George Dunlop Leslie
George Dunlop Leslie (2 juillet 1835 - 21 février 1921) était un peintre de genre, auteur et illustrateur britannique.
Leslie est né dans une famille d'artistes, son père étant le célèbre peintre de genre Charles Robert Leslie RA, et son oncle Robert Leslie étant un artiste de marine. Il étudie l'art d'abord à la Cary's Art Academy, puis, à partir de 1854, à la Royal Academy. Sa première exposition à l'Académie a eu lieu en 1859 et, par la suite, il a exposé ses œuvres chaque année. Il est devenu associé (ARA) en 1868 et académicien royal (RA) en 1876.
George Dunlop Leslie a vécu très tôt à St John's Wood (Londres) et faisait partie de la St John's Wood Clique, un groupe d'artistes qui privilégiaient les sujets de genre légers. De 1884 à 1901, il réside à « Riverside », St. Leonard's Lane, Wallingford, Oxfordshire. Sa sœur Mary Leslie (1833-1907), également artiste, vit à « Cromwell Lodge », juste à côté. Un autre artiste, James Hayllar, résidait également dans le village et ils ont peint ensemble un portrait de la reine Victoria pour son jubilé d'or en 1887. À partir de 1906, il a vécu à «Compton House» à Lindfield, dans le Sussex.
Ses premières œuvres, telles que Matilda (1860), montrent la forte influence des préraphaélites, mais il s'installe dans un style de peinture plus académique et esthétique, avec pour objectif de montrer « des images du côté ensoleillé de la vie domestique anglaise ». Il utilise souvent des enfants comme sujets et son travail est loué par John Ruskin pour sa représentation de la « douce qualité de la jeune fille anglaise ». L'un de ses tableaux, This is the Way we Wash our Clothes (C'est ainsi que nous lavons nos vêtements), est utilisé comme affiche dans une campagne publicitaire pour du savon. Malgré son sujet apparemment trivial, l'œuvre de Leslie est très appréciée par les critiques de l'époque.
En 1889, alors qu'il vivait à Riverside House à Wallingford, Leslie est crédité d'avoir peint quatre peintures murales d'anges dans l'église St Leonards.
Leslie était également un auteur et a publié plusieurs livres. Our river (1888), Letters to Marco (1893) et Riverside letters (1896) ont tous été illustrés par lui en noir et blanc et sont basés sur des observations personnelles de la vie et de la nature dans sa région. Il a également écrit une histoire des premières années de la Royal Academy - The inner life of the Royal Academy.
Leslie était marié à Lydia. Ils ont eu une fille, Alice (représentée dans son tableau Alice au pays des merveilles) et un fils, Peter Leslie (1877-1953), également artiste. Parmi les amis et connaissances artistiques de Leslie figurent Sir Edwin Landseer, Frederick Walker et Henry Stacy Marks. Il meurt à Lindfield dans le Sussex.
En juin 2000, Les filles d'Eve, considéré comme l'un des plus beaux tableaux de Leslie, qui était resté accroché pendant 40 ans dans une école du sud du Pays de Galles (Llantarnam Comprehensive), a été vendu pour 170000 livres sterling à un collectionneur privé. L'argent ainsi récolté a servi à financer les travaux de construction de l'école, qui en avaient grand besoin.
Il n'y a pas d'autre bonheur que la paix.
Il ne s'agit pas d'un proverbe, mais d'une parole tronquée de Siddhartha Gautama (le Bouddha) dans le Dhammapada (IVe siècle avant J.-C.), au verset 202 du groupe sur le bonheur.
Extrait du Dhammapada (IVe siècle avant J.-C.):
Nul feu n’est plus brûlant que la passion
Nul désespoir plus grand que la colère
Nulle souffrance plus grande que les agrégats de l'existence
Nul bonheur plus grand que la paix du Nibbana.
La faim est la pire des maladies
Le samsara la pire des souffrances.
Pour qui connaît vraiment cette vérité
La Libération est le plus grand des bonheurs.Etre en bonne santé est la plus grande des chances
Se satisfaire de ce que l'on a la plus grande des richesses.
La confiance est le meilleur moyen de rapprocher les êtres
La Libération est le plus grand des bonheurs.
dhammatalks.net/French/Thaniss…
dhammadelaforet.org/sommaire/b…
On traduit parfois:
«il n'y a pas de souffrance comme les composantes (de l'esprit et du corps), pas de bonheur autre que la paix.» ou «Il n'y a pas de souffrance comme les agrégats de l'existence. Il n'y a pas de bonheur plus élevé que la tranquillité.»
ancient-buddhist-texts.net/Tex…
buddhism.lib.ntu.edu.tw/BDLM/e…
|Il n'y a pas d'autre bonheur que la paix.|
On n'a pas deux coeurs, un pour les animaux et un pour les humains. On a un coeur ou on n'en a pas.
Citation apocryphe. Elle semble être attribuée à Alphonse de Lamartine depuis 1921, mais elle est introuvable dans toute son œuvre.
citationsverifiees.fr/repertoi…
La citation authentique la plus proche est d'Émile Lefèvre dans"Tous les oiseaux sont utiles" (1869):
Ce qui m'étonne profondément, Monsieur, c'est de voir que vous vous déclarez l'ennemi des oiseaux quand vous vous êtes posé comme un ami des hommes. Pourquoi semblez-vous optimiste, quand il s'agit de la protection accordée ou imposée aux hommes; pourquoi devenez-vous pessimiste s'il ne s'agit plus que des oiseaux? Pourquoi voulez-vous que l'homme, roi de la création, en devienne le tyran?
