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Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j'apprends.


Citation apocryphe jamais sourcée qui semble être apparue en 2011 et attribuée à un certain BK.

Il s'agit encore d'une formule en développement personnel.

https://x.com/_TIAwanna/status/31115421138554880


|Je ne perds jamais. Soit je gagne, soit j'apprends.|



La raison veut décider ce qui est juste; la colère veut qu'on trouve juste ce qu'elle a décidé.


Citation déformée extraite de l'ouvrage "De la colère", Livre I, de Sénèque (52 après J.-C.).

La raison ne veut pas décider, elle cherche à décider. Seule la colère veut décider.

Extrait de l'ouvrage "De la colère", Livre I, de Sénèque (52 après J.-C.):

La raison ne veut pas décider, elle cherche à décider. Seule la colère veut décider.
Extrait de l'ouvrage "De la colère", Livre I, de Sénèque (52 après J.-C.):
La passion tombe en un moment; la raison va d'un pas toujours égal; du reste, même quand la colère a quelque durée, le plus souvent, bien que de nombreux coupables eussent mérité la mort, à la vue du sang de deux ou trois victimes, elle cesse de frapper. Ses premières atteintes sont mortelles, comme le venin de la vipère au sortir de son gîte; mais, en se répétant, ses morsures épuisent bientôt leur malignité. Ainsi, près d'elle, les mêmes crimes ne subissent pas les mêmes peines, et souvent la plus grave est pour la moindre faute, exposée qu'elle est à la première fougue. Inégale dans toute son allure, ou elle va au delà de ce qu'il faut faire, ou elle reste en deçà: elle se complaît dans ses excès, juge d'après son caprice, sans vouloir entendre, sans laisser place à la défense, s'attachant à l'idée dont elle s'est préoccupée, et ne souffrant point qu'on lui ôte ses préventions, quelque absurdes qu'elles soient. La raison accorde à chaque partie le lieu, le temps convenables; elle-même, elle s'impose des délais pour avoir toute latitude dans la discussion de la vérité. La colère fait tout en courant; et quand la raison cherche à décider ce qui est juste, elle, au contraire, veut qu'on trouve juste ce qu'elle a décidé. La raison n'envisage que le fond même de la question; la colère s'émeut pour des motifs puérils autant qu'étrangers à la cause. Un air trop assuré, une voix trop ferme, des assertions tranchantes, une mise recherchée, un cortège d'assistants trop imposant, la faveur populaire, vont l'exaspérer. Souvent, en haine du défenseur, elle condamne l'accusé; vainement la vérité éclate ses yeux; elle aime, elle caresse son erreur; elle ne veut pas en demeurer convaincue; et l'opiniâtreté lui paraît plus honorable que le repentir.

google.fr/books/edition/Oeuvre…


|La raison veut décider ce qui est juste; la colère veut qu'on trouve juste ce qu'elle a décidé.|



La mauvaise mère, la mère maladroite ou injuste, est pour l'enfant la plus tragique initiatrice.


Citation extraite de "Sentiments et coutumes" d'André Maurois (1934).

Extrait de "Sentiments et coutumes" d'André Maurois (1934):

