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Émile Vernet-Lecomte


Émile Lecomte ou Émile Vernet-Lecomte, né le 15 mars 1821 dans l'ancien 2e arrondissement de Paris, ville où il est mort le 19 novembre 1900, était un peintre orientaliste français.

Émile Vernet-Lecomte, né Charles Émile Hippolyte Lecomte, est issu d'une famille de peintres illustres. Il est l'arrière-petit-fils de Claude Joseph Vernet (1714-1789), le fils du peintre de batailles Hippolyte Lecomte qui est lui-même le gendre de Carle Vernet, et le neveu d'Horace Vernet. Ce dernier est d'ailleurs avec Léon Cogniet l'un de ses professeurs. Il commence par peindre des portraits de la bourgeoisie aisée et de l'aristocratie. Il débute au Salon de Paris de 1843 où il reçoit une médaille de bronze. Il signe alors ses toiles sous le nom d'«Émile Lecomte», mais prend par la suite le nom de «Vernet-Lecomte». Très rapidement, il manifeste un goût prononcé pour l'orientalisme. Ses premières toiles sur ce thème sont exposées au Salon de 1847 (Tête de Syrien et Femme syrienne) et il réalise de très nombreux portraits de femmes orientales.

L'actualité de son époque ne le laisse pas non plus indifférent et c'est ainsi qu'il peint des tableaux ayant pour sujet la guerre de Crimée (1853-1855) ou le massacre des maronites par les Druzes en Syrie en 1860-1861.

Émile Vernet-Lecomte meurt le 19 novembre 1900 en son domicile, au n°14, rue de Beaune dans le 7e arrondissement de Paris, et, est inhumé au cimetière de Montmartre (24e division).




Charles Landelle


Charles Zacharie Landelle, né le 2 juin 1821 à Laval et mort le 13 octobre 1908 à Chennevières-sur-Marne, était un peintre de genre et portraitiste français.

Né d'une famille modeste, Charles Landelle épouse en 1857 Alice Letronne, fille du garde général Jean-Antoine Letronne qui sauva les Archives nationales en 1848. De cette union, naîtront deux fils, Georges (également peintre, et graveur) et Paul, décédés tous du vivant de leur père. Une nièce d'Alice Landelle-Letronne, Caroline Januszkiewicz, épousera l'homme de lettres stendhalien Casimir Stryjeński.

Fils d'employé de la préfecture de Laval, il suit en 1827 son père à Paris. Il ne reviendra dans sa ville natale qu'à la fin de sa vie.

Il développe un talent et un métier très solide à l'École des beaux-arts de Paris où il est admis en 1837, comme élève de Paul Delaroche et d'Ary Scheffer. Au début de sa carrière, il peint plusieurs portraits pour subvenir à ses besoins. Influencé par la peinture italienne après des voyages dans le Sud de la France et en Italie, il effectue des copies de quelques toiles des grands maîtres de la Renaissance au Louvre.

Ses portraits et ses grands tableaux religieux connaissent un succès immédiat, et lui permettent de gagner la reconnaissance de la haute société du XIXe siècle. En 1841, il expose son premier tableau, un autoportrait. Il est remarqué par Louis-Philippe au salon de 1841 et aussitôt médaillé et reconnu par la critique.

Ses succès critiques au Salon lui assurent vite (une prospérité?) Cette même année il réalisa au pastel le portrait d'Alfred de Musset, aujourd'hui conservé au Musée du Louvre. L'artiste embrasse donc une carrière de peintre officiel entre commandes d'État et portraits de membres de la haute société. Capable de s'adapter au goût et aux modes de son temps, Landelle gagne vite une notoriété qu'il sait entretenir, n'oubliant jamais d'offrir un portrait ou une toile à ses bienfaiteurs. En 1848, la Ville de Paris lui achète Sainte-Cécile conservé à l’église Saint-Nicolas-des-Champs.

En 1849, Landelle expose deux portraits de femme au salon.

Napoléon III, qui l'admire beaucoup, lui achète les deux toiles des Béatitudes (1852) pour les offrir à la ville de Laval. Il reçoit de nombreuses commandes d'État, notamment Le Repos de la Vierge en 1854. C'est la consécration et la fortune.

Il est le portraitiste talentueux de la société du Second Empire (Portrait d'Alfred de Musset, Château de Versailles, Portrait de Mounet-Sully, Les Pêcheries, musée de Fécamp).

