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Théophile Emmanuel Duverger


Théophile Emmanuel Duverger était un peintre français né à Bordeaux le 17 mars 1821, mort à Écouen le 25 août 1898.

Il est le beau-père du peintre André-Henri Dargelas.

Sa naissance dans une grande ville comme Bordeaux aurait pu lui faciliter l'accès à une formation artistique, mais Théophile Emmanuel Duverger est autodidacte. Il se forme d'abord par une observation minutieuse et attentive de la nature, puis par l'étude des œuvres des grands maîtres dans les musées et les galeries, de leur technique, de leurs couleurs, de leurs jeux de lumière.

Cet apprentissage personnel a eu l'avantage de permettre à son art et à son inspiration d'évoluer librement, en dehors des contraintes qui s'attachent généralement aux ateliers, surtout à Paris, et c'est peut-être l'une des particularités qui transparaît dans les tableaux de Théodore Emmanuel Duverger.

Il débute au Salon de Paris de 1846 avec un Portrait de femme. Par la suite il a surtout traité des scènes de genre. Il obtient une médaille de 3e classe au Salon de 1861, avec un rappel en 1863, et une nouvelle médaille en 1865. Il fait partie des fondateurs de la colonie d'artistes d'Écouen.

Il arrive à Écouen en 1860 avec son épouse, Élisabeth Seignac, née elle aussi à Bordeaux le 7 décembre 1814. La découverte de ce petit village non loin de Paris l'amènera à enrichir son expérience de la nature. Elle lui permet en tout cas de rencontrer la Colonie des peintres d'Écouen, née sous l'impulsion de Pierre Édouard Frère, et à laquelle il adhère immédiatement.

Sous le Second Empire en particulier, la peinture de genre a su séduire une clientèle bourgeoise, lassée de la peinture historique ou mythologique, ce qui a assuré des revenus confortables aux artistes, ceux de l'école d'Écouen entre autres. Les États-Unis constituent également un débouché que les peintres d'Écouen s'efforcent de développer. Outre la peinture, Duverger, comme ses amis Paul Seignac et André Dargelas, réalise de nombreux dessins qui plaisent à un Américain, William Walters de Baltimore. En 1861, celui-ci vient à plusieurs reprises à Écouen et on le voit se promener dans les rues du village en compagnie de Duverger avant de se retrouver avec d'autres artistes de la colonie pour discuter de commandes.

En 1860, Emmanuel Duverger et son épouse, Elisabeth Seignac, achètent à Écouen une maison donnant sur la rue de la Beauvette et la place de la Beauvette (place Jean Le-Vacher), pour la somme de 20000 francs. Puis le 18 octobre 1869, ils achètent, au 22 rue de la Beauvette, une vaste demeure de dix pièces, agrémentée d'un jardin aux nombreuses allées et terrasses fleuries et dotée de tout le confort (de l'époque...) pour 11000 F.

Le dernier tableau de Duverger, «Aller aux champs», est exposé en 1895. Il meurt trois ans plus tard et est enterré dans le cimetière local. En 1906, un tableau d'Emmanuel Duverger, «La bénédiction du pain», est offert à la ville d'Écouen qui l'expose dans la salle du conseil municipal. Suite à ce don, la rue de la Châtaigneraie devient la rue Emmanuel Duverger. En 2010, la commune d'Écouen acquiert une œuvre de ce peintre : «Le Dresseur de chiens», qui représente une vue du château et du Manoir des Tourelles.

Il est inhumé au cimetière d'Écouen.





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