Et l'enfant? Lui aussi, s'il a le bonheur d'avoir une mère vraiment mère, apprend par elle, au début de la vie, ce qu'est un amour sans réserve et qui ne demande aucune récompense. C'est par l'amour maternel qu'il sait, dés les premières années, que le monde n'est pas entièrement hostile, que l'on y peut trouver des mains accueillantes et une tendresse toujours prête, qu'il y a des êtres en qui l'on peut avoir une foi entière et naïve et qui donnent tout sans jamais rien demander. C'est un immense avantage moral que d'avoir ainsi commencé la vie; les optimistes, qui, malgré les échecs, malgré les malheurs, gardent jusqu'au bout leur confiance dans la vie, sont souvent ceux qui ont été élevés par une bonne mère. Inversement, la mauvaise mère, la mère maladroite ou injuste, est pour l'enfant la plus tragique initiatrice. Elle fait les pessimistes et les inquiets. J'ai essayé, dans Le Cercle de famille, de montrer comment le conflit avec la mère peut empoisonner une âme d'enfant. Mais la mère trop tendre, trop sentimentale peut elle aussi, faire beaucoup de mal, surtout à un fils, en éveillant trop tôt en lui des sentiments violents et passionnés qui ne sont pas de son âge. Stendhal a esquissé ce sujet et D. H. Lawrence lui a consacré presque toute son œuvre. «C'est une sorte d'inceste, dit-il, c'est un inceste spirituel plus dangereux que le sensuel parce que, plus impalpable, il est moins répugnant pour l'instinct.» Nous reviendrons la-dessus tout à l'heure, a propos des rapports des générations, et nous traiterons, en même temps, de l’amour paternel qui naît plus lentement.


|La mauvaise mère, la mère maladroite ou injuste, est pour l'enfant la plus tragique initiatrice.|



Les mots ne sont pas innocents. Ils traduisent une idéologie, une mentalité, un état d'esprit. Laisser passer un mot, c'est le tolérer. Et de la tolérance à la complicité, il n'y a qu'un pas.


Citation détournée extraite de "Une farouche liberté" de Halimi Gisèle et Annick Cojean (2020).

Prise isolément, elle n'a aucun sens. "J'aime le chocolat" n'a rien d'une idéologie. Et c'est le cas de tous les mots que cette phrase contient.

Extrait de "Une farouche liberté" de Halimi Gisèle et Annick Cojean (2020):

Bien sûr, mes adversaires utilisaient très souvent contre moi le fait que j'étais une femme. Si je gagnais une affaire, j'entendais mon confrère expliquer à son client: «Qu'est-ce que vous voulez! Elle est jeune. Elle a du charme. Contre la séduction, nous autres, pauvres hommes, nous sommes bien peu de chose.» Et quand c'étaient eux qui gagnaient: «C'est une femme. Comment vouliez-vous qu'elle comprenne quoi que ce soit à cette interprétation de jurisprudence? Elle a été dépassée.» Je ne disais rien, à la fin des procès. Mais au cours de l'audience, je ne laissais rien passer. Un jour, mon adversaire a été pris au dépourvu par un argument «coup de poing» découvert dans un arrêt récent. Désagréablement surpris, il s'est tourné vers moi: «Je voudrais dire, devant cette jeunesse, ce charme...» Il n'a jamais pu terminer sa phrase car j'ai explosé: «Nous sommes tous des avocats, au même titre. Nous parlons du même droit. Nous traitons les mêmes dossiers. Nous avons les mêmes privilèges et les mêmes obligations. Alors utiliser l'argument du “jeune et charmant confrère”, c'est tout simplement déloyal! Et c'est avouer sa propre incapacité ou le peu de sérieux de sa démonstration!» Cela a jeté un froid glacial dans le tribunal. Les juges ne comprenaient rien. Mon confrère leur avait paru au contraire très galant...

Mais moi, je savais. Je savais le dédain et l'hypocrisie contenus dans le miel de sa formule. Je savais le paternalisme et le sexisme qui s'y camouflaient. Et j'entendais qu'il n'y ait pas la moindre bavure. Il est un langage que tiennent les hommes et que les femmes ne devraient jamais laisser passer. Les mots ne sont pas innocents. Ils traduisent une idéologie, une mentalité, un état d'esprit. Laisser passer un mot, c'est le tolérer. Et de la tolérance à la complicité, il n'y a qu'un pas. Mes confrères ont donc fini par se faire une raison. Mais que d'efforts! Quelle attention de tous les instants ! Pendant des années, et avant chaque procès, je savais qu'il faudrait me battre doublement. Parce que j'étais une femme d'abord. En tant qu'avocate ensuite.



Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire.


Citation déformée extraite de l'ouvrage "Il n'y a pas de plus grand amour" de Mère Teresa (1977).

Extrait de "Il n'y a pas de plus grand amour" de Mère Teresa (1977):

S'il est une chose qui nous assurera toujours le Ciel, c'est bien les actes de charité et de générosité dont nous aurons rempli nos existences. Saurons-nous jamais quel bien peut apporter un simple sourire? Nous proclamons combien Dieu accueille, comprend, pardonne. Mais en sommes-nous la preuve vivante? Voit-on en nous, vivants, cet accueil, cette compréhension et ce pardon?


|Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire.|









Pierre-Édouard Frère


Pierre-Édouard Frère, né le 10 janvier 1819 à Paris et mort le 23 mai 1886 à Écouen, était un peintre, graveur et lithographe français.

Il est spécialisé dans les scènes de genre de la vie quotidienne représentant des enfants des milieux ruraux, qui furent très populaires notamment dans les pays anglo-saxons. La fondation de la colonie de peintres d'Écouen lui est attribuée.

Il est le frère cadet du peintre orientaliste Charles-Théodore Frère (1814-1888).

Fils d’un éditeur de musique, Pierre-Édouard Frère entre en 1836 dans l’atelier de Paul Delarochea à l’École des beaux-arts de Paris, où il remporte de nombreuses distinctions.

Il débute au Salon de 1843, et ne tarde pas à se faire une grande réputation dans la peinture de genre. Artiste prolifique, la plupart de ses compositions ont d’ailleurs été popularisées par la lithographie et la gravure sur bois, qu'il pratique lui-même. Il se fera connaître du grand public par ses gravures, d’enfants et d’intérieurs de gens modestes, avec une forme de sincérité, puisqu'il est l'un de premiers de son siècle à explorer ce thème, loin de Paris. En 1847, il s’installe en effet à Écouen. Il fait construire la villa Gabrielleb sur une parcelle boisée de plus d'un hectare. Aujourd'hui, cette demeure est devenue le collège Sainte-Thérèse.

Pierre-Édouard Frère est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1855.

Dans les années 1850 et 1860, il fait de fréquents séjour à Londres, où son art est reconnu. Il en ramène de nombreux dessins qu'il transpose en lithographies, publiées parfois dans L'Artiste. Il s'est essayé également à l'eau-forte, pour la Société des aquafortistes, entre autres.

En 1860, il effectue un voyage en Égypte dont il rapportera des compositions orientalistes.

Son fils, Charles-Édouard Frère (1837-1894) est également peintre.

Il est enterré avec son fils au cimetière d'Écouen.



NGC 2170


La nébuleuse de l'Ange est une nébuleuse par réflexion située à environ 2700 années-lumière dans la constellation équatoriale de Monoceros (la Licorne). Elle fait partie de Monoceros R2, l'une des régions de formation d'étoiles massives les plus proches du Soleil. La nébuleuse porte le nom de NGC 2170 dans le nouveau catalogue général.

La nébuleuse de l'Ange est la partie la plus brillante et la plus occidentale du nuage moléculaire géant de Monoceros R2. Cette nébuleuse poussiéreuse reflète la lumière des étoiles chaudes voisines et contient en son centre une région H II compacte cataloguée PKS 0605-06.

Des observations dans l'infrarouge ont révélé des signes de formation stellaire en cours dans la nébuleuse. Les jeunes étoiles massives sont dissimulées par les épais nuages de poussière et ne sont pas visibles en lumière visible, mais elles brillent dans la bande infrarouge. Leurs vents puissants et leur rayonnement sont responsables de la formation de la poussière et du gaz de la nébuleuse.

Monoceros R2 est une association R, une association stellaire dont les membres illuminent des nébuleuses par réflexion. NGC 2170 est l'une des nombreuses nébuleuses par réflexion bleutées dans la région de Monoceros R2. Le nuage moléculaire contient également une région d'émission rouge compacte et de nombreuses nébuleuses d'absorption sombres.