Il y a là une contradiction flagrante entre vos sentiments. L'homme n'a pas deux cœurs, l'un bon pour ses semblables , l'autre dur pour les animaux; l'homme n'a pas deux esprits, l'un clairvoyant et désintéressé, l'autre myope et étroit. C'est pourquoi je dis qu'il est impossible que vous n'aimiez pas les oiseaux, et qu'il est très-fâcheux que le conseil général de la Meuse n'ait pas, à l'exemple du conseil général des Ardennes, instruit une cause avant de la juger.
google.fr/books/edition/Tous_l…
|On n'a pas deux cœurs, un pour les animaux et un pour les humains. On a un cœur ou on n'en a pas.|
En France, au scrutin des élections, il se forme des produits politico-chimiques où les lois des affinités sont renversées.
Citation extraite du roman inachevé "Le Député d'Arcis" d'Honoré de Balzac, paru à titre posthume en 1854.
archive.org/details/ledputdarc…
Extrait du roman inachevé "Le Député d'Arcis" d'Honoré de Balzac, paru à titre posthume en 1854:
Depuis l'accession au pouvoir de la classe bourgeoise, Arcis éprouvait un vague désir de se montrer indépendant. Aussi les dernières élections de François Keller avaient-elles été troublées par quelques républicains, dont les casquettes rouges et les barbes frétillantes n'avaient pas trop effrayé les gens d'Arcis. En exploitant les dispositions du pays, le candidat radical put réunir i rente ou quarante voix. Quelques habitants, humiliés de voir leur ville comptée au nombre des bourgs pourris de l'opposition, se joignirent aux démocrates, quoique ennemis de la démocratie. En France, au scrutin des élections, il se forme des produits politicochimiques où les lois des affinités sont renversées. Or, nommer le jeune commandant Keller, en 1839, après avoir nommé le père pendant vingt ans, accusait une véritable servitude électorale, contre laquelle se révoltait l'orgueil de plusieurs bourgeois enrichis, qui croyaient bien valoir et M. Malin, comte de Gondreville, et les banquiers Keller frères, et les Cinq-Cygne, et même le roi des Français! Aussi les nombreux partisans du vieux Gondreville, le roi du département de l'Aube, attendaient-ils une nouvelle preuve de son habileté, tant de fois éprouvée. Pour ne pas compromettre l'influence de sa famille dans l'arrondissement d'Arcis, ce vieil homme d'État proposerait sans doute pour candidat un homme du pays, qui céderait sa place à Charles Keller, en acceptant des fonctions publiques; cas parlementaire qui rend l'élu du peuple sujet à réélection.
|En France, au scrutin des élections, il se forme des produits politico-chimiques où les lois des affinités sont renversées.|
Le pangolin de Temminck (Smutsia temminckii)
Contrairement aux autres pangolins, le pangolin de Temminck (Smutsia temminckii) est bipède, marchant et supportant le poids sur ses pattes arrière, les membres antérieurs étant repliés vers la poitrine, et la queue étant maintenue hors du sol et utilisée comme contrepoids.
Il ne reste plus que cet animal pour imiter la marche bipède en porte-à-faux des dinosaures.
Le pangolin de Temminck reste donc, presque par hasard, un vestige d'un mode de locomotion qui régnait autrefois sur le monde terrestre.
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Parc national de la forêt pétrifiée
Le parc national de la forêt pétrifiée est situé dans les comtés de Navajo et d'Apache, dans le nord-est de l'Arizona. Nommé en raison de ses importants gisements de bois pétrifié, le parc couvre environ 900 kilomètres carrés et comprend une steppe arbustive semi-désertique ainsi que des badlands colorés et fortement érodés. Le siège du parc se trouve à environ 42 km à l'est de Holbrook, le long de l'Interstate 40 (I-40), qui est parallèle au Southern Transcon de la BNSF Railway, à la Puerco River et à l'historique U.S. Route 66, qui traversent tous le parc d'une manière approximativement est-ouest. Le site, dont la partie nord s'étend dans le Painted Desert, a été déclaré monument national en 1906 et parc national en 1962. Le parc a reçu 644 922 visiteurs récréatifs en 2018.
Avec une altitude moyenne de 1600 m, le climat du parc est sec et venteux, avec des températures qui varient entre des maxima estivaux d'environ 38°C et des minima hivernaux bien en dessous du point de congélation. Le parc compte plus de 400 espèces de plantes, dominées par des graminées telles que le bunchgrass, le blue grama et le sacaton. La faune comprend de grands animaux comme le pronghorn, le coyote et le lynx roux, de nombreux animaux plus petits comme la souris sylvestre, les serpents, les lézards et sept sortes d'amphibiens, ainsi que plus de 200 espèces d'oiseaux, dont certains sont des résidents permanents et d'autres des migrateurs. Environ un tiers du parc est considéré comme sauvage (203 km2).