Les musées, les églises (Saint-Sulpice, Saint-Germain-l'Auxerrois), les bâtiments publics, les palais nationaux (l'Élysée) s'ornent de ses grandes compositions. À la suite d'une commande de l'empereur, il réalise la décoration d'un salon du palais de l'Élysée, celui des aides de camp, en 1859. Six dessus de portes représentant les quatre éléments (L'Eau, Le Feu, L'Air et La Terre) et une allégorie de La Paix et de La Guerre. Peintre prolifique et virtuose, Charles Landelle a réalisé environ 2000 à 3000 tableaux avec les répliques.

Charles Landelle est également un représentant de la peinture orientaliste. De ses voyages en Afrique du Nord et au Moyen-Orient dans les années 1860, il laisse des œuvres souvent très réussies. Son premier voyage au Maroc date de 1866, mais le peintre exerce peu son art et préfère faire partie de la délégation officielle.

C'est en 1866 qu'il réalise Femme fellah qui lui vaut le surnom de peintre des fellahs, œuvre achetée par l'empereur sur sa cassette personnelle, détruite dans l'incendie du château de Saint-Cloud en 1870. Une réplique, exécutée par Charles Landelle, est conservée au musée du Vieux Château de Laval.

En 1875, il est en Égypte, et descend le Nil avec l'explorateur Mariette. Chaque année, il va en Orient ou en Algérie et rapporte des tableaux. À la fin de sa vie, Charles Landelle encouragea la réalisation à Laval d'un musée de peinture qu'il inaugura en 1895, au faîte de sa gloire, aux côtés du président de la République : c'est l'actuel musée des Sciences.

Charles Landelle meurt sans descendance en 1908 à Paris. À sa mort, il possède des propriétés foncières, des villas, un hôtel à Paris. Le tout avec du beau mobilier, et des tapisseries.








William Marshall Brown


William Marshall Brown était un peintre écossais né le 3 janvier 1863 à Édimbourg et décédé le le 24 avril 1936 dans la même ville.

Dans sa jeunesse, il se consacre à la gravure sur bois et à l'illustration de livres et étudie l'art en tant qu'étudiant du soir à la Royal Institution. Membre de la Life School de l'Académie de 1884 à 1888, il remporte le prix Stuart et, à deux reprises, la bourse Chalmers.

La plupart de ses études à la Royal Scottish Academy Class ont été réalisées à l'aquarelle, un médium dans lequel il excellait, mais qu'il a rarement utilisé pour ses œuvres exposées, ce que certains regretteront peut-être. Il est élu membre associé de l'Académie en 1909 et devient membre à part entière en 1928.

En 1929, il a été élu membre de la Royal Scottish Society of Painters in Water Colours. Il a été l'un des premiers membres de la Society of Scottish Artists, dont il a été le président en 1905. Les tableaux typiques de Marshall Brown représentent des rivages ou des ports ensoleillés avec des enfants ou des pêcheurs. Nombre d'entre elles proviennent de Hollande et de Belgique ou de France, où il trouve à Concarneau les couleurs locales vives qui l'intéressent. C'est dans le jardin de son atelier à The Cove, Cockburnspath, qu'il a peint la plupart de ses grands personnages.

L'Académie possède son travail de diplôme «A Breton Washing Pool» et «Washing, Volendam», achetés grâce aux fonds du Thorburn Ross Memorial. L'Association des arts modernes a acquis «Pêcheurs de sardines». Des œuvres sont également exposées à Paisley et dans les galeries publiques de Harrogate. Marié en 1912, il laisse une veuve qui est également peintre.

William Marshall Brown n'était pas originaire de l'East Lothian, mais comme beaucoup d'artistes, il a été captivé par la côte et les paysages du comté, ainsi que par les habitants de ces districts. Il a passé de nombreuses années à travailler dans le comté et nombre des personnages qu'il a peints - les filles de pêcheurs et les ouvriers agricoles figurent en bonne place - étaient caractéristiques de son époque. Même lorsqu'une scène n'est pas nommée, le lien avec l'East Lothian peut souvent être discerné dans les détails - par exemple, les bonnets «ugli», les nasses et les paniers.

Il a également passé du temps à Londres et a peint aux Pays-Bas et en France, mais il s'est fait connaître pour son travail figuratif dans des paysages écossais. Bien qu'il ait beaucoup voyagé en Écosse, il a, comme les «Glasgow Boys», trouvé à Cockburnspath une base utile et y a gardé un studio d'où il a exécuté certaines de ses meilleures œuvres. La plupart de ses œuvres sont de grande taille, avec un coup de pinceau large et rapide et une palette lumineuse. Une composition favorite peut être exécutée plusieurs fois avec de légères variations.