La nébuleuse de l'Ange est également cataloguée comme la source infrarouge Mon R2 IRS3. La source infrarouge est un système protostellaire massif qui a été résolu en deux composantes, A et B. Les étoiles nouvellement formées sont intégrées dans leurs enveloppes protostellaires et accrètent la matière de leurs nuages parents.

La source infrarouge est associée à un maser d'eau brillant et à l'un des masers OH les plus brillants du ciel. Les masers d'eau se trouvent généralement dans les nuages moléculaires. Les plus brillants et les plus intenses sont généralement associés à des protoétoiles massives. Les masers OH sont généralement observés dans des régions H II ultracompactes ou sont associés à des étoiles nouvellement formées près des bords d'un matériau très dense.

La distance de NGC 2170 est incertaine, mais la plupart des estimations sont proches de la valeur de 2707 ± 163 années-lumière (830 ± 50 parsecs).

La nébuleuse de l'Ange a été découverte par l'astronome britannique d'origine allemande William Herschel le 16 octobre 1784. Herschel a repéré la nébuleuse avec sa lunette de 18,7 pouces et l'a cataloguée comme IV 19. Son fils John Herschel a catalogué la nébuleuse sous le nom de GC 1362, et l'astronome danois John Louis Emil Dreyer l'a répertoriée sous le nom de NGC 2170 dans le Nouveau Catalogue Général.

La région Monoceros R2 a une masse totale de 3,80 x 104 masses solaires. La région de formation d'étoiles contient également la source infrarouge Mon R2 IRS2, qui est la principale source d'illumination.

Monoceros R2 apparaît comme une chaîne de nébuleuses par réflexion qui s'étend sur 2,4 degrés du ciel, ce qui correspond à une extension physique de 35 parsecs. Le nuage moléculaire se trouve à 830 parsecs, presque exactement entre les nuages moléculaires d'Orion A et d'Orion B et l'association OB1 de Canis Major. Les nuages moléculaires d'Orion se trouvent à environ 400 parsecs et Canis Major OB1 à 1 200 parsecs.

1 parsec = 3,26 années-lumière.

constellation-guide.com/angel-…



NGC 5728


Voici NGC 5728, une galaxie spirale située à environ 130 millions d'années-lumière de la Terre. Cette image a été prise à l'aide de la caméra à grand champ 3 (WFC3) de Hubble, qui est extrêmement sensible à la lumière visible et infrarouge. Par conséquent, cette image capture magnifiquement les régions de NGC 5728 qui émettent de la lumière visible et infrarouge. Cependant, les galaxies telles que NGC 5728 peuvent émettre de nombreux autres types de lumière que le WFC3 ne peut pas voir.

Sur cette image, NGC 5728 apparaît comme une galaxie spirale barrée, élégante et lumineuse. Ce que cette image ne montre pas, cependant, c'est que NGC 5728 est également un type de galaxie monumentalement énergétique, connu sous le nom de galaxie de Seyfert. Cette catégorie de galaxies extrêmement énergétiques est alimentée par leurs noyaux actifs, connus sous le nom de noyaux actifs de galaxie (AGN). Il existe de nombreux types d'AGN, et seuls certains d'entre eux alimentent les galaxies de Seyfert. NGC 5728, comme toutes les galaxies de Seyfert, se distingue des autres galaxies à AGN par le fait que la galaxie elle-même est clairement visible. D'autres types d'AGN, comme les quasars, émettent tellement de rayonnement qu'il est presque impossible d'observer la galaxie qui les abrite. Comme le montre cette image, NGC 5728 est clairement observable et, aux longueurs d'onde optiques et infrarouges, elle semble tout à fait normale. Il est fascinant de savoir que le centre de la galaxie émet de grandes quantités de lumière dans des parties du spectre électromagnétique auxquelles le WFC3 n'est tout simplement pas sensible! Pour compliquer les choses, l'AGN au cœur de NGC 5728 pourrait en fait émettre de la lumière visible et infrarouge, mais celle-ci pourrait être bloquée par la poussière qui entoure le cœur de la galaxie.

esahubble.org/images/potw2139a…

L'étoile la plus visible sur le bord de la galaxie (en apparence) est Gaia DR3 6285464499148592000, un soleil orange 10% moins gros et 20% moins massif que le Soleil située à 1989 années-lumière. Sa durée de vie est estimée 18 milliards d'années.