La forêt pétrifiée est connue pour ses fossiles, en particulier les arbres tombés au sol qui vivaient à l'époque du Trias tardif, il y a environ 225 millions d'années. Les sédiments contenant les troncs fossiles font partie de la formation Chinle, très répandue et colorée, qui a donné son nom au Painted Desert (désert peint). Il y a environ 60 millions d'années, le plateau du Colorado, dont le parc fait partie, a été poussé vers le haut par les forces tectoniques et exposé à une érosion accrue. Toutes les couches rocheuses du parc situées au-dessus du Chinle, à l'exception des couches géologiquement récentes que l'on trouve dans certaines parties du parc, ont été enlevées par le vent et l'eau. Outre les troncs pétrifiés, les fossiles découverts dans le parc comprennent des fougères du Trias tardif, des cycades, des ginkgos et de nombreuses autres plantes, ainsi qu'une faune comprenant des reptiles géants appelés phytosaures, de grands amphibiens et les premiers dinosaures. Les paléontologues déterrent et étudient les fossiles du parc depuis le début du 20e siècle.
Les premiers habitants du parc sont arrivés il y a 13000 ans. Ces hommes de l'ère Clovis sont les ancêtres des Amérindiens. Il y a environ 2500 ans, les agriculteurs du Pueblo ancestral cultivaient le maïs et vivaient dans des maisons souterraines dans ce qui allait devenir le parc. Il y a 1 000 ans, les agriculteurs du Pueblo ancestral vivaient dans des habitations en maçonnerie en surface appelées pueblos et se réunissaient dans de grands bâtiments communautaires appelés grands kivas. Vers 1450 après J.-C., les fermiers Pueblo ancestraux de la forêt pétrifiée ont migré pour rejoindre les communautés en plein essor des mesas Hopi au nord-ouest et du Pueblo de Zuni à l'est - ces lieux abritent encore aujourd'hui des milliers de membres des communautés descendantes. Plus de 1000 sites archéologiques, dont des pétroglyphes, ont été découverts dans le parc. Ces lieux ancestraux restent importants pour les communautés de descendants. Au XVIe siècle, des explorateurs espagnols ont visité la région et, au milieu du XIXe siècle, une équipe américaine a arpenté une route est-ouest traversant la zone où se trouve aujourd'hui le parc et a noté la présence de bois pétrifié. Plus tard, des routes et une voie ferrée ont suivi des itinéraires similaires et ont donné lieu au tourisme et, avant que le parc ne soit protégé, à l'enlèvement de fossiles à grande échelle. Le vol de bois pétrifié reste un problème au 21e siècle.
Le parc national de Petrified Forest est situé à cheval sur la frontière entre le comté d'Apache et le comté de Navajo, dans le nord-est de l'Arizona. Le parc mesure environ 50 km du nord au sud et sa largeur varie d'un maximum d'environ 20 km au nord à un minimum d'environ 1,6 km le long d'un corridor étroit entre le nord et le sud, où le parc s'élargit à nouveau à environ 6 à 8 km.
Le parc national de la forêt pétrifiée est connu pour ses fossiles, en particulier ceux d'arbres tombés au sol qui vivaient à l'époque du Trias tardif de l'ère mésozoïque, il y a environ 225 à 207 millions d'années. À cette époque, la région qui constitue aujourd'hui le parc était proche de l'équateur, sur la bordure sud-ouest du supercontinent Pangée, et son climat était humide et subtropical. Ce qui est devenu plus tard le nord-est de l'Arizona était une plaine basse flanquée de montagnes au sud et au sud-est et d'une mer à l'ouest. Les cours d'eau qui traversent la plaine depuis les hauts plateaux déposent des sédiments inorganiques et de la matière organique, notamment des arbres ainsi que d'autres plantes et animaux qui ont pénétré ou sont tombés dans l'eau. Bien que la plupart des matières organiques se décomposent rapidement ou soient mangées par d'autres organismes, certaines sont enfouies si rapidement qu'elles restent intactes et peuvent se fossiliser. Dans le parc, les sédiments contenant les troncs fossiles qui ont donné leur nom au parc font partie de la formation de Chinle.
Le Chinle coloré, qui apparaît en surface dans de nombreuses régions du sud-ouest des États-Unis et qui a donné son nom au Painted Desert (désert peint), atteint une épaisseur de 240 m dans le parc. Il est constitué d'une variété de roches sédimentaires comprenant des lits de mudstone, siltstone et claystone tendres et à grain fin - dont une grande partie est constituée de bentonite - ainsi que des grès et conglomérats plus durs et du calcaire. Exposé au vent et à l'eau, le Chinle s'érode généralement de manière différenciée pour former des badlands composés de falaises, de ravins, de mesas, de buttes et de collines arrondies. Son argile bentonitique, qui gonfle lorsqu'elle est humide et rétrécit en séchant, provoque des mouvements de surface et des fissures qui découragent la croissance des plantes. L'absence de couverture végétale rend le Chinle particulièrement sensible aux intempéries.
Il y a environ 60 millions d'années, des mouvements tectoniques de la croûte terrestre ont commencé à soulever le plateau du Colorado, dont le Painted Desert fait partie, et certaines parties du plateau ont fini par s'élever à 3 000 m au-dessus du niveau de la mer. Cette déformation de la surface de la Terre a entraîné la destruction progressive et continue du plateau par l'érosion. Une discordance (rupture dans l'enregistrement des roches) d'environ 200 millions d'années se produit à l'intérieur du parc, où l'érosion a éliminé toutes les couches rocheuses situées au-dessus du Chinle, à l'exception de celles qui sont géologiquement récentes. La formation Bidahochi, mise en place il y a seulement 4 à 8 millions d'années, repose directement sur le Chinle, et les roches mises en place au Jurassique, au Crétacé et dans une grande partie du Tertiaire sont absentes.
