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Mais au fond, il n'y a pas d'amis, il n'y a que des complices. Et quand la complicité cesse, l'amitié s'évanouit.


Citation extraite du recueil de poésies "Le Livre de mon bord" de Pierre Reverdy (1948).

Il s'agit des paroles d'un homme égaré, comme Friedrich Nietzsche et Albert Camus. Ces hommes n'ont pas trouvé Dieu.

Extrait de "Le Livre de mon bord" de Pierre Reverdy (1948):

Il ne s'agirait pas tellement d'aimer, mais seulement de pouvoir admettre et supporter le prochain, tel qu'il est, en lui-même et encore, si l'on y tient, pour l’amour de Dieu.


Un ami, c'est quelqu'un à qui l'on a donné barre sur soi mais qui doit bien se garder d'en abuser. C'est ce qui, entre l'homme et la femme, mériterait surtout d'être compris.

Mais, au fond, il n'y a pas d'amis, il n'y a que des complices. Et, quand la complicité cesse, l'amitié s'évanouit.

Il y a deux sortes d'unions qui durent - celle où l'on ne s'entend pas, bien qu'on s'aime - celle où l'on s'entend, bien qu’on ne s'aime pas. Et enfin peut-être, aussi, une troisième — mais n'en parlons pas.


|Mais au fond, il n'y a pas d'amis, il n'y a que des complices. Et quand la complicité cesse, l'amitié s'évanouit.|