L'étoile proche de centre de la galaxie est Gaia DR3 6285466045336820352, un gros soleil orange 5 fois plus gros et 2 fois plus massif que le Soleil situé à 12151 années-lumière.



NGC 4694


La plupart des galaxies que nous connaissons appartiennent à l'un des deux types facilement identifiables. Les galaxies spirales sont jeunes et énergiques, remplies du gaz nécessaire à la formation de nouvelles étoiles et dotées de bras spiraux abritant des étoiles chaudes et brillantes. Les galaxies elliptiques ont un aspect beaucoup plus piétonnier, leur lumière provenant d'une population uniforme d'étoiles plus vieilles et plus rouges. Mais d'autres galaxies nécessitent une étude approfondie pour être comprises : c'est le cas de NGC 4694, une galaxie située à 54 millions d'années-lumière de la Terre dans l'amas de galaxies de la Vierge.

NGC 4694 possède un disque lisse et sans bras qui, comme une galaxie elliptique, est pratiquement dépourvu de formation d'étoiles. Cependant, sa population stellaire est encore relativement jeune et de nouvelles étoiles se forment activement dans son noyau, ce qui explique la luminosité que nous pouvons voir sur cette image et lui donne un profil stellaire nettement différent de celui d'une galaxie elliptique classique. La galaxie est également imprégnée du type de gaz et de poussière que l'on trouve normalement dans une jeune galaxie spirale. Les galaxies elliptiques contiennent souvent des quantités importantes de poussière, mais pas le gaz nécessaire à la formation de nouvelles étoiles. NGC 4694 est entourée d'un énorme nuage d'hydrogène invisible, carburant nécessaire à la formation d'étoiles. C'est cette activité stellaire qui est à l'origine des observations de Hubble.

Comme le montre cette image de Hubble, la poussière dans cette galaxie forme des structures chaotiques qui indiquent une sorte de perturbation. Il s'avère que le nuage d'hydrogène gazeux autour de NGC 4694 forme un long pont avec une galaxie naine peu lumineuse située à proximité et nommée VCC 2062. Les deux galaxies ont subi une violente collision et la plus grande, NGC 4694, accrète le gaz de la plus petite galaxie. En raison de sa forme particulière et de son activité de formation d'étoiles, NGC 4694 a été classée dans la catégorie des galaxies lenticulaires : elle ne possède pas les bras caractéristiques d'une galaxie spirale, mais n'est pas aussi dépourvue de gaz qu'une galaxie elliptique, et possède toujours un bulbe et un disque galactiques. Certaines galaxies ne sont pas faciles à classer dans l'une ou l'autre catégorie.

esahubble.org/images/potw2440a…

L'étoile la plus visible à droite est Gaia DR3 3927389121337857664, un soleil jaune 2 fois plus gros et 1,4 fois plus massif que le Soleil située à 5115 années-lumière. L'étoile la plus visible à gauche est Gaia DR3 3927389190057335808, une étoile orange de la taille et 25% moins massif que le Soleil située à 4612 années-lumière.

L'étoile visible la plus proche de NGC 4694 est Gaia DR3 3927389155697596800, une étoile orange 10% moins grosse et 23% moins massive que le Soleil située à 6749 années-lumière.

La galaxie sous NGC 4694 est inconnue:




La seule chose plus dangereuse que l'ignorance est l'arrogance.