Pendant la période de dépôt du Bidahochi, un grand bassin lacustre couvrait une grande partie du nord-est de l'Arizona. Les couches plus anciennes (inférieures) de la formation sont constituées de dépôts fluviaux et lacustres (liés aux lacs) de limon, de sable et d'argile. Le Bidahochi plus jeune (supérieur) contient des cendres et des laves provenant de volcans qui sont entrés en éruption à proximité et jusqu'au sud-ouest du Nevada[18]. Bien qu'une grande partie du Bidahochi ait été érodée depuis, une petite partie affleure dans la partie nord du parc, sur Pilot Rock dans la section sauvage du parc et le long du bord du Painted Desert entre les points Pintado et Tawa. [L'érosion du Bidahochi a mis au jour des reliefs volcaniques appelés maars (cratères volcaniques à fond plat et à peu près circulaires d'origine explosive). Une cheminée de maar peut être observée depuis le belvédère de la pointe Pintado.
Au cours de la période quaternaire (il y a 2,6 millions d'années jusqu'à aujourd'hui), des dépôts de sable et d'alluvions soufflés par le vent ont recouvert une grande partie du Chinle et du Bidahochi. L'âge des dunes les plus anciennes varie de 500000 ans en altitude dans la partie nord du parc à environ 10000 ans dans les zones de drainage sablonneuses telles que Lithodendron Wash. Stabilisées par des herbes et d'autres végétaux, les jeunes dunes d'environ 1000 ans se trouvent dans tout le parc.
Au cours du Trias supérieur, les arbres abattus qui s'accumulaient dans les cours d'eau de ce qui est devenu le parc ont été périodiquement ensevelis par des sédiments contenant des cendres volcaniques. Les eaux souterraines ont dissous la silice (dioxyde de silicium) des cendres et l'ont transportée dans les troncs, où elle a formé des cristaux de quartz qui ont progressivement remplacé la matière organique. Des traces d'oxyde de fer et d'autres substances se sont combinées à la silice pour créer des couleurs variées dans le bois pétrifié.
Dans le parc national de la forêt pétrifiée, la plupart des troncs d'arbres ont conservé leur forme extérieure originale pendant la pétrification, mais ont perdu leur structure interne. Cependant, une petite fraction des troncs et la plupart des os d'animaux pétrifiés du parc présentent des cellules et d'autres espaces remplis de minéraux, mais qui conservent une grande partie de leur structure organique d'origine. Avec ces fossiles perminéralisés, il est possible d'étudier la composition cellulaire des organismes originaux à l'aide d'un microscope. D'autres matières organiques - généralement des feuilles, des graines, des pommes de pin, des grains de pollen, des spores, de petites tiges et des restes de poissons, d'insectes et d'animaux - ont été préservées dans le parc sous forme de fossiles de compression, aplatis par le poids des sédiments qui les recouvrent jusqu'à ce qu'il ne reste plus qu'une fine pellicule dans la roche.
Une grande partie du bois pétrifié du parc provient de l'Araucarioxylon arizonicum, un conifère éteint, tandis que certains arbres trouvés dans la partie nord du parc proviennent de Woodworthia arizonica et de Schilderia adamanica. Au moins neuf espèces d'arbres fossiles du parc ont été identifiées ; toutes sont éteintes. Le parc possède bien d'autres types de fossiles que les arbres. Le Chinle, considéré comme l'un des gisements de plantes fossiles du Trias supérieur les plus riches au monde, contient plus de 200 taxons de plantes fossiles. Les groupes de plantes représentés dans le parc comprennent les lycophytes, les fougères, les cycades, les conifères, les ginkgos, ainsi que des formes non classifiées. Le parc a également produit l'un des assemblages les plus diversifiés de vertébrés fossiles du Trias supérieur. Parmi les groupes représentés figurent les premiers dinosaures théropodes, les archosaures de la lignée des crocodiles, les amphibiens temnospondyles, les lissamphibiens, les diapsides non archosauromorphes, ainsi que d'autres dinosauromorphes et archosauromorphes. Les dicynodontes sont extrêmement rares bien qu'ils soient abondamment représentés dans la carrière de Placerias près de St. Johns. Les invertébrés fossiles comprennent des escargots et des palourdes d'eau douce. La plus ancienne écrevisse fossile, Enoploclytia porteri, a également été décrite dans le parc, bien qu'elle ne soit pas considérée comme une écrevisse à proprement parler (elle est plutôt classée dans la catégorie des Erymidae).
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Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien.
Citation apocryphe qui semble remonter à 2001. Elle a été attribuée à Homer Simpson en France. Cette hypothèse n'est pas bête car elle va dans le sens d'une citation d'Homer: «Marge, I agree with you, in theory. Then again, Communism works, in theory.» Épisode 17, Saison 5 (1994)
liberation.fr/france/2017/02/1…
psychoactif.org/forum/t151-p1-…
|Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien.|
N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe.
