Si tu n'arrives pas à penser, marche. Si tu penses trop, marche. Si tu penses mal, marche encore.
J'ai cherché cette citation, jamais sourcée, dans toutes les œuvres romanesques, récits, essais, poèmes, entretiens, correspondance et lettres de Jean Giono et je ne l'ai pas trouvée. Des milliers de pages, mais il manque peut-être quelque chose. Je la considère comme apocryphe.
|Si tu n'arrives pas à penser, marche.
Si tu penses trop, marche.
Si tu penses mal, marche encore.|