Le savoir est un champ, mais s'il n'est ni labouré, ni surveillé, il ne sera pas récolté.


Proverbe extrait de l'ouvrage " Proverbes et maximes peuls et toucouleurs traduits, expliqués et annotés" de Henri Gaden (1931).

https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k261619/f242.item

«Ganⁿdal ko ⁿgesa, soko nôn, so remâka rénā, soŋetâke.»

Se dit d'un individu qui a reçu de l'instruction, mais qui est paresseux (remáka) et sans éducation (rénā ). Son instruction ne lui servira à rien parce qu'il sera incapable d'en tirer parti. Se dit aussi aux jeunes gens, à titre de conseil.

Diffusion de la langue peule en Afrique:


|Le savoir est un champ, mais s'il n'est ni labouré, ni surveillé, il ne sera pas récolté.|




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Frank Bindley


Frank Bindley était un peintre irlandais qui a prospéré vers 1872-1887. Je ne sais rien d'autre sur lui!







Alexander Hohenlohe Burr


Alexander Hohenlohe Burr était un peintre écossais né Manchester en 1837 et décédé en 1899.

Il était le frère cadet de John Burr. Il a étudié avec John Ballantyne et Robert Scott Lauder. Il expose pour la première fois en 1856 à la Royal Scottish Society. En 1861, il s'installe à Londres. Ses sujets ne sont jamais ambitieux et sont principalement tirés de scènes de la vie modeste. Alexander Hohenlohe Burr était membre du célèbre «groupe Scott Lauder» à la Trustees' Academy au début des années 1860, qui comprenait son frère John, Chalmers, McTaggart, Orchardson et Pettie. Burr, comme beaucoup de membres du groupe, a suivi la tradition établie en se rendant à Londres en 1861 pour tenter d'être reconnu par la Royal Academy. Ce bel exemple de genre rural écossais, inspiré par Wilkie et la tradition hollandaise, exploite le potentiel comique et le sentimentalisme douillet d'un thème popularisé par les Faeds.

En 1859, Burr eut l'honneur d'être sélectionné, avec des noms aussi connus que Sir George Harvey et Horatio McCulloch, pour contribuer à un dessin qui serait ensuite gravé pour une édition des poèmes de Burns.




Alfonso Simonetti


Alfonso Simonetti (29 décembre 1840 - 22 août 1892) était un peintre italien de scènes historiques, de portraits et de paysages, surtout connu pour ses œuvres aux effets de clair de lune et de coucher de soleil.

Simonetti est né à Naples, en Italie, du peintre Giuseppe Simonetti (1840-1864) et de sa femme Vincenza, née Piccirillo. En 1859, il s'inscrit à l'Académie royale des beaux-arts, où il étudie avec Gabriele Smargiassi et Giuseppe Mancinelli. Il fait ses débuts en 1862, à la Société pour la promotion des beaux-arts, en représentant le soldat mercenaire Ettore Fieramosca au mont Gargano. Deux ans plus tard, il obtient une bourse pour étudier à Florence. En 1873, il reçoit la commande d'un portrait de Giuseppe Verdi.

Peu après, il retourne à Naples et, en 1877, expose deux œuvres majeures: Sans espoir, elle est morte et Le dernier rayon. À l'Exposition artistique de Turin de 1880, il expose Malaria et Sérénade. En l'honneur de son ancien professeur, il peint une scène de rue de la Via Giuseppe Mancinelli, qui sera ensuite exposée à Paris lors de l'Exposition universelle (1889). Lors de l'inauguration du Palazzo delle Esposizioni à Rome, il est représenté par un grand paysage intitulé Coucher de soleil (1883). Deux autres paysages sont présentés à l'exposition des beaux-arts de Venise (1887): Mon seigneur la forêt et La récolte des oliviers.

Il a également exposé en dehors de l'Italie. À l'exposition italienne de Londres, il expose Forêt, Campagne de Castrocielo et la toile historique : Gutenberg, Faust et Coeffer impriment la première page de la Bible. À Melbourne, en Australie, il expose Costume de Castrocielo.