Citation extraite de "Océan - Tas de pierres" de Victor Hugo (1828-1847) édition de 1942.
archive.org/details/oeuvrescom…
|N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe.|
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Parler français n'est pas une preuve d'intelligence.
Proverbe créole mentionnée dans l'ouvrage "Le défi culturel guadeloupéen" de Danny Bebel-Gisler (1989).
«Palé fwansé pa vlé di lèspwi» qui doit être compris comme «Savoir parler français ne veut pas dire être intelligent».
|Parler français n'est pas une preuve d'intelligence.|
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Nous ne pouvons peut-être pas préparer l'avenir de nos enfants, mais nous pouvons au moins préparer nos enfants à l'avenir.
Citation jamais sourcée qui semble être apparue en 2009 sur les réseaux sociaux. En consultant les "Public Papers of the Presidents of the United States: F.D. Roosevelt" (1941), on ne trouve rien qui s'en approche. En outre, cette citation est bizarre.
https://x.com/SpectrumPestInc/status/2636522112
En l'état, je considère que cette citation est apocryphe.
Voici deux citation authentiques de Franklin D. Roosevelt sur les enfants et l'avenir:
«Nous sommes inquiets pour l'avenir de notre démocratie lorsque les enfants ne peuvent pas faire les hypothèses qui sont synonymes de sécurité et de bonheur.» Franklin D. Roosevelt, Conference on Children in a Democracy, 23 avril 1939
«Nous avons certaines idées et certains idéaux en matière de sécurité nationale, et nous devons agir pour préserver cette sécurité aujourd'hui, et pour préserver la sécurité de nos enfants dans les années à venir.» Franklin D. Roosevelt, Conversation autour du feu sur la guerre en Europe. Washington, D.C., 3 septembre 1939
|Nous ne pouvons peut-être pas préparer l'avenir de nos enfants, mais nous pouvons au moins préparer nos enfants à l'avenir.|
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Que d'hommes se pressent vers la lumière non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller.
Citation légèrement déformée et tronquée extraite de "Humain, trop humain." de Friedrich Nietzsche (1878), partie "Le Voyageur et son ombre", aphorisme 254.
Aphorisme 254:
«Les hommes se pressent vers la lumière, non pour mieux voir, mais pour mieux briller. On considère volontiers comme une lumière celui devant qui l'on brille.»
gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6…
|Que d'hommes se pressent vers la lumière non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller.|
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On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte, et l’on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère.
Citation extraite du dialogue écrit par Denis Diderot, sans doute entre 1762 et 1773, intitulé "Le Neveu de Rameau".
Extrait du dialogue écrit par Denis Diderot intitulé "Le Neveu de Rameau" (entre 1762 et 1773):
MOI
Mais comment s'en laisse-t-on si grossièrement imposer? car enfin la supériorité des talents de la Dangeville et de la Clairon est décidée.
LUI
On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte; et l'on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère. Et puis nous avons l'air si pénétré, si vrai !
MOI
Il faut cependant que vous ayez péché une fois contre les principes de l'art et qu'il vous soit échappé par mégarde quelques-unes de ces vérités amères qui blessent; car en dépit du rôle misérable, abject, vil, abominable que vous faites, je crois qu'au fond, vous avez l'âme délicate.
beq.ebooksgratuits.com/vents/d…
|On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte, et l’on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère.|
Comet 62P/Tsuchinshan
Magnifique photographie!
Les trois étoiles bleues bien visibles sur ce cliché sont (de haut en bas):
- 27 Vir, une étoile bleue 2 fois plus grande et massive que le Soleil. Elle est située à 234 années-lumière.
- rho Vir, une étoile plus bleue que 27 Vir 1,5 fois plus grande et 2 fois plus massive que le Soleil. Elle est située à 126 années-lumière.
- HD 110412, un étoile aussi bleue que 27 Vir 4 fois plus grosse et 3 fois plus massive que le Soleil située à 477 années-lumière.
De gauche à droite, on peut voir 2 galaxie: NGC 4608 et NGC 4596. Elles sont respectivement situées à 67 et 38 millions d'années-lumière.
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Je ne trouve pas ça dingue de croire qu'un animal nous aime . Ça nous fait plaisir de le croire et de penser qu'il va devenir notre ami. Au moins en pensant qu'il est notre ami on le traite bien .
Tu ne dois plus t'en vouloir ,chacun a repris son chemin. Un chemin où tu toi as toujours la joie de les observer ,et eux le chemin des pigeons chercheurs de graines puisque c'est leur vie.
Portraits d'autrefois likes this.
Henry John Yeend King
Henry John Yeend King était un important artiste de genre et de paysage de l'époque victorienne. Il naît à Londres le 21 août 1855 et commence son éducation en tant qu'enfant de chœur à la Temple Church. L'un des premiers souvenirs de l'artiste est d'avoir été enfermé dans le bâtiment un après-midi après la répétition: «J'ai dû passer la nuit dans une cabane construite avec des coussins de bancs, pendant que mon père se renseignait dans tous les hôpitaux de Londres. Après trois semaines de repos à cause d'un gros rhume, j'ai été convoqué à une entrevue avec un Bencher qui, après m'avoir régalé de gâteaux et de vin, m'a remis cinq shillings pour avoir été un "bon garçon" et "pour ne pas avoir jeté mes bottes à travers l'un des vitraux". L'idée de faire une telle chose ne m'avait jamais traversé l'esprit».
