pour eux, c’est comme ça. Continue de rayonner.


Citation de Mandy Halle datant de 2013. Elle est arrivée en 2014 en France et elle a vite été associée à Martin Luther King. Vous pensez, Mandy Halle n'est pas connue en France!

x.com/TheSingleWoman/status/40…

x.com/FlammeDuFeu/status/54925…

Mandy Hale est une blogueuse devenue auteure et conférencière à succès du New York Times. Créatrice du mouvement de médias sociaux The Single Woman, Mandy va au cœur de la vie des célibataires avec son inspiration, son franc-parler et son sens de l'humour sur la vie et l'amour. Nommée «Twitter Powerhouse» par le Huffington Post, «femme d'influence» par le Nashville Business Journal, l'un des «dix comptes Instagram les plus inspirants à suivre» par Good Morning America, et «célibataire dans la ville» par le magazine Nashville Lifestyles, elle a également été présentée dans le magazine Forbes, sur Glamour.com, et dans de nombreux autres médias. Elle est l'auteur de The Single Woman, I've Never Been to Vegas but My Luggage Has, Beautiful Uncertainty et You Are Enough. Elle vit à Murfreesboro, dans le Tennessee.


|Certaines personnes te rejetteront, car ta lumière est trop intense pour eux, c’est comme ça. Continue de rayonner.|