Trois de ses principales toiles sont exposées à la Pinacothèque du musée de Capodimonte : Matin d'hiver, Rue de Castrocielo et le portrait Fatigué. Ses œuvres sont également exposées à la Galleria dell'Accademia et à la Galleria d'arte moderna de Florence.

Il est nommé professeur honoraire à l'Accademia en 1872 et chevalier de l'Ordre de la Couronne d'Italie.












Carl Zewy


Carl Zewy était un peintre autrichien né le 21 avril 1855 à Vienne et décédé le 20 juin 1929 dans la même ville.

Zewy a étudié à l'Académie des beaux-arts de Vienne sous la direction d'August Eisenmenger et à l'Académie royale des arts de Munich, mais n'y a pas été inscrit. Après ses études, Zewy retourne à Vienne et se concentre sur la peinture de genre. Il illustre également des livres. Il est ami avec les peintres Isidor Kaufmann, Josef Gisela et Johann Hamza. Le cercle d'amis de Zewy comprend également l'illustrateur et caricaturiste Karl Elleder et le réalisateur Fritz Lang. Zewy a reçu de nombreuses commandes du marchand d'art viennois Friedrich Schwarz. Zewy participe régulièrement aux expositions du Künstlerhaus de Vienne. Nombre de ses peintures sont publiées dans le «Gartenlaube» et sur des cartes postales. Le 24 avril 1925, Zewy reçoit le titre de «citoyen de la ville de Vienne».



La religion est pour ceux qui ont peur d'aller en enfer. La spiritualité est pour ceux qui y sont déjà allés.


Impossible que ce proverbe soit sioux puisque la religion a été inventée par les chrétiens (je ne parle pas de tradition spirituelle). Elle a été reprise par l'islam et le judaïsme.

Cette phrase est du père Patrick Collins (1994), de l'université de Notre-Dame, aux États-Unis.

https://en.wikiquote.org/wiki/Vine_Deloria_Jr.


|La religion est pour ceux qui ont peur d'aller en enfer. La spiritualité est pour ceux qui y sont déjà allés.|



La discorde est le plus grand mal du genre humain, et la tolérance en est le seul remède.


Citation extraite du "Dictionnaire philosophique" de Voltaire (1764) à l'entrée "Tolérance".

Extrait du "Dictionnaire philosophique" de Voltaire (1764) à l'entrée "Tolérance":

Cette horrible discorde, qui dure depuis tant de siècles, est une leçon bien frappante que nous devons mutuellement nous pardonner nos erreurs; la discorde est le grand mal du genre humain, et la tolérance en est le seul remède.
Il n'y a personne qui ne convienne de cette vérité, soit qu'il médite de sang-froid dans son cabinet, soit qu'il examine paisiblement la vérité avec ses amis. Pourquoi donc les mêmes hommes qui admettent en particulier l'indulgence, la bienfaisance, la justice, s'élèvent-ils en public avec tant de fureur contre ces vertus? Pourquoi? c'est que leur intérêt est leur dieu, c'est qu'ils sacrifient tout à ce monstre qu'ils adorent.

https://www.lechasseurabstrait.com/revue/IMG/pdf/Voltaire_-_Dictionnaire_philosophique.pdf


|La discorde est le plus grand mal du genre humain, et la tolérance en est le seul remède.|



Apprends la sagesse dans la sottise des autres.


"Proverbe" inconnu au Japon. Il semble être apparu en 2009 et repris dans un ouvrage de 2011.

https://www.intoxitation.com/citations-proverbes-3032.html

Une parole similaire, mais plus riche et logique, a été attribuée à Caton l'Ancien par Plutarque dans «Aristide. Caton l'Ancien. Philopœmen. Flamininus». Marcus Porcius Cato, dit Caton l'Ancien (Cato Maior) ou Caton le Censeur (Cato Censorius), était un homme politique et un écrivain romain né en 234 av. J.-C. dans le municipe de Tusculum et mort en 149 av. J.-C. à Rome.

Extrait de «Aristide. Caton l'Ancien. Philopœmen. Flamininus» de Plutarque:

Il disait «que les fous servent plus à l'instruction des sages, que les sages à l'instruction des fous; car les sages fuient l'exemple des fous, et les fous ne suivent pas l'exemple des sages».

https://www.google.fr/books/edition/Aristide_Caton_l_Ancien_Philop%C5%93men_Flam/KbsNAAAAYAAJ?hl=fr&gbpv=0


|Apprends la sagesse dans la sottise des autres.|