Il poursuit sa scolarité à la Philological School avant d'entrer en apprentissage chez O'Connor's, les peintres sur verre de Bernes St. à Londres, pendant trois ans. Après avoir travaillé chez O'Connor, il est allé étudier la peinture avec l'artiste victorien William Bromley, RBA, puis il s'est rendu à Paris pour étudier avec Léon Bonnat (1833 - 1922) et Fernand Cormon (1854 - 1924). Sa formation académique à Paris, ainsi que l'influence certaine des réalistes et des impressionnistes français, ont contribué à façonner son style pleinement mûr de figures soigneusement modelées, de technique en plein air et de coloration audacieuse.
Yeend King a vécu à Londres pendant la majeure partie de sa vie, mais, comme beaucoup de ses contemporains, il avait le cœur à la campagne. Il a beaucoup voyagé à travers l'Angleterre et la France à la recherche de sujets appropriés. En 1885, il écrit et illustre un article intitulé «A Round in France» pour The Magazine of Art. Cet article présente une visite visuelle et écrite de la campagne française menant à la Bretagne.
Il se spécialise dans les scènes de genre rustiques et la campagne, ne montrant presque jamais les villes fortement industrialisées. Ses peintures représentent de jolies fermières (souvent en utilisant sa propre fille comme modèle) au travail dans les champs ou à la ferme - un peu comme l'artiste réaliste français Julien Dupré - ou des femmes au repos dans des paysages tranquilles ou des jardins de cottage.
En 1881, il épouse Edith Lilian Atkinson, fille de T.L. Atkinson (graveur de mezzotintes), avec qui il a une fille, Lilian (qui est devenue artiste). Yeend King était un artiste important et influent, comme l'a souligné le London Times dans un article du 6 juin 1924:
En apparence, Yeend King contrastait avec l'idée conventionnelle que l'on se fait d'un artiste: il était rasé de près, portait les cheveux courts, avait un sourire génial et un grand sens de l'humour. Comme la plupart des peintres, cependant, c'était un vrai bohémien, avec une merveilleuse collection d'histoires drôles, qu'il racontait bien. Il était rarement sans une tabatière, bien qu'il ne soit pas lui-même un tabatier assidu.
En 1879, il est élu à la Royal Society of British Artist (RBA) et en 1886 à l'Institut royal des peintres en aquarelle (dont il deviendra plus tard vice-président). Il était également membre du Royal Institute of Painters in Oil-Colors et exposait fréquemment dans toutes les grandes salles d'exposition : 115 œuvres à la RBA, 38 à la RI et 94 à la Royal Academy. Yeend King a également exposé ses peintures dans toute l'Europe et aux États-Unis, remportant des médailles à Paris, Berlin et Chicago.
C'est lors de l'exposition de la Royal Academy de 1897 que le Conseil de la Royal Academy, en tant qu'administrateur de la collection permanente de la Nouvelle-Galles du Sud, a acheté The Garden by the River et, en 1898, la Tate Gallery, dans le cadre du legs Chantrey, a acheté Milking Time (Le temps de la traite).
Il meurt le 10 juin 1924 à l'âge de 68 ans.
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Constant Troyon
Constant Troyon, né le 28 août 1810 à Sèvres (Seine-et-Oise) et mort le 20 mars 1865 à Paris 9e, est un peintre français de l'École de Barbizon.
Constant Troyon est le fils de Jean-Marie-Dominique Troyon (1780-1817), peintre d'ornement et doreur à la Manufacture de Sèvres (auquel la rue Troyon de Sèvres rend hommage), et de son épouse Jeanne Pracht, ouvrière plumassière.
Après avoir étudié les bases de son art avec Denis Désiré Riocreux (1791-1872), peintre, conservateur du musée de Sèvres, et Camille Roqueplan, il rencontre en 1830 le peintre Paul Huet avec qui il travaille.
Dès ses débuts, il s'intéresse à la peinture de paysage et multiplie les études dans les bois de Meudon, de Compiègne ou de Saint-Cloud.
Il présente ses premières œuvres, encore imprégnées de l'enseignement néo-classique, au Salon de 1833.
Sa rencontre avec le peintre Jules Dupré est décisive. Ce dernier l'encourage à travailler en plein air et lui apprend à voir et à apprécier les sites chaotiques de la forêt de Fontainebleau ainsi que l'esthétique des Théodore Rousseau, Camille Corot ou Narcisse Diaz de la Peña.
Tout en restant fidèle à ses amis, il s'oriente cependant de plus en plus vers la peinture animalière grâce à laquelle il rencontre un vif succès. Il aime peindre les chiens et met en œuvre dans ses tableaux de chasse un talent de coloriste exceptionnel2.
En 1845, il habite au no 30 rue Fontaine-Saint-Georges à Paris, il a son atelier au n°1 chemin de ronde de la barrière de Rochechouart, près du cirque Fernando.
En 1846-1847, il découvre les peintres paysagistes du siècle d'or néerlandais comme Paulus Potter ou Albert Cuyp. Troyon fait alors des animaux domestiques le sujet principal de ses tableaux. Il est d'un talent réaliste convaincu. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur après le Salon de 1849 et commence enfin à recevoir des commandes. Comme ses amis de l'école de Barbizon, il ne connaît la consécration qu'au Salon de 1855. Théophile Gautier vanta son style large et ample.