Citation apocryphe. La première attribution remonte à 2003 dans une œuvre de fiction: «Still Life With Crows», de Douglas Preston et Lincoln Child.

snopes.com/fact-check/einstein…


|La seule chose plus dangereuse que l'ignorance est l'arrogance.|



Être bon, c'est être en harmonie avec soi-même. La discorde, c'est être forcé à être en harmonie avec les autres.


Citation déformée extraite du roman "Le Portrait de Dorian Gray" d'Oscar Wilde (1890). Cette citation glorifie l'individualisme. Ce n'est absolument pas une parole recommandable.

Extrait du roman "Le Portrait de Dorian Gray" d'Oscar Wilde (1890):

- Ah! qu'entendez-vous par être bon, s'écria Basil Hallward.
- Oui, reprit Dorian, s'appuyant au dossier de sa chaise, et regardant lord Henry par-dessus l'énorme gerbe d'iris aux pétales pourprés qui reposait au milieu de la table, qu'entendez-vous par être bon, Harry?
- Être bon, c'est être en harmonie avec soi-même, répliqua-t-il en caressant de ses fins doigts pâles la tige frêle de son verre, comme être mauvais c'est être en harmonie avec les autres. Sa propre vie, voilà la seule chose importante. Pour les vies de nos semblables, si on désire être un faquin ou un puritain, on peut étendre ses vues morales sur elles, mais elles ne nous concernent pas. En vérité, l'Individualisme est réellement le plus haut but. La moralité moderne consiste à se ranger sous le drapeau de son temps. Je considère que le fait par un homme cultivé, de se ranger sous le drapeau de son temps, est une action de la plus scandaleuse immoralité.


|Être bon, c'est être en harmonie avec soi-même. La discorde, c'est être forcé à être en harmonie avec les autres.|



La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique: Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi!


Citation apocryphe apparue à la fin du XXe siècle dont on ne connaît pas l'auteur. En France, elle est vite attribuée à Albert Einstein. Aux États-Unis et en Allemagne, les deux premières phrase sont attribuées à Hermann Hesse (à tort).


|La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique: Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi!|



Le passé appartient au passé. Il ne doit pas jeter son ombre douloureuse sur le présent.


Citation extraite du roman "Dolorès" de Harry Bernard (1932).

Extrait du roman "Dolorès" de Harry Bernard (1932):

Il est évident que le sujet ne lui plaît pas. Je comprends. Il en est pour elle comme pour moi, dans une certaine mesure, quand il s'agit de Lucile. Le passé appartient au passé. Il ne doit pas jeter son ombre douloureuse sur le présent. Dolorès m'a montré ses livres. Il y en a de tous genres. La bibliothèque la plus hétéroclite qui soit. Cette petite fille lit tout. Son père lui adresse de Montréal les nouveautés, au fur et à mesure de leur mise en librairie. Des livres français, anglais, canadiens. Son information littéraire l'emporte sur la mienne. Depuis quelques années, j'ai été trop absorbé par mes études, mon bureau, la vie mondaine. Il faudra rattraper le temps perdu. Dolorès m'y aidera, me guidant. Si vous n'aimiez pas les livres, dit-elle, vous baisseriez dans mon estime. Ils sont pour moi de tels amis, si sincères, toujours présents.


|Le passé appartient au passé. Il ne doit pas jeter son ombre douloureuse sur le présent.|



Quand je me regarde, je me désole; quand je me compare, je me console.


Ce diction serait plutôt originaire du Nord de la France. On le trouve cité dans le roman "Au carrefour de la vie" de Michel d'Haëne (1954).


|Quand je me regarde, je me désole; quand je me compare, je me console.|





Johann Georg Meyer


Johann Georg Meyer von Bremen (28 octobre 1813 Brême, Allemagne - 4 décembre 1886 Berlin), communément connu sous le nom de Meyer von Bremen, était un peintre allemand spécialisé dans les scènes bibliques, paysannes et familiales.