En 1863, il entreprend un voyage à travers le Berry, le Limousin (École de Crozant) et la Bretagne avec les peintres Jules Dupré et Louis Cabat.
Eugène Boudin, Fabius Brest, Martin Léonce Chabry et Julien de La Rochenoire ont travaillé dans son atelier.
En juin 1867, l'Institut de France met en place le prix Constant Troyon récompensant chaque année un peintre de moins de trente ans par une dotation d'un montant de 600 francs.
Depuis 1875, la rue Troyon à Paris 17e lui rend hommage.
Julien Dupré
Julien Dupré était un peintre français né le 18 mars 1851 à Paris et mort dans la même ville le 15 avril 1910.
Julien Dupré étudie à l'École des beaux-arts de Paris dans l'atelier d'Isidore Pils (1813-1875) et celui d'Henri Lehmann. Il étudie aussi avec Désiré François Laugée, dont il épousera la fille, Marie Laugée.
Peintre naturaliste, dans l'héritage de Jean-François Millet et de Jules Breton qu'il admire, il observe et peint la vie des paysans, jouant sur la lumière. Il donne du relief à sa peinture, accentuant les effets pour donner de la force à ses œuvres et commence à exposer au Salon des artistes français dès 1876 avec la toile La Moisson en Picardie.
Il quitte souvent l'atelier (qu'il partage avec son beau-frère le peintre Georges Laugée) situé au no 20 boulevard Flandrin à Paris pour peindre la nature sur le motif à la campagne. Il peint tout d'abord des scènes de moisson, en Picardie particulièrement, puis, à partir de 1880, des animaux observés dans la campagne.
En 1881, sa toile Les Foins lui vaut une médaille de 2e classe au Salon des artistes français. Très reconnu aux États-Unis, de nombreuses œuvres de Julien Dupré sont conservées dans les musées américains. Il expose au Salon des artistes français régulièrement jusqu'à sa mort, devient membre du Comité du Jury en 18903 et reçoit une médaille d'or à l'Exposition universelle de 1889 à Paris, puis est décoré de la Légion d'honneur en 1892.
Julien Dupré meurt le 15 avril 1910 en son domicile et atelier au no 20 Boulevard Flandrin dans le 16e arrondissement de Paris, et, est inhumé au Cimetière du Père-Lachaise (60e division).
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Giovanni Boldini
Giovanni Boldini (31 décembre 1842 - 11 janvier 1931) était un peintre de genre et de portrait italien qui a vécu et travaillé à Paris pendant la majeure partie de sa carrière. Selon un article paru en 1933 dans le magazine Time, il était connu sous le nom de «Maître du Swish» en raison de son style de peinture fluide.
Boldini est né à Ferrare, en Italie, le 31 décembre 1842. Il est le fils d'un peintre de sujets religieux et le frère cadet de l'architecte Luigi (Louis) Boldini. En 1862, il se rend à Florence pour six ans afin d'étudier et de poursuivre la peinture. Il n'assiste que rarement aux cours de l'Académie des beaux-arts, mais à Florence, il rencontre d'autres peintres réalistes connus sous le nom de Macchiaioli, précurseurs italiens de l'impressionnisme. L'influence de ces peintres se retrouve dans les paysages de Boldini, qui témoignent de sa réaction spontanée à la nature, même si c'est pour ses portraits qu'il s'est le plus fait connaître.
Installé à Londres, Boldini connaît le succès en tant que portraitiste. Il réalise les portraits de membres distingués de la société, dont Lady Holland et la duchesse de Westminster À partir de 1872, il vit à Paris, où il devient l'ami d'Edgar Degas. Il entretient également une relation amoureuse avec une Française nommée Berthe, qui sera son modèle régulier au cours de la même décennie. La comtesse Gabrielle de Rasty est son autre amante. Il devient le portraitiste le plus en vogue à Paris à la fin du XIXe siècle, avec un style pimpant qui montre une certaine influence de Macchiaioli et un brio qui rappelle le travail d'artistes plus jeunes, tels que John Singer Sargent et Paul Helleu.
Il est nommé commissaire de la section italienne de l'Exposition de Paris en 1889 et reçoit la Légion d'honneur pour cette nomination. En 1897, il présente une exposition personnelle à New York. Il participe à la Biennale de Venise en 1895, 1903, 1905 et 1912.
Boldini meurt à Paris le 11 janvier 1931. Dans un article du New York Times de janvier 1931, sa carrière est résumée comme suit:
Boldini était un portraitiste à la mode. Il « faisait » toutes les grandes dames de Paris et, à une certaine époque, se faire portraiturer par Boldini était un événement marquant de la saison sociale. Son style était racé et avancé pour son époque, et il pensait que ses peintures de décolletés touchaient à l'extrême limite des conventions. Son travail a fait l'objet de nombreuses discussions dans les salons. Puis il fut supplanté par Vandongens, Etcheverrys, Domergues et d'autres dont l'audace choqua et découragea Boldini. Il n'avait pas peint pendant de nombreuses années avant sa mort. Son corps est transporté à Ferrare, sa ville natale, pour y être enterré.