Meyer est le fils de Johann Georg Meyer, boulanger. Sa mère a une pratique religieuse stricte. À Brême, il suit des cours de dessin. À partir de 1833, il étudie à l'académie des beaux-arts de Düsseldorf. En plus de Wilhelm von Schadow, Karl Ferdinand Sohn en particulier y est son professeur. Meyer acquiert les compétences manuelles nécessaires pour pouvoir vivre de la vente de ses peintures, mais il échoue d'abord. De 1841 à 1852, il a son propre atelier à Düsseldorf. À partir de 1841, Meyer mène des études approfondies sur la culture Schwalm (de) à Schrecksbach. En 1843, il devient membre honoraire de l'Association des artistes de Brême (de). Lors de ses voyages à Bruxelles et à Anvers, Meyer découvre les œuvres de Peter Paul Rubens et d'Anthony van Dyck. Le 25 novembre 1851, il épouse à Brême la cantatrice Juliane Henriette Beer (née le 21 avril 1826 à Stockholm, morte le 22 mars 1910 à Berlin), fille du maître de chapelle Johann Adolph Ferdinand Beer (1792-1864) et de la chanteuse Marie Julie Henriette Grund (vers 1793–1861). Le cercle d'amis proches du couple comprend les peintres Hans Fredrik Gude et Adolph Tidemand, Wilhelm Camphausen, Andreas et Oswald Achenbach et Caspar Scheuren.

Lorsque son tableau La Prière d'une veuve reçoit la petite médaille d'or à l'exposition académique de Berlin, Meyer s'installe à Berlin en août 1852, où il devient professeur et ouvre plus tard un atelier. La vente de ses œuvres va de mieux en mieux : en 1838, il ne reçoit que 19 thalers et 25 gros pour le tableau Mère et enfant, tandis qu'en 1886 son dernier tableau La Chérie rapporte 25 000 mark à Berlin.

Meyer est particulièrement populaire auprès des émigrants en Amérique. Son œuvre La Lettre se trouve au Metropolitan Museum of Art de New York1. En 1854, le roi de Prusse le nomme professeur à l'académie des beaux-arts de Berlin.

Johann Georg Meyer est l'auteur d'environ 1 000 œuvres. À sa mort en 1886, il est enterré à l'ancien cimetière Saint-Matthieu de Schöneberg. En 1938-1939, dans le cadre des plans d'Albert Speer pour un axe nord-sud, sa tombe comme environ 15 000 autres tombes sont déplacées dans le cimetière de Stahnsdorf, où elle se trouve encore aujourd'hui.




Gaetano Chierici


Gaetano Chierici né à Reggio d'Émilie le 1er juillet 1838 et mort dans la même ville le 16 janvier 1920, est un artiste peintre italien principalement influencé par les Scènes de genre du mouvement néo-classique.

Né à Reggio d'Émilie, Chierici va étudier à l'École des beaux-arts de Reggio d'Émilie pour une période d'un an entre 1850 et 1851. Il poursuit ensuite ses études à Modène et à Florence avant de compléter ses études à Bologne sous la tutelle de Giulio Cesare Ferrari, peintre néo-classique. Il subira l'influence de nombreux artistes de son entourage dans ses jeunes années comme Alfonso Chierici, son frère, et Adeodato Malatesta mais sera plutôt animé par les prouesses des peintres du mouvement des Macchiaioli. C'est vers la fin des années 1860 que Chierici se spécialisa dans les scènes de genre. Sa participation dans les expositions des beaux-arts de l'Académie des beaux-arts de Brera en 1869 le rend célèbre, mais, son œuvre décline aussi à cette époque par une certaine répétition dans ses œuvres. Il fut aussi directeur de l'École de Dessin des Travailleurs de Reggio d'Émilie de 1882 à 1907 et son premier maire socialiste de 1900 à 1902.