Après sa mort, ses œuvres ont continué d'être exposées dans le monde entier. Une exposition de ses œuvres a eu lieu en 1938, sept ans après sa mort, aux Newhouse Galleries à New York.
Edward Killingworth Johnson
Edward Killingworth Johnson (1825 - 1896) était un graveur sur bois, illustrateur et aquarelliste britannique. Il est connu pour avoir créé les premières illustrations du roman She, publié par Rider Haggard en 1887.
Johnson est né à Bow, Londres, le 30 mai 1825 d'un marchand irlandais, Richard Johnson, et de sa femme Mary Meadows. Il a suivi une formation d'apprenti auprès du graveur sur bois John Orrin Smith à partir de 1839, puis auprès de l'associé de Smith, William James Linton. Il travaille ensuite comme graveur sur bois pendant plusieurs années. Il étudie le dessin à la Langham Life School et commence à peindre professionnellement vers 1863. Dans les années 1860, il collabore régulièrement aux périodiques illustrés The Illustrated London News et, à partir de 1869, The Graphic. Il devient membre de la Society of Painters in Water Colours en 1876; il y expose ses œuvres, ainsi qu'à la Royal Academy, à l'American Society of Painters in Water Color, à l'Exposition de Philadelphie et à l'Exposition universelle de Paris.
Johnson épouse Hannah Reynolds en novembre 1871; ils quittent Londres pour s'installer dans la maison familiale de Baker's Farm, dans l'Essex, et ont trois enfants. Ses oncles étaient l'illustrateur et aquarelliste John Masey Wright et le peintre de marine James Meadows. Il meurt à Halstead, dans l'Essex, le 7 avril 1896, et est enterré à Sible Hedingham.
Johnson a préparé les premières illustrations du roman She de Rider Haggard (1887), qui restent parmi ses œuvres les plus connues.
De nombreuses œuvres de Johnson sont répertoriées dans le catalogue de vente aux enchères préparé après sa mort.
Frederick Morgan
Frederick Morgan (1847 - 3 avril 1927) était un peintre anglais de portraits, d'animaux et de scènes domestiques et champêtres. Il s'est fait connaître par ses scènes de genre idylliques de l'enfance.
Morgan est né à Londres de John Morgan et de sa femme, Henrietta Hester Clare. Son père était un artiste de genre à succès, parfois connu sous le nom de « Jury Morgan » (d'après l'une de ses peintures, The Gentlemen of the Jury). À l'âge de 14 ans, il est retiré de l'école par son père, qui lui donne des cours d'art. À l'âge de 16 ans, alors qu'il étudie toujours avec son père, son premier tableau, The Rehearsal, est exposé à la Royal Academy et, après une interruption de plusieurs années, ses peintures y sont exposées régulièrement. Pendant un certain temps, il travaille comme portraitiste pour un photographe d'Aylesbury; cette formation s'est avérée cruciale car elle lui a «appris à observer attentivement et à accorder la plus grande attention aux détails».
Il finit par se tourner vers d'autres sujets, en particulier les scènes de genre idylliques de la vie à la campagne et de l'enfance. Pendant de nombreuses années, à partir de 1874, Thomas Agnew & Sons' achète toutes ses œuvres. Au cours de cette période, il a peint certaines de ses œuvres les plus populaires, telles que The Doll's Tea Party (1874), Emigrants' Departure (1875) et School Belles (1877). La plupart de ses peintures ont été réalisées dans le village de Shere, près de Guildford, un lieu de retraite bien connu des artistes. Il a également peint en Normandie, notamment Midday Rest (1879) et An Apple Gathering (1880).
Bien qu'excellent portraitiste, Morgan avait des difficultés à représenter les animaux domestiques et les animaux de basse-cour - il faisait appel à Arthur John Elsley ou à Allen Sealey (1850-1927) lorsque de tels problèmes devaient être résolus.
Il est surtout connu pour ses peintures romantiques et sentimentales d'enfants, dans le même style que son contemporain Arthur John Elsley. Ses peintures ont connu une grande popularité de son vivant et ont été largement publiées. Il a exposé à la Royal Academy et était membre du Royal Institute of Oil Painters (ROI).
En 1872, il épouse une autre peintre, Alice Mary Havers (1850-1890); ils ont trois enfants. Leur fils aîné, Valentine, connue sous le nom de Val Havers, devint également peintre. Frederick Morgan se marie encore deux fois et a deux enfants du second mariage.
Les peintures de Morgan sont exposées dans de nombreuses galeries d'art et musées, dont la Walker Art Gallery de Liverpool et le Russell-Cotes Museum de Bournemouth. Son tableau Turn Next a été utilisé pour la publicité du savon Pears' Soap et se trouve à la Lady Lever Art Gallery, à Port Sunlight.
Loli
in reply to Léonard le Contemplatif • •Cette photo me fait penser à ce que mon amie m'a raconté. Elle a vu son dermato ,qui en examinant son dos lui a dis "vous avez un dos comme une nuit étoilée " parce qu'elle a pleine de tâches comme des tâches de rousseur. J'ai trouvé ça beau cette comparaison.
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Léonard le Contemplatif
in reply to Loli • •Les naines rousses existent. Ce ne sont pas exactement des étoiles, mais elles sont plus grosses que Jupiter. Elles émettent de la lumière, mais celle-ci n'est pas visible à l'œil nu.
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